Ah les propositions...
Mais en fait de quoi parlons nous ? Si faillite il y a, et pas besoin d’etre devin pour la voir arriver, meme en se cachant derriere son petit doigt, ou son clavier a postilloner, donc si faillite il ya donc elle va lentement s’enfoncer dans les brumes et les meandres collectives et on va s’éveiller nu, un beau matin, sans plus nulle part ou se tourner.
Je pense malheureusement que ce systeme monté artificiellement, tiendra encore un petit peu avec ses artifices avant de s’éteindre de sa propre entropie.
Les collifichets sont de sortie, les métaphores pleuvent comme autant d’écran de fumée ou chacun essaie de se reconnaitre, perversion ultime d’un cas désepéré, avec le secret espoir qu’en ne se faisant pas remarquer, les coups passeront a coté.
Tel le va nu pied en bas de chez soi dont on s’est accoutumé et sert de paliatif a l’éducation que l"on n’ose meme plus offrir a ses enfants.
Car avant l’offre, il faut avoir conscience d’une necessité, et faire naitre une conscience a 30 ans d’endormissement, c’est dur, voire impossible.
Aucun de ceux qui se sont fait pretre d’une évangile aussi diabolique, ni ses subsides d’ailleurs, ne viendront s’accuser de commercer avec le vilain, non, et c’est en cela qu’il restent humains, lache et tellement humains.
Non, je n’attends rien ni des pourvoyeurs ni des postillons de saintes croisades, car il vivent et prolifèrent l’un et l’autre sur la crédulité, et surtout font en sorte que cela dure.
Aucun autre remede a ce mal que celuil funebre d’une mort definitive, sans cela rien ne pourra se creer, et les merles seront encore moqueurs.