Commentaire de Emmanuel Guillot
sur Droit de préférence : abusif dans le cadre de l'édition numérique
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Vous avez tout à fait raison, et c’est tout le sens de mon article : à partir du moment où un éditeur va rentabiliser complètement l’édition d’un livre grâce à l’impression numérique, il faut soit ajuster le droit de préférence (un livre me paraîtrait un maximum, mais il y a le problème des trilogies ou des séries), soit le supprimer complètement.
Et c’est vrai que les petits éditeurs auraient avantage, grâce aux coûts moindres de l’impression numérique, de « faire tourner » davantage d’auteurs, de même qu’il est dans l’intérêt des auteurs « d’essayer » plusieurs éditeurs et directeurs de collection afin de voir lesquels se rapprochent le plus de leur sensibilité littéraire. Donc, pour des structures qui débutent, de même que pour des auteurs qui ne sont pas des stars de l’édition, il faut de la souplesse, encore de la souplesse, et toujours de la souplesse.
Derniers commentaires
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30/08 13:53 - Emmanuel Guillot
Autre lien sur le sujet : http://www.tierslivre.net/spip/spip.php?article1865
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11/08 22:07 - Pierre-Alexandre Xavier
Effectivement, cela sera compliqué. Et pour accentuer le débat, j’ai posté un nouvel (...)
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11/08 18:26 - Emmanuel Guillot
Oui. Qu’il se nomme « libraire » ou « éditeur », l’auteur aura en tout cas toujours (...)
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11/08 17:48 - ObjectifObjectif
Concernant le possible verrouillage d’une telle machine, j’étais peut-être (...)
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11/08 17:24 - ObjectifObjectif
C’est hélas assez clair sur le site, sans que ce soit mis en avant bien sûr : "25. Who (...)
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11/08 13:19 - Emmanuel Guillot
Si c’est le cas, vous avez raison bien sûr. J’avais cru voir quelque part que les (...)
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