« On ne connait jamais trop bien quelqu’un. »
Vous vous basez sur quelle expérience personnelle pour proférer cette ânerie ? Une gonzesse à vous ?
« Et quand on connait quelqu’un, on ne le rejette pas, justement. »
Mais bien sûr, mon bon Traroth. Les centaines de milliers de Français qui ont fui les banlieues émotives l’ont fait après avoir découvert et subi les mœurs, habitudes, us, coutumes, traditions, comportements, meufleries et incivilités des nouveaux venus.
Et encore, je m’abstiens de parler hygiène, bruits et odeurs de cuisine ou autres :
http://www.youtube.com/watch?v=jyQmpNAnv5E&eurl=http%3A%2F%2Fwww%2Efdesouche%2Ecom%2Farticles%2F1827&feature=player_embedded
http://www.youtube.com/watch?v=8yR_1563els
« Parce que vous prétendez connaitre ceux que vous rejetez ? »
Je viens de vous expliquer. Moi-même, c’est en parcourant le tiers monde que je suis arrivé à la conclusion que les pays foireux sont l’expression de peuples foireux. Et c’est là que j’ai compris qu’il ne fallait à aucun prix que ces gens débarquent massivement chez nous.
Vous voyez ce qui arrive à la Californie – il n’y a pas si longtemps, sixième économie mondiale - avec ses 40 % d’Hispaniques et ses 25 % d’allogènes ?
« Vous devenez grotesque, mon pauvre ! »
Le devenir ne risque pas de vous arriver, depuis le temps que vous me permettez de répondre à vos puériles insultes par des faits qui, on le sait depuis Lénine, sont réellement têtus.