Big Brother je te vois...
Bonjour, je vous propose de disséquer un peu le cœur de la Bête Immonde, « la source unique » de toutes les polémiques et le véritable enjeu de pouvoir, LE big Brother, the real, autrement dit « puissance d’émission dans l’espace médiatique », en regardant ces effets secondaires néfastes sur l’individu, la population, l’autodétermination des peuples et la démocratie, dans cette suite de ma série des « critiques de la pensée de droite dans l’UMPS ».
L’histoire de la propagande aussi vieille que la guerre, lire Sun Tzu, et qui s’y intéresse constate qu’il n’y a aucun humain, aucune organisation humaine, aucune idéologie, aucune culture ni religion qui n’en émet pas une en concordance avec sa perception de son intérêt. Perception qui peut être faussée et nocive pour l’intérêt général. La grande différence entre avant et après la mise en place du grand miroir déformant, tourné vers l’attention des peuples qu’est l’espace médiatique, c’est l’importance de la puissance d’émission.
Si l’on se demande pourquoi le nom de Paris Hilton est plus connu que celui du Dr Gregory Pincus, l’inventeur de la pilule contraceptive qui a changé le cours de l’histoire de l’humanité, pourquoi l’identité juive focalise autant d’opinions pendant que l’identité kanak se meurt dans un même espace francophone qui lui même étouffe sous l’anglophone ? Pourquoi Alain Soral et Dieudonné ? Pourquoi le nom de Susan Boyle est plus mondialement connu en une et pendant quelques semaines que celui de milliers de chanteurs après des années de carrière ?
A chaque fois un même constat, il y a inégalité de puissance d’émission dans l’espace médiatique. Le rayonnement géographique d’une célébrité ou d’une opinion, but en soi de plus d’une ambition, est proportionnel non pas au talent ni à d’autres critères la légitimant, mais à la puissance d’émission dans l’espace médiatique qui la génère ou la diffuse. Il en est de même pour tout évènement médiatisé, toutes découvertes et toute expressions qui en découlent.
Dans une culture comme la nôtre, où l’on se pique de liberté d’expression en lutte dans une démocratie, la réalité sous la puissance d’émission dans l’espace médiatique, est que le citoyen mue par le besoin d’exprimer une réalité qu’il estime importante, même en groupe d’affinité, peut émettre n’importe quoi, de la vérité fondée et de possible utilité publique à la plus stupide propagande de secte, voire les deux en même temps.
Il est finalement toujours, après possible stratégie de déni de détention d’objectivité et de vérité, dans une inégalité de puissance d’émission dans l’espace médiatique. D’ignoré à nié, de faussement écouté à noyé sous les procès d’intentions identitaires puis étouffé par quantité de messages dispersant l’attention jusqu’à être émis 10 sc le temps d’une brève news. S’il est critique du pouvoir d’émettre majoritaire, et s’il dispose de temps, d’efforts et d’argent, il sera cantonné et soumis a être réduit a un fragment d’opinion négligeable loin des bastions du pouvoir, les endroits à forte concentration d’attention de la population cible.
Encore un effort et si on ne le jette pas dans l’oubli, si décidément il existe médiatiquement ( ce qui exclut déjà tous ceux qui d’une manière ou d’une autre sont précaires ou faibles dans l’espace média), alors il deviens une part de marché ( économique ou électoral) d’une possible rentabilité ou utile comme moyen d’affaiblir d’autres adversaires.
Il suffit alors qu’une plus grande puissance d’émission médiatique reprenne pour partie et après analyse les mêmes messages en choisissant son casting et les textes d’acteurs à leur faire apprendre par cœur. La récupération de la marche des beurs par le PS, la récupération des votes FN pendant la dernière élection, José Bové qui rejoint Cohn Bendit, sont de bon exemples de récupération d’un faible émetteur médiatique par un plus puissant qui en modifie le message source.
Les citoyens engagés émetteurs, souvent exténués après des années a émettre en plus de toutes les autres contraintes de la vie, pour partie se rangent alors docilement dans la catégorie des « enfin on le dit dans ce journal, à la radio, puis à la télévision, enfin c’est pris en compte... « , se retourne vers son entourage humain avec le contentement du « vous voyez je vous l’avais bien dit »
Et puis il s’aperçoit que même là son message, surtout s’il n’est pas raccord avec l’histoire raconté aux gens depuis l’école primaire, enchaînés qu’ils sont à leurs problèmes au fond de la grotte de Platon le regard tourné vers le théâtre d’ombres devenues colorées, est peu traité, noyé dans la masse, discuté sans vrai débat et à 23H. Il n’est pas sous la plume des story tellers, scénaristes, auteur de chanson ou de roman, qui n’en feront quelque chose que s’il y a un débouché financier « sécure ».
L’acte de communiquer n’étant pas l’action directe sur le réel, si notre citoyen exemplaire n’est pas déjà assagi après tant d’effort pour être entendu, il se met à espérer que d’autres réagiront et passe le flambeau autant qu’il peu. Souvent il y dissout sa motivation dans l’espoir inactif « de faire masse d’opinions » issue de la culture démocratique dans sa version impuissante à l’action pendant qu’individuellement il rejoint le fan club de untel qui émet sa vérité en achetant le livre, en regardant l’émission où il passe, etc... alors qu’il lui a fourni son contenu, les raisons de ses ventes et de son audience média... et finalement il se confronte et constate d’autres réalités du pouvoir d’émission dans l’espace médiatique.
Techniquement, il y a aucun rapport entre la proportionnalité démographique réelle d’une propagande idéologique ou d’une identité et sa puissance d’émission dans l’espace médiatique. Il y a plus de noirs américains dans ses films et séries que d’hispaniques, alors que démographiquement dans la masse de la population américaine, il sont largement moindre.
Il y a plus de musulmans en France que de bouddhistes, mais la notoriété du Dalaï lama et le volume d’ensemble des livres, magazines, vidéo, etc.. de culture bouddhiste ou tibétaine ou new age, mis en vente est quasi identique, voire supérieur, aux mêmes types d’offres musulmanes. Il suffit d’aller dans une librairie généraliste pour s’en rendre compte. L’espace internet n’est pas exclu de ce phénomène, entre l’inégalité d’accès a une connexion, et d’autres paramètres comme les barrières de langues, le besoin de sites d’être peu nombreux pour drainer de l’audience, etc...
Dans une interprétation psycho simplifiée du rapport de l’humain au pouvoir lié a la puissance d’émission médiatique, c’est comme si le citoyen émetteur/ récepteur était une forme d’enfant qui modèle son comportement pour être « tel qu’il aimerait qu’on le voit dans tel clip, film, série, émission, s’il devient célèbre » et qui passe son temps à faire sa liste de doléances en répondant aux sondages ou à crier qu’il a bobo mais vers l’unique miroir déformant des médias pour atteindre l’attention de papa.
Il a souvent besoin de joindre son cri à d’autres pour être entendu, excluant les cris trop isolés ou minoritaires, et si c’est compatible, on finit par lui fournir devant des caméras ou derrière des micros des spécialistes ou des outragés professionnels, ou des publicités correspondant à ces besoins, et finalement il se rassure quand papa lui dit après dans une émission grand public qu’il a bien entendu. Bon si papa et ses copains ne sont pas rassurant ou ne fait rien de probant après, on tournera un peu le miroir déformant...
C’est comme ça qu’avant l’élection présidentielle, après une hausse continue du volume d’émission du sujet de la violence, on parlait ouvertement de zones non droits, les années précédentes de banlieues à « problèmes », et maintenant on reparle de « problème des » banlieues ou de « bande ».
Pendant ce temps la réalité c’est qu’avant comme maintenant, les bandes existaient, que le droit n’y est pas revenu comme par magie, et que la hausse des violences faites aux personnes, autant en quantité qu’en intensité, continue. Des réalités comme le racisme anti-blanc ne sont évidemment pas traitées médiatiquement, ni la hausse de l’illettrisme, ni les effets du THC sur le développement du cerveau du nourrisson, ni aucun autre facteur concret d’aggravation de la situation.
Quand on ne peut changer les choses, avant on changeait juste les mots, maintenant on change surtout le volume de puissance médiatique pour abuser l’esprit sur la réalité du pouvoir. On prend un vrai problème, on commence par augmenter le volume, jusqu’à créer un caisson de résonance médiatique encerclant la conscience unique de l’individu, puis la réaction attendue obtenue dans les sondages, voter sécuritaire, faire passé la loi pour telle cause, etc.. par exemple.
Puis on lui fait croire que le pouvoir a agi, que cela « s’est calmé », qu’on « fait quelque chose » alors « qu’on » à juste baissé le volume d’émission dans l’espace médiatique comme si le sujet était traité ou en cours de traitement et qu’il est normal de passé à un autre.
Avec un regard anthropologique d’inspiration religieuse, ou plutôt d’inspiration René Girard laïque, explicite lui aussi , il y a culturellement enraciné dans la conscience collective une proportion entre la puissance d’émission d’un message et la proximité de la parole de Dieu tel qu’on se la représente en volume, puissance, hauteur, fiabilité, étendue et autorité. Plus le message semble fort et venir de haut, plus il impose aux consciences et plus les intermédiaires porte-parole entre Dieu et la conscience unique de l’individu sont légitimés dans leur autorité.
Des cloches d’églises aux minarets en passant par « la grande voie » de la kabbale on retrouve cet aspect du pouvoir d’émission dans l’espace dans toutes les racines des cultures inspirées de visions méditatives. Aujourd’hui on a les satellites mais la réaction animale humaine reste la même que l’homme des cavernes face au grondement d’un orage médiatique et d’un éclair évènementiel. Cette puissance d’émission de messages est plus haute, plus intense, plus environnante, et s’y comparant individuellement, l’homme n’a aucun mal à s’y soumettre, en cherchant comment exister face à son sentiment d’insignifiance et plaire aux dieux du vent, du soleil, ou les combattre, etc...
Plus le message est continu, plus il sert de repère envers lequel on veut plaire ou déplaire pour être perçu par « Dieu ». Plus il est affirmatif plus il fait plier les incrédules et taire les opposants les moins aptes. Plus il est intense et englobant en volume et plus « Dieu » gronde et dit des choses importantes. Plus il se calme et se disperse comme l’orage, plus on retourne a la normalité du temps qui passe.
Je vous laisse réfléchir sur comment vous imaginez que Dieu parle et comment vous imaginez la puissance d’émission médiatique des USA ou de la chine par exemple, sur une seule conscience. Dans une autre proportion, un précaire illettré entouré d’un chant ou d’une lecture religieuse sur haut parleur subit le même effet.
C’est d’ailleurs par ce même réflexe culturel d’inspiration religieuse que les opposants et les diabolisés par le pouvoir des médias prennent automatiquement un dosage de postures christiques entre le martyr et le rebelle. Ils dénoncent les faux prophètes et les faux Dieu de l’autre coté du miroir médiatique, ce qui revient à dénoncer les mauvaises autorités et les fausses échelles de valeurs imposant leur autorités. Comme des prophètes, ils montrent leurs stigmates et leur foi/ force de conviction et vont prêcher à l’ancienne, d’humain à humain, essayant de lutter contre la puissance médiatique en semant des convictions individuelles à taille humaine, aussi fragiles et éphémères que soient ces dernières maintenues dans le flot continue de la puissance émettrice.
Qu’ils se réfugient dans le silence en coupant la télévision pour se créer ou rêver un autre espace de vie parallèle ( tendance sectaire), pensent une révolution par l’exemplarité d’un mode de vie alternatif ( tendance semi sectaire), ou qu’ils essayent de rivaliser via internet et de la comm’ pour jouer le jeu du pouvoir ( tendance politisée), ils sont néanmoins dans la case du citoyen engagé et en lutte de mes arguments précédents, dont le fait de gloire finale est d’être récupéré par une puissance émettrice plus forte déjà en place ou d’être condamné au silence et à la dissolution dans le temps, aidé au besoin par l’usage de la loi.
Inutile de dire que dans l’idéal républicain d’un Condorcet, par exemple, il est un devoir d’émanciper l’homme de ce pouvoir, de ne pas le laisser sans contre pouvoir véritable, d’en combattre les abus sur la conscience humaine, comme par exemple se sentir tellement inexistant qu’on est prêt à faire n’importe quoi d’avilissant, de destructeur ou d’auto-destructeur, pour exister dans le miroir des médias.
Mais bien au contraire, entre les bases de l’esprit critique des racines grecs et de la pensée formelle que l’on enlève de l’école publique ( la grammaire et le latin en premier lieu) à la décomposition valorisée de la Famille tout en noyant l’individualité dans une fragmentation des repères, favorisant par la même le besoin de l’enfant pour se construire de s’orienter vers la puissance émettrice la plus forte, et autres constats, la société part dans une direction encore plus fragilisée,
générant encore plus de citoyens sans recours intérieur à une éducation sécure et en la confiance en des vérités logiques fiables, lui permettant de s’extraire pour parti du volume d’émission médiatique, de ne pas laisser aux journalistes le monopole des questions, bref, de rester debout et aussi lucide que possible avec ses opinions pendant l’orage, les élections, et autres moments incluant une incidence sur sa vie.
Au lieu de cela nous tendons vers une régulation comportementale orientée vers la puissance émettrice la plus forte, qui n’a rien de divin et peu mentir, comme l’a démontré le coup des armes de destruction massive. Seulement même ces mensonges, sur le temps noyé dans l’émission d’autres messages, ne l’empêche en rien, tant que la puissance d’émission dans l’espace médiatique n’est pas régulée, de rester la plus puissante, constante, et de faire office de repère sur lequel se situent et se modèlent les esprits.
Si on utilise cet angle critique sur l’UMPS, et que l’on regarde la dernière élection présidentielle Française, on s’aperçoit que le volume de puissance médiatique utilisée a été tel qu’il a engendré des sarkophobies et des réactions ségolâtres, signe indiquant bien à quel point on l’a imposé aux consciences. Cela engendre sur certain types de personnalités des syndromes de soumission dérégulée et de résignation acquise, mais aussi évidemment une confusion entretenue entre le pouvoir d’exister médiatiquement et le pouvoir de gouverner la réalité.
S’il y a quantité d’ aspects de cette campagne électorale qui font écho dans l’ADN de la mémoire collective Française avec les effets de la propagande d’Hitler sur les allemands c’est tout simplement parce que ce sont pour partie les mêmes méthodes de communication version soft qui ont été utilisées. Des slogans simplistes répétées, et surtout une surexistence médiatique d’un seul persona sur une société où il est admis qu’exister c’est être médiatisé.
Si vous placez la conscience d’être quelqu’un dans un caisson de résonance médiatique de ce genre, elle en ressort avec l’impression d’être presque personne ou insignifiante face à l’entité surexistante qui est partout où il écoute, parle, regarde, pense, etc... pendant un laps de temps. Seulement pour supporter cet enfermement et pour se supporter néanmoins, l’ego développe des contre mesures. Certains prêtent des qualités supérieures ou des pouvoir divins à l’entité surexistante, ce qui permet a l’ego d’accepter qu’il n’est que, mais qu’il est. D’autres se sentent littéralement agressés, et vont de l’envie de ne plus jamais la revoir à celle de la tuer, violence, etc.. mais de toute façon cela engendre des réactions et des dégâts proportionnelles à la puissance du volume d’émission dans l’espace médiatique de la population ciblée et à la durée du caisson de résonance que cela engendre.
Quand on se demande pourquoi des allemands ont continué d’avouer qu’ils ont « cru » en Hitler, même après la défaite, et pourquoi le gouvernement reçoit des menaces de mort, que Sarkozy ne peut pas sortir sans plus de CRS que ces prédécesseurs, que l’on redescend autant qu’on peu la pression qu’exerce son image tant on a du mal à imposer la conscience qu’il est président, ni calmer les ardeurs belliqueuses que non pas lui mais son persona médiatique entré de force dans les esprits engendre, etc... ( il ne faut pas se tromper, N.S n’est en rien comparable à Hitler, et si ça ce trouve, c’est un type sympa, un peu pauvre con mais sympa, et coincé par la méthode médiatique utilisée pour son élection qui elle seule a des similitudes avec la propagande nazi)
C’est la conséquence directe de la puissance du volume médiatique utilisé dans la façon dont il a été élu. Les esprits les plus marqués ne peuvent pas se sentir libre sous son image. Sa marge de manœuvre présidentielle en est atteinte, et le PS n’a pas que laissé faire mais y a contribué et continue de le faire parce qu’un opposant crédible d’un véritable parti présidentiel ou un vrai révolutionnaire n’aurait aucun mal à soulever une partie active de la population sur ce terreau de rejet d’apparence irrationnelle.
Et si on se demande pourquoi a bénéficié de cette méthode le candidat au discour le plus bushiste en plein problème d’image de la France aux Etats-unis, c’est aussi sous un angle anthropologique para religieux la réaction normale d’une population de croyants au « dieu média » qui envoi son émissaire le plus semblable ( N.S) à celui qui est encore plus proche de « Dieu » ( Bush) puisqu’il détient une puissance d’émission dans l’espace médiatique plus puissante.
Il y a beaucoup de domaines qui trouvent arguments avec cette angle critique, de l’Europe qui ne fais pas contre-poids dans sa puissance d’émission médiatique, et du coup n’est pas un guide repère à suivre pour les peuples, au pourquoi le PS, le féminisme sur médiatisé engendre une hausse des violences conjugales et l’anti-racisme la fragmentation identitaire des repères.
Pourquoi des réactions d’hommes à la sensibilité médiatiques comme celles d’Alain Soral et de Dieudonné, pourquoi le rejet de la médiatisation de la mémoire de la Shoah aujourd’hui n’a rien à voir avec celui cumulé au mur d’incompréhension rencontré par les juifs survivants à leur retour, (comme le raconte très bien Simone Veil dans son excellent livre « Une Vie ) », etc, etc...
Il n’y a pas de régulation de la puissance d’émission dans l’espace médiatique et il faut voir ce que cela engendre. Il suffit à chaque fois de regarder quel groupe/ identité fait de la puissance d’émission dans l’espace médiatique un enjeu de pouvoir véritable, à quel volume il accède, quel volume de puissance médiatique est utilisé, par qui, pour faire quoi, et quels sont les effets du seuil de saturation engendrée sur les esprits, donc sur la population réelle tel qu’elle réagit dans la réalité.
Amicalement, Barbouse. Rmiste en quête d’un job de « prêcheur de la fin de la France » à mi temps. Aussi voilà mon CV simplifié : déjà mort une fois donc deux fois né et le plus béni des hommes, j’ai déjà entendu la grande voix comme Shimon Bar Yochaï, vit avec les affres d’un éveil de Kundalini comme Gopi krishna et discute avec des muses comme Platon.
Pour une fois je précise que cet article est issu de ma petite tête, sans aucune légitimité puisque c’est issue de transes méditatives et des voix qui me parlent dans cette même petite tête. Seul un fou peu voir les choses comme ça, mais parfois seule la folie libère, et permet d’accéder a l’amour inconditionné et par la même permet d’avoir un angle de vue de l’esprit si distant que cela permet de voir le sens du vent du présent et de l’histoire. Comprenne qui voudra :))
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