Commentaire de Nobody knows me sur L'honneur perdu de Me Francis Szpiner

Commentaire de Nobody knows me

sur L'honneur perdu de Me Francis Szpiner

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Nobody knows me 29 juillet 2009 17:23

Mais ils avaient étendu à ces catégories des personnes « socialement inutiles » comme les invalides et les malades mentaux.

Ca me rappelle une scène de « La vie est belle » de Benigni où lors d’un repas une convive raconte l’énoncé d’un exercice à l’école : je me rappelle vaguement qu’il est question de trouver le prix total des handicapés mentaux par jour et la somme économisée si on pouvait s’en débarasser. La chute du sketch étant : « c’est un exercice beaucoup trop difficile pour des marmots de cet âge »...
Heureusement, Benigni par son attitude guignolesque (pas du niveau de Chaplin quand même), arrive souvent à ridiculiser les « supérieurs » présents dans ce film.

Ce « socialement utile » fait d’ailleurs terriblement penser au « Meilleur des mondes » de Huxley.

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