@ gazi borat,
en général j’apprécie bcp vos posts, toujours détaillés, historiquement valable même si constamment orienté sans contre exemple, pertinent a plus d’un titre et avec une pointe d’humour salutaire, même si je ne suis pas spécialement d’accord avec la manière dont on utilise l’histoire a des fins de propagandes identitaire.
J’ai des ancêtres « non juifs » pas moins mort en rentrant cadavérique et malade des camps peu de temps aprés leur libération, d’autres qui se sont suicidés ls années suivantes, tant ils étaient brisés intérieurement et rendu incapable de se projeter dans la vie civile. ils font parti des rangs des oubliés de l’usage idenditaire de la version médiatisé de l’histoire. C’est comme le glissement entre l’usage du mot holocauste, une horreur identitairement partagé, et shoah.
Ceci étant dit, l’ironie et l’humour noir n’ont pas vocation a plaire a « tout le monde », et la réaction quasi pavlovienne d’outragé professionnel est devenu un nocif fond de commerce
qui ne régule en rien la violence réelle et les passages a l’actes nocifs pour autrui motivé par des raisons identitaires. Au contraire, cela donne a chacun la posture de défenseur de son idendité outragé et justifie la violence.
Et pour en revenir a la photo de l’arbeit macht Frei, si on décale la volonté d’extermination de l’idéologie nazis a celle d’exploitation jusqu’a la mort de travailleur client captif du capitalisme moderne, a bien des égards, le chomageidéologique correspond a la soif que l’on maintenais dans le ventre des déportés afin qu’au moment du tri a l’entrée/ embauche, la masse reste docile, dans l’espoir de vivre et motivé pour aller à la douche...
amicalement, barbouse.