« Par ailleurs, la mise en place de ces solutions alternatives nécessiterait de remplacer une grande partie de nos infrastructures »
La révolution industrielle se complait dans ses profits tout en générant par sa recherche, de nouvelles techniques révolutionnaires. Celles-ci évoluent plus vite que les esprits et ont fécondé des concepts parallèles, ne remplaçant pas nécessairement les infrastructures existantes, mais les doublant conjointement. Trois exemples :
La voiture électrique répond aux besoins de l’environnement et s’adapte parfaitement au deuxième véhicule qui ne sort qu’en ville et se charge la nuit quand la production de courant doit ralentir.
La tuile solaire, peut remplacer la tuile classique, est moins lourde pour la charpente et convient parfaitement au bâtiment ancien en liaison avec l’accumulateur à domicile. Le bâtiment neuf peut s’adapter en créant le caisson de faite de toit à accumulation thermique de l’eau, et l’éolienne verticale de toiture entraine le pompage de celle-ci.
Le double poteau électrique renforce le maintien du premier et se dote lui-même de quatre fonctions : le corps accumulateur, l’éolienne et le panneau solaire de tête, générateurs de courant pour l’accumulateur et de lumière pour la nuit.
Toutes ces techniques modernes se heurtent aux concepts anciens qui misent sur leur capitaux acquis comme les guerriers vieillissants contemplant leurs lauriers flétris et leurs médailles rouillées...
Pour sauver la civilisation, il faut spéculer sur le futur et non sur le court terminable.