Je partage la réflexion d’Icare.
Je vous assure Aziz, vous vous êtes lancé sur un terrain très glissant et de très mauvaise manière.
Lorsqu’on dit "Le vrai handicapé est dans la tête des faibles (Ou dans la tête des valides faut-il comprendre n’est-ce pas ?) on dit une énormité, forcément gratuite et dont l’effet ne peut être que désastreux.
Il y aurait donc au départ, un gus disposant de tous ses membres (Ce que, sauf erreur de ma part, tout invalide ne peut qu’envier) et que je nomme, moi, valide.
Mais pour vous, parce que ce valide se réjouit de l’être et se protège de l’angoisse de la mort ou du handicap en l’ignorant (De même qu’un individu normal n’a pas trop envie de passer ses vacances dans un cimetière) le voilà désigné comme étant handicapé, mais alors vraiment handicapé contrairement aux vrais handicapés qui ne sont donc que des faux handicapés. C’est bien ça Aziz ?
Bin ça va leur faire une belle jambe d’apprendre la nouvelle, à vos unijambistes.
Plus ya de fromage, plus ya de trous et plus ya de trous moins ya de fromage donc plus ya de fromage, moins ya de fromage Youpi ! Quelqu’un n’aurait pas un entonoir de libre ?
Vous savez quoi Aziz, vous devriez ouvrir une agence se consacrant à délivrer aux valides des cartes de vrais handicapés pour qu’ils puissent stationner gratos et aux invalides des cartes de faux handicapés.pour qu’ils puissent piloter des avions. Et cela avec des séances de training intensif pour convaincre, le lundi, les valides qu’ils sont de vrais handicapés et les handicapés qu’ils sont de faux handicapés. Puis, le mardi, vous vous employez à convaindre les valides devenus handicapés, qu’en fait ils sont maintenant de faux invalides et que les vrais invalides sont les anciens invalides qui se mettent à croire qu’ils sont devenus vraiment valides.
Pour le programme des jours suivants, je vous laisse poursuivre sur la même pente, je vous fais confiance
Partant de l’absurde, on en vient forcément à procéder d’apagogie