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Commentaire de L’enfoiré

sur Les banques : jusqu'à l'écœurement


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L'enfoiré L’enfoiré 14 août 2009 17:09

 Bonjour Gil,

Compatriote, je suppose, vu le sujet traité.

Je ne suis pas pour les banques, loin de là, mais les banques ne sont que le reflet de la cupidité de nos sociétés.

On n’a rien appris de la crise, ni d’un côté ni de l’autre de la barrière.

C’est ce que j’exprimais dans mon article « La bonne nouvelle et la mauvaise  ». Il date de mars.

C’est un peu le jeu du chat et de la souris. L’histoire de l’oeuf et de la poule, vu sous un autre angle.

D’un côté le chat qui connaît les règles et qui en abuse. De l’autre, la souris qui ne veut pas apprendre, et qui se laisse prendre avec du fromage sur la trappe.

La souris veut le plus de fromage avec le moins de trous. Le gruyère sec, c’est bon pour les sages.

Non, il faut du pourcentage, avec une trappe sans risque. Je suppose que vous avez suivi ceci.

L’histoire de Fortis a généré au bas mot près d’une dizaine d’ouvrage qui ont essayé d’expliquer ce qui s’est passé. Cela à fait tombé 2 ministres, qui reviennent par la grande porte par après, pas d’inquiétude. Modrikamen a eu son dû et c’est normal, il s’est battu contre vents et marées. Il a gardé la confiance. Les banques, elles, récupérent une odeur de sainteté. L’éthique n’est toujours pas à bord des demandeurs de rendements. Alors, pourquoi, croyez-vous que Ducros se décarcasse ?


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