Barbouse,
Je rédige un petit post à la va-vite, car j’aurai fini de digérer votre article dans à peu près 4 ans... Comme vos commentaires : quel pavé !! Comme on dit, « ça poutre ». Chapeau
Juste une petite remarque, l’article gagnerait je pense à être coupé en 2, ça structurerait le tout et on aurait moins l’impression de lire un fou (cf votre conclusion)...
; - )
Je ne vois pas grand chose à dire de plus, excepté mes qqs maigres références auxquelles votre texte me fait penser. Tout d’abord, ça doit pas être les seuls, La fabrique du consentement de Noam Chomsky & Edward Herman. D’ailleurs, voici un autre exemple : comment un Chomsky peut-il être moins connu qu’un Henry-Levy ??!!
Votre passage sur les prêcheurs en rade me fait cruellement penser à une industrialisation de leur métier. Les médias sont les nouvelles églises et elles ont des moyens colossaux au delà de ce que pourrait imaginer les prophètes. A côté de cela, notre bon vieux prêtre, rabbin, imam va chercher des croyants dans son voisinage avec les moyens qu’il a.
Cependant, certaines églises se dotent de moyens pharaoniques et adaptent leur idéologie au besoin de la clientèle.
Pour finir, l’approche que vous adoptez est basée fortement sur le pouvoir et l’influence. Mais les médias fonctionnent tout de même énormément en fonction du pognon, ce qui j’en conviens est à peu près pareil. Mais il y a je trouve dans cette quête du profit une attitude moins philosophique que la vision que vous nous donnez. Un rédac chef de nos jours, cherche la notoriété certes, on peut le vérifier avec pas mal de guignols. Mais il est surtout contraint de faire de la thune, de faire vendre son bousin, car sinon son patron va le faire dégager pour non respect des objectifs. Et là on est moins dans la recherche d’influence, mais plus dans la recherche de profit bête et méchant.
On pourrait conclure que les deux plus fourbes salopes se sont retrouvées dans le même pieux : média et argent.
Bien à vous