Cours de finance islamique à Paris Dauphine à la rentrée 2009-2010 !
Pour comprendre la signification de la mode des voiles islamiques, il faut la replacer dans le contexte de l’impérialisme islamique qui s’est répandu comme une trainée de poudre depuis une quinzaine d’années en France.
Les Musulmans veulent imposer la charia chez nous. Ce sont eux qui sont racistes et intolérants, qui non seulement exigent que nous nous plions à leurs lois religieuses mais voudraient que le monde entier adopte leurs convictions et se convertisse.
Le voile est une mode pour la bonne raison que non seulement il n’est pas une obligation du Coran mais qu’il avait été abandonné par les femmes turques, algériennes, marocaines, tunisiennes, égyptiennes, etc.
Elles n’ont recommencé à la porter que depuis une quinzaine d’année sous la pression des islamistes mais aussi parce qu’elles étaient de plus en plus victimes de harcèlement sexuel, notamment dans nos « quartiers ».
La finance islamique, c’est aussi une mode.
Nous faisons du commerce dpuis des millénaires avec le monde musulmans et, soudainement, en 2009, les banques et les universités éprouvent le besoin d’étudier la finance islamique pour comprendre la spécificité de ses règles.
On aurait besoins de connaitre les règles de la finance islamique parce qu’un nouveau marché s’ouvrirait comme ose le prétendre un des promoteurs de ces cours à Dauphine ? Bien sût qu’il ne s’agit pas d’un nouveau marché puisque nous avons toujours-depuis des millénaires- fait du commerce avec le monde musulman, que nous avons toujours vendu des armes, des bijoux , de l’alcool, du porno et du luxe aux pays du golfe et à tous les dictateurs musulmans de la planète qui ne produisent rien sauf de l’idéologie musulmane au goût du jour et vivent grace aux « sous-chiens » en leur vendant du pétrole.
Et puis, y-a-t-il dans nos universités des cours de finance catholique romaine, de finance catholique orthodoxe, de finance juive, de finance protestante, de finance hindouiste ou bouddhiste ?
Les « révolutionnaires » islamistes qui se sont abreuvés de critique marxiste à Moscou et à Cuba et qui nous resservent la critique du capitalisme mal digérée n’ont pas de scrupules à trahir celui qui dit que « la religion est l’opium du peuple ».
Mais cette affirmation ne serait plus à la mode, mode qui sert les objectifs strictement politico économiques de l’impérialisme musulman.