Les banques : jusqu’à l’écœurement
D’agissements malhonnêtes en escroqueries organisées, les banques se croient tout permis en toute impunité. Pourquoi se gêner ? De toute façon, c’est l’Etat actionnaire qui paie.
L’assourdissant silence de l’Etat belge
Le « Fortisgate » n’est pas fini, loin s’en faut. L’inculpation de
« Fortis, quel beau cadeau ! »
Du côté de Me Mischael Modrikamen (photo), le défenseur emblématique des petits porteurs Fortis, on préfère rappeler que cette dernière a rapporté 261 millions de bénéfices à BNP au cours du dernier trimestre, « Très proche des rentabilités prévues dans l’optique du stand alone », précise l’avocat. Et d’y voir une confirmation du « Beau cadeau offert par le gouvernement et le Conseil d’administration de la banque à BNP Paribas, qui a fait une très bonne affaire – contrairement aux actionnaires ! ». En ce qui concerne les bonus, Me Modrikamen se veut plus nuancé : « Evitons les discours populistes… Le problème est plus vaste. Les bonus récompensent les bénéfices, mais aussi la prise de risque. Ce qui est choquant, c’est que l’activité à risque se greffe sur l’activité bancaire, alors qu’il faudrait que ces deux métiers soient séparés. C’est ce qu’on a fait en 1935, pour éviter que le marché spéculatif ne mette en péril les banques » - dont le métier est le crédit et l’épargne. Me Modrikamen ne veut apparemment pas prendre le risque d’un discours anti-capitaliste, admettant toutefois qu’il est « bizarre de distribuer des bonus aux traders alors que les garanties d’Etat n’ont pas été remboursées » et, répondant à notre question, qu’aux yeux des contribuables, les banques sous perfusion ne devraient pas agir de la sorte.
La BNP, complice d’escrocs internationaux
Dans son édition du 29 juillet, le journal en ligne français Mediapart.fr révèle que BNP Paribas a investi, sans les prévenir, l’argent de ses riches déposants dans un fonds géré par… Madoff ! Oui, celui-là même qui vient d’écoper de 150 ans de prison après avoir monté l’escroquerie du siècle portant sur 50 milliards de dollars… Une info que la presse belge n’a pas relayée, on se demande bien pourquoi. Car, faut-il le rappeler, l’Etat belge est actionnaire de référence de cette banque qui gonfle ses bénéfices en trompant ses clients ! Les faits interpellent : en 2007 et 2008, des Français fortunés ont demandé à BNP Paribas de leur trouver un bon placement pour des montants relativement élevés, de l’ordre de 500.000 à 700.000 euros. L’enquête de notre confrère démontre de façon limpide que la souscription faite par BNP (via sa filiale BNP Paribas Services Luxembourg) auprès de la Sicav de droit luxembourgeois Luxalpha était assortie d’une clause de non responsabilité. Autrement dit, les déposants n’avaient aucun recours en cas de problème. Ce dont BNP s’est bien gardé de les informer en leur faisant signer, avec un cynisme confondant, ce placement suicidaire. Et ce qui devait arriver arriva. Certes, BNP Paribas n’était pas censé savoir que Luxalpha allait réinvestir cet argent dans un mystérieux fonds implanté à Tortola, dans le paradis fiscal des Iles vierges britanniques, et que ce fonds était l’une des tentacules de
Criminels en col blanc
Comme si cela ne suffisait pas, on apprenait en début de semaine dernière que, peu avant la faillite de la banque islandaise Kaupthing, les administrateurs se sont prêté à eux-mêmes et à leurs petits camarades de jeux (financiers) des sommes rondelettes, sans aucune contrepartie ni caution. Les clients belges de la filiale luxembourgeoise, qui ont cru tout perdre dans cette banqueroute, apprécieront. On ne parle pas de clopinettes, mais de montants équivalents au budget annuel de l’Etat islandais, soit 5 milliards d’euros. Ce qui s’appelle, dans le jargon fleuri de la justice, un abus de biens sociaux caractérisé. Parmi les bénéficiaires, l’homme d’affaires britannique Robert Tchenguiz, administrateur de l’actionnaire principal de Kaupthing, Exista, endetté à ce moment-là de 450 millions d’euros auprès de
BNP, Fortis, Kauthing : à qui le tour ?
Où reste la régulation promise ?
En une semaine, les simples citoyens ont vu défiler comme un mauvais polar tous les vices dont le système bancaire est capable. Ils ont aussi constaté que rien n’a changé dans leur comportement, que c’est « business as usual » et que les mâles déclarations sur la « moralisation du capitalisme » n’étaient que de la poudre aux yeux. Les réactions, écœurées, ont fusé de toutes parts. Mais seront-elles suivies de mesures contraignantes, de lois, de règlementations, bref de ce qu’on nous promet depuis un an : un marché régulé ? On aimerait tant le croire…
78 réactions à cet article
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J’ai déjà eu l’occasion d’écrire que vouloir moraliser le capitalisme c’était comme essayer de parler de démocratie dans une dictature.
Quant à la régulation promise, ce qui arrive aujourd’hui montre bien que ce n’était qu’agitation médiatique destinée à faire se rendormir le bon peuple.
Bientôt, les banquiers, tirant la leçon de la divulgation de la provision de 1 milliard pour les traders de la BNP, demanderont et obtiendront que ces provisions ne figurent pas dans leurs comptes mais soient versées sur des comptes à part en transitant par des paradis fiscaux (qui existent toujours malgré les rodomontades des dirigeants politiques).-
les escrocs ne connaissent pas la crise...
Natixis aidé par l’état fait des bonds sur ses valeurs 6 mois après « une crise » qui ressemble à la pandémie de la grippe !!
La crise 2009 est une bonne opération de communication, les proposition de crédits pour la France d’en bas coulent à flot, amis madame Lagarde est sans doute en vacances pour les controles des attributions !!
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Notre monde appartient aux banquiers ... Et plus nos etats s’endettent plus il appartiendra au banquier, et aux financier. Moraliser le capitalisme il n’en a jamais été question, nos politiques sont ridicules quand ils s’insurgent contre ces pratiques et rapelle le code « de bonne conduite » !!! Un pauvre qui vole un supermarché il va en prison, un patron qui volent ses milliers d’employés on lui rapelle le code de bonne conduite ...
Aujourd’hui dans le monde.fr un « expert de OCDE nous explique que les paradis fiscaux c’est fini grace au G20. Leur liste noire est vide, et les pays sur la liste grise trouvent des »arrangements" ( j’essayerai de trouver un arrangement avec le Fisc au moment de payer mes impots mais j’ai comme un doute).
Mais qui croit encore à ces conneries serieusement ? Qui crois madame Lagarde avec son bronzage tous neuf (365 jours par ans ...) quand elle part en croisade contre patrons voyous ? Qui crois que le G20 peux changer quelque chose ?
Moi ce que je vois c’est qu’une partie de la population est soumis à des textes de lois, des amendes, à des caméra de surveillances, des empreintes ADN, et majoration de 10% pour retard de payement. Tandis qu’une autre est soumis à des codes de bonne conduite et cherche des arrangements avec le Fisc ...
Liberté,Egalité, Fraternité et mon cul c’est du poulet ...-
pas mieux...
et les libéraux de s’écrier :
« Gloire à St Friedman, c’est au moment où il paraitra vaciller que le libéralisme finira par triompher »
Misère... -
Le principe de la démocratie se corrompt, parcequ’on perd l’esprit d’égalité.
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Les Bourgeois, depuis ces deux derniers siècles, ont voulu nous faire croire que l’Histoire des inégalités en France s’était définitivement arrêtée en août 1789....C’est ce qu’apprennent nos jeunes dans les écoles....aujourd’hui encore.
Mais force est-il de constater que la trilogie liberté, égalité, fraternité n’a plus beaucoup de sens maintenant, tant elle est éloignée de la réalité de nos concitoyens.Les abus dénoncés sur tous les forums, l’indécence de la France d’en haut ne finira certainement pas par le biais d’une révolution de velours sur le web....
Il faudra que nous tous, Peuple Français, voire à plus grande échelle, nous prenions notre destinée en main.
Les paroles c’est bien, mais si elles ne sont pas ponctuées par des actes, alors ceux qui nous gouvernent ont des beaux jours devant eux.....
La révolution de 1789 n’est pas un aboutissement. Elle a eu ses bienfaits mais elle a montré ses limites, celles d’aujourd’hui.....
Le plus gros reste à faire et il nous appartient, à nous ou aux générations futures d’ agir ! -
Et en plus on nous fait le coup de l’enfumage « djeunes et cités » ! En quelques jours les accidents et échauffourées se multiplient, en tout cas dans les médias, détournant l’attention des citoyens qui se sentent plus menacés par la violence dans les rues que par celle, moins visible mais largement plus destructrice, des finances. Ils sont bien utiles ces délinquants ! Encore de la répression à venir dans la France d’en bas alors que rien n’est fait dans la France d’en haut. Il serait intéressant un jour de voir réaliser une étude comparant le coût à la société de la délinquance des « djeunes » et de celle des cols blancs. J’ai comme une vague idée du résultat...
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délinquance et amoralité, j’entends
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Bonjour Gil,
Compatriote, je suppose, vu le sujet traité.
Je ne suis pas pour les banques, loin de là, mais les banques ne sont que le reflet de la cupidité de nos sociétés.
On n’a rien appris de la crise, ni d’un côté ni de l’autre de la barrière.
C’est ce que j’exprimais dans mon article « La bonne nouvelle et la mauvaise ». Il date de mars.
C’est un peu le jeu du chat et de la souris. L’histoire de l’oeuf et de la poule, vu sous un autre angle.
D’un côté le chat qui connaît les règles et qui en abuse. De l’autre, la souris qui ne veut pas apprendre, et qui se laisse prendre avec du fromage sur la trappe.
La souris veut le plus de fromage avec le moins de trous. Le gruyère sec, c’est bon pour les sages.
Non, il faut du pourcentage, avec une trappe sans risque. Je suppose que vous avez suivi ceci.
L’histoire de Fortis a généré au bas mot près d’une dizaine d’ouvrage qui ont essayé d’expliquer ce qui s’est passé. Cela à fait tombé 2 ministres, qui reviennent par la grande porte par après, pas d’inquiétude. Modrikamen a eu son dû et c’est normal, il s’est battu contre vents et marées. Il a gardé la confiance. Les banques, elles, récupérent une odeur de sainteté. L’éthique n’est toujours pas à bord des demandeurs de rendements. Alors, pourquoi, croyez-vous que Ducros se décarcasse ?
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@ enfoiré
Je ne suis pas pour les banques, loin de là, mais les banques ne sont que le reflet de la cupidité de nos sociétés. ... mais tout de même !
Par ailleurs, « la société serait cupide » : en partie peut-être, mais en même temps tout est fait pour alimenter ce travers ; personnellement je ne me sens pas particulièrement cupide et des tas de gens sont comme moi... et il y a certainement moins de gens cupides, de gens qui savent rester à leur place, certainement plus que de gens cupides !
Vous avez certainement entendu parler de « Gouvernance », c’est à dire que les « Etats » sont dirigés comme de véritables entreprise et non comme des sociétés civiles qu’ils sont pourtant, surtout en régime démocratique : le vivre ensemble !
Gouvernance : assez généralement, quand les choses ne vont pas dans une entreprise, ne vont vraiment plus, c’est rarement la faute des services opérationnels, mais plutôt celle des « Dirigeants », de leurs incurie à résoudre les vrais problèmes ! J’en sais quelques chose car je me suis occupé de « management qualité » dans les entreprises !
C’est trop facile de culpabiliser le citoyen, ou la société, et d’exonérer les Dirigeants ! Les difficultés auxquelles nous sommes confrontées, celles environnementales, qui comme par une prise de conscience subite, intéresse beaucoup de gens, comme celles plus sociétale : politique et économiques, qui, visiblement comme par un fatalisme systémique, intéresse beaucoup moins ; ces difficultés sont largement à mettre au crédit, ou plus exactement au débit des dirigeants de toute sortes ! Bien sûr il y a partage de responsabilité car nous sommes en démocratie et nous avons le droit de vote ; mais le système démocratique, et pas que lui, aussi l’ensemble de notre savoir et de notre culture, sont largement manipulateurs ! Le partage de responsabilité serait certainement de l’ordre de 20 / 80, voire 30 /70, dont 80 % ou 70 % pour la responsabilité des Dirigeants et certainement pas de 50 /50 !
Vous dites encore « C’est un peu le jeu du chat et de la souris. L’histoire de l’oeuf et de la poule, vu sous un autre angle ».
Il n’y a aucun rapport entre l’histoire du chat et la souris et celle de l’oeuf et de la poule qui n’est d’ailleurs pas une histoire mais plutôt un paradoxe pour certains ; pour certain car en fait il n’y a pas de paradoxe du tout, sauf à nier l’évolution ! En effet, le paradoxe de l’oeuf et de la poule est une affaire d’évolution ! Il ne vous à pas échappé que l’oeuf n’est pas propre à la poule mais aus ovipares et que l’oeuf était là bien avant la poule !
En ce qui concerne nos problèmes de société et de démocratie, il n’y a pas de problème d’oeuf ou de poule ; il y a simplement un problème de prise de conscience des priorités sociétales et non de celles purement économiques et qui plus est purement économiques financières ! -
Ecomédia,
D’abord, merci de relever le défit que je lançais avec ce commentaire.
Je savais très bien que je n’allais pas avoir les « félicitations du jury » à la suite d’un article comme celui-ci.
L’« mais tout de même ! », ce n’est pas moi qui l’ai ajouté, c’est une extrapolation de votre part.
Mes échos, je les reçois de l’intérieure, des professionnels des banques qui vendent ce que les clients demandent. Et là, vous allez déchanter.
La « cupidité » existe bel et bien. L’éthique est inexistante. La plupart des clients ignore quelle est la différence entre une action et un obligation. Pour une obligation, quand les taux montent, ils s’apprêtent à vendre leurs titres. En fait, ils n’ont pas essayé quoi que ce soit de comprendre le « système ». Je me souviens de forums et des questions posées à des spécialistes. Plus idiotes parfois les unes que les autres. L’appât du gain est bien plus fort que la raison. Et cela il faut le savoir. La Gouvernance utilise cette méconnaissance, c’est tout à fait vrai. On n’aime pas trop trouver des gens trop futés.
J’ai fait aussi du management. Je connais parfaitement le middle-management. Si AV me prette vie avec mon prochain article, je vais en parler. Ce sera sur mon site de toute manière.
Culpabiliser le citoyen ? Comment pouvez-vous ne pas y penser quand on remarque le travail et les dépenses d’énergie pour gagner de l’argent et remarquer le peu de soucis pour comprendre tous les maillons de la chaîne.
Le droit de vote n’a rien avoir avec ce que je viens de dire. La démocratie n’existe toujours pas dans les affaires extra-élections politiques. Ne mélangeons donc pas.
L’évolution continue son œuvre, absolument et je l’espère bien. Je ne connais pas le nombre de crises qu’il faudra encore pour le message passe.
L’économie financière fait partie de nous que vous le voulez ou non. L’histoire du chat et de la souris n’est pas un mirage, même si l’œuf de la bêtise ne contient pas toujours les germes du progrès.
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Juste encore un question : MiFID, c’est pour protéger qui ? Le client ou la banque ?
Si vous ne savez pas ce que c’est, je vous laisse le lire ici
La spéculation, je dois dire que je l’ai étudié un petit peu avant de placer mon premier franc. Si vous en voulez des preuves, allez lire le petit cours « Spéculons en paix », le « Spéculte »
Et si vous n’êtes toujours pas satisfait, un thriller « Le Grand Maître virtuel » -
Petite erreur d’URL « Spéculons en paix »
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@ L’enfoiré
je ne suis pas Ecomédia mais « ecometa »
Bien sûr que c’est moi qui ai ajouté le « mais tout de même » ; et visiblement je n’extrapolais rien... j’étais plutôt « juste à propos » étant donné la suite de votre discours !
Le fait d’ignorer la différence entre une action et une obligation n’a rien à voir avec l’éthique, ni même la cupidité, mais plutôt avec l’ignorance ! C’est au banquier d’informer le client, d’éventuellement de combler ses lacunes en matière de placements financiers.... ce que prévoit le MIFID. Je connais les techniques de ventes des banques pour les avoirs apprises et pratiquées ; notamment cette technique consistant à poser des question dites fermées, qui, immanquablement, amèneront le client, là, où le vendeur à décider : signer ! Il est impossible pour un vendeur honnête de satisfaire à la fois, le client, son employeur et lui-même ; et souvent, par pure cupidité du professionnel, et non celle du client, du professionnel et de celui qui l’emploi et qui fait les règles, le client passe au troisième rang, et, forcément, il est insatisfait !
Si, j’ai bien compris, vous êtes de nationalité belge, et, en Belgique, ce sont les clients qui manqueraient d ’Ethique et pas les banquiers ; la Belgique serait alors une exception au monde ! Vous allez bientôt nous dire que les « subprimes » sont une pure invention, que « Madoff » n’existe pas, que l’argent qui fait de l’argent c’est du bidon ...
Bien sûr qu’il existe des gens cupides, mais ce n’est pas la majorité ou alors seulement en Belgique ; les nombreuses crises du capitalisme ne sont pas le fait de citoyens cupides, mais le fait du « capitalisme », usage paroxysmique du capital : un capitalisme, qui, par nature est crisique !
Quant à l’économie financière qui ferait partie de nous... personnellement je pense que la finance fait partie de l’économie, lui appartient, et ne doit être considérée comme une entité à part de l’économie, comme un élément pouvant se suffire à lui-même ! La finance doit être considérée comme un élément économique et non purement financier : un élément financier devant satisfaire à la logique économique et non à une logique qui lui serait en propre !
Vous tombez mal, car, tout comme vous, il me semble, je viens précisément de la banque et aussi de l’assurance : de la banque assurance ! Dans les années 70 j’ai tout fait dans banque de dépôt, j’ai même été « employé de bourse » ; époque ou le terme de « Bourse » avait encore du sens : tout son sens ! A la fin des années 80, j’ai oeuvré au coeur du capitalisme financier, j’ai été détaché auprès de grandes banques international désireuses de s’implanter en France pour le démarrage de leur activité financière, et plus précisément de leur « back office salle des marchés » ; je vous l’assure, et vous le savez : ont fait de l’argent avec de l’argent !
Demandez à un « broker » ou à « trader », ou un « simple « agent » ou « conseil financier », de vous expliquer l’ontologie de la bourse... tout simplement sa raison d’être à l’origine (bien incomplète de ce que j’ai lu de votre part), et les règles de déontologie qui devraient en découler, car « ontologie » et « déontologie » doivent être intimement liées : ils en seraient bien incapables ! Ils n’ont aucune connaissance en économie, pour la simple et mauvaise raison, qui confine au simplisme, qu’ils considèrent le marché financier en dehors de l’économie. Ils vendent des produits que des ingénieurs financiers ont concocté et auxquelles ils ne sont comprennent rien, incapable de comprendre, et encore moins leur responsable ni même leur patron ; de même pour les prêts qui seraient devenus, il paraît, des produits sophistiqués... alors que ce sont de belles embrouilles : du bonneteau financier !
Des métiers que j’ai quittés pour faire du « management qualité », car il m’était devenu impossible de continuer de pratiquer ces métiers en mon âme et conscience : de réellement servir les intérêts du client. Non pas de la faute des clients mais plutôt la faute de pratiques bancaires et assurantielle sans aucune ontologie, sans aucune déontologie, sans aucune éthique, sans aucun altruisme !
Vous dites :
« Une fois la Bourse rendue plus éthique, les actionnaires plus conscients, nous pourrons peut-être spéculer en paix les yeux mi-clos ».
« Mais en fait, entourer la bourse, n’est-ce pas n’avoir ni queue ni tête ? »
« Si la bourse vous fait « ch... », vous avez raison, il vaut mieux avoir la bourse par devant que par l’arrière ! »
Déjà, et d’une part, il n’est plus réellement question de « BOURSE »... mais exclusivement de « marché financier » ; je crois que c’est ce que vous avez tenté d’expliquer ! D’autre part on ne spécule jamais en paix... c’est d’ailleurs, là, aussi, ce que vous expliquez ! Assez généralement vous dites d’ailleurs tout et son contraire : solution de facilité pour ne pas prendre position ! Vous « pétez » même les plomb... c’est généralement ce qui arrive quand on dit tout et son contraire : qu’en on est dans la pure contradiction !
De l’éthique dans la finance ... même avec le MIFID (MIFID mi raisin) j’attends de voir pour y croire ; je pense à toutes ces « Chartes » empreintes d’humanité, remplies de bonnes intentions, celle onusienne et autres comme celles de l’U. E., dont tous les dirigeant se moquent éperdument ! Quant aux actionnaires plus conscients, il y a actionnaire et actionnaire : les petits porteurs dindons de la farce, du bonneteau financier, et les gros porteurs ; et que dire des « zinzins » qui seuls utilisent tout l’arsenal (l’ingénierie financière) pour se couvrir d’une façon ou d’une autre ! -
Ecométa,
Oui, je suis belge et oui, les clients ne s’inquiètent pas de la destination de leur biens du moment que leurs placements rapportent plus. L’éthique est loin de faire l’unanimité.
Vous avez eu le courage de lire l’article le Spéculte, et je vous en remercie.
L’occasion fait le larron que ce soit du côté banque ou client. Il faut seulement voir avec un certain recul. La fausse banque qui en période de crise que des étudiants avaient ouvertes pour le fun proposant des taux hors normes mais en ajoutant d’emblée que les placements n’étaient pas trop éthique, birmans, et autres pays qui ne respectent pas les droits de l’homme.
Vous avez absolument raison, les gens ne sont pas fondamentalement cupides. Ils cherchent à être bons et rentables pour la société et pour eux-mêmes.
Ce sentiment n’est pas lié à un pays. La Belgique ne fait pas dans l’exclusive, du tout.
Je ne tombe pas mal. J’aime les gens de métier. Je ne suis pas du métier. Si vous avez été lire mon « A propos » vous avez pu le constater.
Par contre, les travers qui sortent franchement des banques, je connais.
Lehman Brothers était une banque de tout haut prestige. Je ne vous dit pas qui était à la tête. L’Etat américain n’a pas réagi quand elle demandait de l’aide, croyant que les « copines » allaient le faire. Les autres n’allaient guère mieux. Ce qui ignorait l’Etat américain. Vous connaissez la suite.
J’ai bien souris quand j’ai vu un article dans mon journal qui avait pour titre « Surtout ne dites pas que je suis un trader ». Les traders font ce que pourquoi ils sont fait. Faire de l’argent. Et ils brasse en embrasse. C’est dans leur contrat.
La Bourse dans ses bases, sont parfaitement saines. Le problème, et c’est celui-là qu’il faut casser. Ce sont les extrapolations dans les techniques. La banque n’est pas comme en 40 une entreprise de dépôts d’argent. Elle est là pour faire du « double digit » comme toutes les entreprises d’aujourd’hui.
Peu importe le comment on fait du bénéfice. En augmentant les revenus de préférence, en diminuant les coûts en éliminant le personnel qui représente le plus gros poste, mais du même coup hypothéquant son avenir.
Il y a eu des traders repentis, je n’ai plus nom en tête, il a commencé à écrire des articles sous le convers d’un pseudo. Des dénonciations et en finale un bouquin. Il est brûlé pour la profession mais il se sent bien mieux dans sa peau aujourd’hui. Quand on présente les choses, il vaut mieux allez jusqu’au bout.
Dans ce que j’ai écrit, j’expliquais partiellement ce qu’était la Bourse en faisant un pas dans monde plus secret de « marché financier ». Vaut mieux connaitre tous les acteurs.
Si je pète les plombs, c’est que les plombs devaient péter. Parce que justement il y a à boire et à manger dans ce qui tourne autour de l’argent. Ce sera le sujet d’un de mes prochain roman. J’en connais un bout sur le sujet. Cela n’a plus rien à voir avec les banques heureusment.
Quand à MiFid mi raison (j’utilise exactement le même moyen mnémotechnique pour m’en rappeler) , ce n’est qu’une étape qui peut être un cou dans l’eau. Absolument. Vous ne pourrez jamais aller contre le désir d’un client qui ment sur son potentiel ou contre la banque, qui se trompe de niveau de son adversaire.
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@l’enfoiré
Je ne parviens pas à savoir qu’elle est réellement le fond de votre pensée : ce qu’il y a réellement dans votre tête !
Vous dites être : « Réaliste, pragmatique, plus qu’idéaliste » ; « Spéculons en paix » : je dirais « plus réaliste et plus pragmatique qu’idéaliste » et que c’est le problème !
- « Iconoclaste à mes heures ». Pas trop souvent apparemment : plus réaliste, plus pragmatique, qu’idéaliste ; ne fait pas bon ménage avec le fait d’être iconoclaste. La spéculation est une plaie pour l’économie au même titre que l’inflation ; l’époque est à la spéculation financière sur tout : ce mot d’ordre « spéculons en paix » n’a rien de très iconoclaste !
Réalité n’est pas vérité ! L’erreur est humaine même éminemment humaine : réalité humaine n’est pas vérité mais simplement construction humaine avec toutes les possibilités de réussites, mais également d’erreurs et même de risques que l’action humaine comporte ! Certes il nous faut être réaliste et pragmatique, mais pas au sens trivial (s’adapter à l’immédiat) ni irréaliste au sens trivial (se soustraire au contraintes de la réalité), il importe d’être réaliste au sens complexe : comprendre l’incertitude du réel, savoir qu’il y a du possible encore invisible dans le réel ! Il faut savoir interpréter la réalité avant de connaître où est le réalisme ; et là nous arrivons à des incertitudes sur la réalité qui frappent d’incertitudes les réalismes et révèlent parfois que d’apparent irréalismes étaient réalistes.
Vous critiquez tout, l’individu est un crétin, la société est conne, le système est crétin ; en fait : rien ne trouve grâce à vos yeux ! Où se trouve alors la solution ? Que faire pour que les choses s’arrangent un tant soit peu ?
Vous dites que votre caractère obstiné ne s’assouplit qu’après une démonstration claire, précise et incontestable. Alors allons y !
Pour résoudre u problème il faut déjà le poser, admettre qu’il existe !
Mon constat est simple et sans appel ! Rationaliste et scientiste en diable ; c’est-à-dire : épiphénoménologique dans ses approches et paroxysmique dans ses applications ; spécialisé au spécieux, manipulateur, fallacieux, factuel, artificiel, voire de plus en plus virtuel, surfait au superfétatoire ; hypocrite, sophiste, cynique, indifférent, inconséquent, devenu totalement paranoïaque et schizophrénique : ce monde est savamment, délibérément, même académiquement malade !
Totalement indépassable, c’est la raison qui fait la logique, qui elle même fait le savoir qui fait la culture et la société, voire la civilisation, et la réalité dans lesquelles nous vivons ! A raison, logique, savoir et culture paranoïaques et schizophréniques : culture, civilisation et société forcément paranoïaques et schizophréniques !
On ne gère pas les contradiction comme disait le faire notre « Premier Ministre » français « F.F » ; en matière de savoir les contradictions doivent être lever... autrement c’est que notre savoir ne vaut pas tripettes ! Personnellement, je déteste les contradictions, et devant un certain nombre de contradictions flagrantes, auxquelles j’ai été confronté toute ma vie active comme banquiers et comme qualiticien, et également dans ma vie sociale, j’ai identifié qu’elles étaient les raisons, les logiques, et les méthodologies qui présidaient cette société paranoïaque et schizophrénique de fuite en avant économico technoscientiste !
A l’évidence, une autre raison, une autre logique, un autre savoir et une autre culture s’imposent… et que tout ceci soit un peu plus ouvert sur les principes même de démocratie et d’humanité. S’impose alors une autre raison que la seule raison rationaliste paroxysme de rationalité et plus simple rationalité ; surtout lorsqu’elle est appliquées sans vergogne à l’humain car elle est alors une véritable négation de l’humain ! S’impose aussi une autre logique que la logique dichotomique sans nul doute veille résurgence de l’antédiluvienne lutte entre le bien et le mal ou du plus récent manichéisme ; une logique qui oppose à l’antagonisme tout ce qui pourtant, partout et toujours, participe, collabore et s’entretient ! S’impose un autre savoir que celui de l’exclusive scientifique car tous les savoirs ne sont pas, ne peuvent pas et ne seront jamais de nature exclusivement scientifique ; des savoirs autres, mis sous le boisseau, qui pourtant nous sont utiles si nous voulons réellement comprendre la complexité du monde dans lequel nous vivons ; si nous voulions réellement comprendre la réalité, les réalités au lieu de les manipuler ! S’impose également une autre culture que celle de l’individualisme paroxysme d’individualité et plus individualité !
Tout collabore, tout participe, tout s’entretient : tout est système et écosystème ; ce sont les conclusions concernant la nouvelle réalité de la plus récente physique : la quantique ! Il n’y a que dans notre petite cervelle d’humains rationalo technoscientiste que les choses s’opposent à l’antagonisme ; je propose donc, au lieu de penser et raisonner exclusivement en termes de dichotomie, je le redis, vieille résurgence de l’antédiluvienne lutte entre le bien et le mal, voire du plus récent manichéisme ; je propose de raisonner en termes d’association, de complémentarité, comme sont les choses dans la Nature ! Et là tout change, de nouvelles perspectives s’ouvrent réellement à nous !
Le problème c’est que l’ancien système qui défend des intérêt très particuliers, comme en économie, fait de la résistance et qu’il faut donc se battre : ce que je fais !
http://metaecosystemie.blogspot.com -
Travailler le dimanche,le bouclier fiscal,hadopi et consort,argent public reversé à des banquiers,et aux big pharma,les médias aux mains d’une poignée d’amis du président,la vente de nos autoroutes,la dette contractée à des banquiers internationaux,les tafs à 1000 euros,les maniplations d’al quaida,la fausse peur,l’empoisonnement avec la nourriture ,le nucléaire,le pétrole,les chemtrails…,il y a des milliers de raisons pour se révolter,des raisons qui DOIVENT IMPÉRATIVEMENT NOUS FAIRE AGIR,sinon nous sommes coupables de non-assistance à personne en danger,de toute façon,moralement,humainement nous nous devons d’agir,surtout nous qui sommes informés de la tournure des évènements.
L’Italie légalise les milices de quartiers,vous vous rendez compte,et oblige la délation,non mais c’est pas gravissime,d’autres pays vont faire pareil et avec les technologies d’aujourd’hui,le maillage sécuritaire sera très sérré.
Profitons de l’histoire de la grippe pour mettre un masque et aller manifester ou faire d’autres choses incognito.
An minimum,il faut tracter des infos vérifiables et qui font réfléchir,genre “pourquoi les laboratoires sont protégés de toute poursuites en cas de pépin,cela vous donne t-il confiance dans ce vaccin fait à la va vite ?”
il faut absolument résister,informer,s’activer tout en évitant les pièges de l’état
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monbula 14 août 2009 17:39Et l"argent placé directement dans l’économie réelle, c’est pour quand ?
Un proverbe provençal ;
Lorsque tu craches dans le vent, il te revient à la figure...
Ceux qui ont placé leur fric dans du vent idem.
Economie réelle, où es-tu ?
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monbula 14 août 2009 17:47Un immeuble de rapport sans être gourmand avec ses locataires rapporte 5% nets.
Un spécialiste sur la loi Robien serait le bienvenue sur le site. Loi Robien qui est aussi une arnaque souvent réalisée sur des petites gens..
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Ce bon article donne des noms et c’est bien.
Les Banques, semblent aujourd’hui des outils fondamentaux à l’instauration d’un consensus mondial basé - non sur l’évolution humaine - mais sur le « mitage » ou la parcellisation de l’humanité en vue de la diviser, et de rétablir si ce n’est déjà fait le moyen age avec ses seigneurs, ses cerfs et ses vassaux, et son clergé qui de partout se renforce ; quid dans l’islam, les chrétiens, les sectes...tout en oubliant le spirituel biensur. Il faux croire mais ne pas penser !Les banques sont les piliers de la fondation d’un... NOEI... que l’on appelle le mondialisme aujourd’hui, philosophie destructrice qui a pour but d’organiser une bande de tribus primaires sur une sphère où la démographie est une aubaine et un luxe de pouvoir !
Tant de chaire humaine prête à se vendre pour travailler à leurs monde ! c’est magnifique !
Ils s’en privent pas : ils délocalisent. Pas cher la chaire ! « à qui le tour ? »
La relocalisation en France se fera lorsque les français seront aussi pauvres que le Cambodge. On remettra des industries lorsque les gens travailleront pour un CDD de 3 mois à... voyons... au court mondial de la chaire actuelle c’est 7 euros par jours mais en 2090 ça serai de l’ ordre de 9 ou 10 euros /jours.
Et pour renforcer un peu le système, ceux qui ont un peu d’argent deviennent des actionnaires ou des « petits porteurs » renforçant leurs processus. Madoff n’est que le haut de l’iceberg ! C’est un lampiste livré en pâture aux médias ! Histoire de calmer un peu ceux qui peuvent profiter de cette brèche...Au final, La France aussi aura ses Boat-People en direction de l’Asie... Tueries et massacres ethniques orchestrée, Via l’Europe en proie à ses caricatures géopolitiques et surtout économiques.
Les banques, ça sert à ça.
le seul moyen temporaire, c’est de retirer toutes liquidité des banques à chaque salaire ou versement assedic, et encore...quand la BCE jovialement dit : en trois jours nous avons soutenu le marché avec 378 milliards d’euros fourni aux banques et nous pouvons encore tenir 10 jours...petit « lol ».
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Je confirme que les investissements de type DE ROBIEN sont particulièrement risqués et que de très nombreux contentieux sont en cours.
Cf. cet article que j’avais publié sur AGORAVOX il y a quelques mois :
Les dangers des crédits immobiliers à taux variable-
L’auteur met le doigt sur les banquiers responsables de cet arnaque mais il faut bien comprendre que rien de tout cela serait possible si les autorités n’avaient pas mis en place le dérégulation des marchés et la mondialisation qu’on a vendu comme le meilleur des mondes , et la seule alternative possible .
Et comme dit l’auteur , partout où on fouille dans les placards de la finance , on trouve des cadavres . Et on est sans doute bien loin d’avoir tout vu .Dans ces conditions , il ne fait nul doute que la reprise , n’est que du vent , tant qu’on ne touchera aux règles du jeu du capitalisme , le monde n’ont seulement ne sortira pas de la crise mais continuera d’aller de crises en crise , chacune de plus en plus grave , jusqu’à l’effondrement total .
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la crise me semble structurelle et voulue.
C’est simplement un processus de transfert relativement bien coordonné sur une base planétaire, pour organiser une philosophie que les peuples ne partagent pas.
Maintenant, il semble clair que les personnes « éclairées » lutteront ardemment pour favoriser la liberté de tous. On dit que 2012 sera une date charnière... allez savoir...
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Tout à fait d’accord avec les commentaires rédigés ci-dessus.
On parle beaucoup, mais on agit peu. Impuissant face à notre tragique avenir...
Pour les jeunes de demain que j’ai sondés ( lycéens pour la plupart ) pensent que les crises sont lointaines, que le réchauffement climatique, la monté des eaux, les systèmes banquier non régulés, l’économie qui sombre, toutes ces crises ( faible extrait des nombreuses qui nous attendent ), les jeunes les pensent loin...
Tradeur & escros : Après 1789, 2009 !-
Ils n’ont peut être pas tords.
Ces jeunes font preuves de logiques et surtout d’abstractions. Ils ne sont pas idiots et de plus ont une capacité d’analyse de type « hors sujet » qui sont les fondamentaux lors de phénomènes importants incalculables. C’est presque une force motrice d’évolution, tout en calmant les ardeurs qui partent en quenouilles !C’est leurs mondes, ils l’aperçoivent du bout de leurs adolorgnettes... pour n’en faire qu’un monde où ils s’aperçoivent qu’ils ont été leurrés ! Sans justice ni utopies ! Ceux qui ne rentrent pas dans le consensus ne deviennent pas des leaders. Alors ils s’en prennent plein la tronche : violences urbaines, vols, matérialismes, défonces à toutes drogues...
C’est très violent.
C’est la volonté structurelle.
Le mondialisme est une philosophie qui tue et qui fait mal.
La mondialisation elle, c’est l’ensemble des rêves et la bonté de tous au profit des êtres humains. -
« On parle beaucoup... » Même pas !
Tu as cette impression parce que tu fréquentes AgoraVox... mais quelle proportion de la population jeune et même non-jeune lit ou échange ici ? (ou sur des sites du même genre ? )
A moins que tu confondes propagande et intentions si tu penses qu’il faudrait y assimiler les palabres médiatiques ?
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Tout ceci me donne envie de vomir, tous ces gros malins qui nous bouffent la laine sur le dos : la misère et la maladie sur eux et leurs descendances. La tout de suite vous me donner un bouton sur lequel appuyer pour qu’ils crèvent en série tout de suite j’appuie et j’appuie et encore et encore.......
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Pas de mal et pas de haines... tout ceci est un programme. Ie bon sens commande d’avoir justement aucunes réactions : et attendre le moment où une faille se présente, et agir avec un effort minime pour recréer une sérénité sur la base fondamentale du respect de la démographie et de l’humanité.
pour l’instant nous allons celon Dante vers... l’ignorance des styx. -
Nationnalisation des banques
Récupération par les Etats de la création de la monnaie
interdiction stricte de toute spéculation financièreEn dehors de ça, tout reprendra comme avant, jusqu’a une déflagration violente, qui ne résoudra rien.
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« défonces à toutes drogues... » comme dit kargen, sa commence déjà en Carlifornie !
Un monde faux, puis ébauches de vrai, de cycle en cycle va le monde, à chaque cycle ses partisants, ses opposants.
De crises en crises ont croit tout pouvoir résoudre. Mais jusqu’où ?
La population augmente follement, l’éconnomie facille, le réchauffement ne demande qu’a avoir sa place parmis tout ça, mais heureusement ... Heureusement que les drogues vont sauver les Carliforniens... -_*-
« Heureusement que les drogues vont sauver les Carliforniens... »
Sauver non, mais ça aide à oublier !
Chez nous ça devrait aller aussi, avec nos gros rouges... : )
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... et renflouer la caisse vide !
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Oui Alexis69... renflouer des caisses... mais des caisses vides de sens !
On ne saura jamais assez que l’argent est un moyen et pas une fin en soit !
Ceux qui dirigent la chaire humaine le savent bien : et empêchent un malthusianisme nécessaire aujourd’hui pour une organisation logique sans capitalisme et sans outrages aux consommations, dans un respect d’évolution humaine libre ; des milliards de milliards d’euros... ça n’a aucune importance à cette échelle.La théorie quantique devrait être étudiée en CM1.... mais la chappe de plombs des conditionnements nous limitent à docilement pourrir sur branche de vécu selon des ordres établit par des niveaux, des tests, en culpabilisant volontairement ceux qui ont été induit dans l’erreur.
Nous vivons un crime contre l’Humanité perpétuel ; mais comme c’est un consensus, personne ne dit mot. La peur est le principal atout. La démographie est un challenge avoué sur la direction esclavagiste programmée des futures générations.Par l’éducation et l’objectivité scientifique, sans religions ni poussières d’anthropomorphisme, nous pouvons encore changer ce monde vers une sérénité logique et evènementielle.
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Les banquiers sont des névrosés du pognon, qui ne se calmeront que lorsque des lois les y obligeront.
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« ...que lorsque des lois les y obligeront. » NON, même pas ! C’est d’ailleurs structurellement impossible.
Il faut carrément changer le système ou au moins nationaliser le crédit (totalement.)
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@Alexis69Je suis Callifornien et Francais, peux tu expliquer ce que veux dire au niveau des drogues ? Je ne vois pas bien le rapport. Quand aux caisses vides, sache que tout etat des Etats Unis se doit de presenter a l’etat federal un budget equilibre (comme si Bruxelles demandait un equilibre budgetaire a l France).Au dela de ca, je ne vois pas beaucoup de propositions dans tout cette suite de reactions (A part quelques remarques pronant l’anarchie ou la dictature comme la nationalisation des banques)Quand il y a un probleme general comme celui ci, ca ne sert a rien de faire de la polique economique de comptoir !A+-
Je souscrit a votre enervement,mais ,car il y a un mais, que reste t’il a part le comptoir ?
Quiconque dans la corruption généralisée actuellle apporterait "LA’ solution serait immédiatement mis a l’index et éliminé a tout le moins médiatiquement.
L’état se comporte en mafia, dont les parrains sont les financiers internationaux, les outils mediatiques, policiers et justice sont entre leurs mains avides.
Tant que le jus sera a prendre il le suceront a la moelle sans aucune contrepartie.
Ne nous reste que de compter les points, s’amuser de qui chutera et survivre jusqu’a que en bon prédateurs ils finissent par s’entretuer... -
Je te réponds Jean Marc. Aucune critique aux Californiens dans mon poste plus tôt déjà par manque d’information, et de toute fason par manque d’experience.
Même le gouvernement n’est « presque pas critiquable » finalement car dans un monde démesuré qui est celui des banques et des flux geantissime d’argent fictif, on ne peux leur en vouloir, pas plus qu’on ne leur en veux déjà.
Pour que tu vois par toi même : http://www.agoravox.fr/actualites/sante/article/cette-herbe-qui-fait-rever-les-60004
;D -
Le monde se sépare en deux catégories. Ceux qui gagnent et ceux qui geulent ! Et toi tu geules ! ! !
Les étatistes qui jouissaient sur place il y a 6 mois croyant que le communisme allait redevenir fashionable découvrent qu’il se sont pris une belle carotte dans le cul ! ! !
Il y a eu sauvetage des banques parce que les états n’avaient pas le choix. Maintenant les dettes des états vont forcer des réformes libérales. Comme je l’avais écris il y a 6 mois. Mais à l’époqe little bolchos dansait sur les cendres des capitalistes... C’est fou comme on se marre quand même...
Allez un scoop ! Bientot crise economique 2.0, a base d’Option ARM et de crise de la dette publique... Ca va être sportif.
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Mondialisation financière oblige, ceci dans partout dans le monde, les Banquiers tiennent les Etats par les « valseuses » ; et, il se trouve, désormais, démocratie oblige, soi-disant : que l’Etat c’est nous ! Il serait temps que ces Banquiers nous lâchent la grappe ! Il n’y avait, et l n’y a qu’une seule et vraie solution pour sortir de ce véritable cercle vicieux, pour arrêter tout ce cirque financier, ce jeu de bonneteau financier : en nationalisant les établissements financiers !
D’où les Etats sortent-ils de l’argent sinon en l’empruntant sur les marchés financiers : un véritable cercle vicieux !
Il faudra payer deux fois au citoyen, comme client des banques qui doivent reconstituer leurs fonds propres (augmentation des frais bancaires et du taux de marge sur les prêts... ce qui est déjà fait), puis comme contribuable, même si on leur dit que l’Etat, au bout du compte, serait gagnant et donc le contribuable ; ce qui est loin d’être gagné car tôt ou tard tout le système s’écroulera ! Il y a dix fois plus d’argent dans l’économie virtuelle, celle de la cavalerie que pratique les banques entre elles, et n’oublions pas les multinationales ; dix fois plus que dans l’économie productive réelle et à plus ou moins long termes c’est intenable !Faîtes ce que je dis mais ne faîtes pas ce que je fais ; c’est assez souvent le leitmotiv des puissants de ce monde d’humains : des dirigeants de toute sorte ! C’est ainsi qu’il peut y avoir deux poids et deux mesures ; c’est bien connu : selon que vous soyez riches ou miséreux... !
Poussons le raisonnement jusqu’a bout !
Imaginez que vous soyez, vous, individu ou entreprise lambda, en difficulté financière, limite en faillite personnelle, et, que, pour vous sortir d’affaire, il vous viendrait l’idée de faire de la cavalerie financière avec d’autres commerçants ; autrement dit : de vous faire escompter de faux billets de commerce pour vous financer sur des marchandises n’existant pas, comme on dit maintenant : des marchandises totalement virtuelles ! Croyez-moi, une fois au tribunal de commerce, ce qui est inéluctable, vous seriez considéré comme un tricheur tenu responsable de ses difficultés et lourdement condamné !
Arrivez là, au bord de la faillite, imaginez, après avoir fait de la cavalerie financière, vous trouviez encore un « prête-nom » qui emprunte de l’argent à votre place et, qui vous prête cet argent à un taux usuraire, (2 fois le taux du moment relève de l’usure) C’est précisément ce qui se passe ! A l’évidence vous ne pourriez pas le faire, et surtout pas avec l’aide des institutions, qui, bien au contraire, se retourneraient contre vous et vous feraient payer très cher ce type de pratiques !
C’est pourtant bel et bien ce qui se passe entre les banquiers et les Etats-Nations pour ce qui est du plan de soutien bancaire ; bel et bien ce qui se passe également entre Banques et autres Zinzins, sur les marchés financiers avec les contrats sur dérivés qui sont purement et simplement de la cavalerie financière car il n’y a jamais d’échange de marchandises ; les positions pouvant même être reportées ad vitam aeternam !
De la recherche de capitaux et la possibilité de se procurer rapidement des liquidités en cas de besoins impérieux, ce qui était le rôle de la bourse ; de la satisfaction de ces besoins financiers mais réellement économiques, aussi et plus récemment de la couverture de risques somme toute légitime, à la spéculation pure et à grande échelle : il y a là un sacré détournement de moyens élaborés par de beaux larrons en foire sur les marchés financiers !
Si les Etats mettaient autant d’énergie à lutter contre la spéculation que contre l’inflation la chose économique irait certainement bien mieux ; en même temps iraient mieux : la politique et la démocratie ! Mais voilà, l’inflation coûte au capital, ceci, quand la spéculation, elle, lui rapporte !
Le problème de l’économie, du système économique, c’est qu’il n’y a pas d’« ingénieur système », pas de vision et d’approche réellement globale du système... il n’y a que des spécialités ; plus exactement : il n’y a que des spécialiste qui tirent la couverture à eux !
On pourrait logiquement penser que les politique pourraient être ces ingénieurs systèmes : visiblement non car ils trimbalent la même bêtise humaine que les économiste : en fait la même connerie !
En écrivant ceci, il me revient en mémoire quelques pensées d’Albert Einstein qui me paraissent fort à propos :
« La théorie, c’est quand on sait tout et que rien ne fonctionne. La pratique, (ou réalité) c’est quand tout fonctionne et que personne ne sait pourquoi. Ici, nous avons réuni théorie et pratique : Rien ne fonctionne... et personne ne sait pourquoi ! " (Albert Einstein)
Il parlait de la nouvelle réalité physique qui s’offrait au yeux des physiciens du début du 20 è siècle, de la « nouvelle physique », la quantique ; mais ceci est aussi valable pour l’économie ! Ces physicien durent élever leur conscience pour comprendre cette complexité qui s’ouvrait à eux ; les économistes, et tous les dirigeant de cette planète, seraient bien inspirer d’en faire autant !
« L’imagination est plus importante que le savoir ». (Albert Einstein)
Visiblement les économistes comme les politiques, tous bordés de savoir... du même savoir rationalo économico technoscientiste, manquent terriblement d’imagination ; c’est la raison pour laquelle il n’inventeront rein de nouveau mais s’accrocherons à leur savoir crétin surfait au superfétatoire !
« Il y a deux infinis, celui de l’univers et celui de la bêtise humaine ; encore que pour l’univers la chose ne soit pas certaine… » (Albert Einstein)
Une bêtise humaine qu’il ne considérait pas comme relevant des petits gens mais plutôt de l’« Elite dirigeante » !-
Ecometa,
Désolé de devoir revenir sur ce que vous dites.
« les Banquiers tiennent les Etats par les « valseuses »
>>> C’est vrai. Mais c’est incomplet. C’est toute la société qui vous tient par les c....
Votre employeur sait très bien que vous avez à faire vivre votre famille. Qu’il faut les faire manger et boire. Celui qui est célibataire n’a pas les mêmes contraintes.
Je vous ai dit plus haut que les gens eux-mêmes se pendent la corde au cou.
« Si les Etats mettaient autant d’énergie à lutter contre la spéculation que contre l’inflation la chose économique irait certainement bien mieux »
>>> Très vrai. Mais est-ce son rôle ? Rien que pour contrer les paradis fiscaux, vous rendez-vous compte de l’ensemble des actions et des accords à trouver.
Je pensais que la France allait s’y mettre à fond. Je viens de voir un documentaire en pleine actu sur, l’île Sainte Barth
Hotels de luxe, toute la jet set. On va faire une exception concernant les taxes sur la fortune, alors les impots, on se les met où ?
La théorie c’est bien, la pratique c’est mieux -
Salut Guy !
Tu dis : « Rien que pour contrer les paradis fiscaux, vous rendez-vous compte de l’ensemble des actions et des accords à trouver. »
Petite chanson en réponse :
Rendez vous compte...
en banque !
Je suis un...
saltimbanque.Les accords à trouver ?
Je suis le mieux placé. -
Je te donnerai
tous les agios
toutes les actions à la Corbeille
des livrets roses,
Toutes les choses qui font merveille
Petite fille de ma rue -
@l’enfoiré
Je dis : « Les Banquiers tiennent les Etats par les « valseuses »
Vous dites : C’est vrai. Mais c’est incomplet. C’est toute la société qui vous tient par les c....
Je dis : « Si les Etats mettaient autant d’énergie à lutter contre la spéculation que contre l’inflation la chose économique irait certainement bien mieux »
Vous dites : Très vrai. Mais est-ce son rôle ? Rien que pour contrer les paradis fiscaux, vous rendez-vous compte de l’ensemble des actions et des accords à trouver.
C’est vrai... mais ...
Arrêtez ! C’est vrai ou ce n’est pas vrai !
Avec le cul entre deux chaises, comme vous l’avez, vous allez finir par tomber dans le trou, et c’est de la m... en dessous !
Quant à la société qui me tient par les c...... ce que vous dites, et pour reprendre votre expression : ça n’a ni queue ni tête ! -
Ah Ecométa,
Je vous aime bien, n’ayez crainte. J’aime votre innocence.
Vaux mieux avoir deux chaises pour s’assoir que de n’en avoir qu’une et la rater.
La vie n’est absolument pas une affaire de blanc et de noir.
C’est souvent plus gris que vous ne le pensez, Foi d’Enfoiré.
La m... vous la dégustez en tranche avec l’odeur ou sans, mais vous la dégustez sans même vous en rendre compte.
Vous êtes probablement très jeune. Vous avez le temps de vous changer.
Il faudrait apprendre à lier. La société, celle qui vous emploie, du moins je l’espère pour vous, si vous n’avez pas de charge de famille, pas d’enfants à charge, sait très bien que vous serez plus volatile que celui qui doit nourrir quelques bouches. Maintenant si vous n’avez pas compris, j’aurai du mal à faire un dessin avec une tête ou une queue.
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@l’enfoiré
J’ai certainement autant de vécu que vous, et peut-être même plus : auriez-vous la, prétention de m’apprendre la vie l’enfoiré ? Je tire des conclusions, je prends des décisions et j’en assume toutes les conséquences !
Vous me prêter une vision simpliste qui n’est pas la mienne car je prône une approche par la complexité. Que la société ne soit pas parfaite ne me pose pas problème... elle ne le sera jamais, et tant mieux, car dans un monde en interactions complexes et dynamiques, la perfection serait le signe de la fin : de la régression !
Pour autant, à ce point d’imperfection, voire de non sens, de contresens : il y a un vrai problème ! Le terme de « société individualiste », si caractéristique de cette époque moderne, dans laquelle tout nous confine : notre logique dichotomique, notre raison rationaliste, notre exclusive scientifique, scientiste en fait, et notre culture individualiste ; ce terme de « société individualiste » est une véritable antinomie et une pure contradiction qu’il convient de dénoncer ! C’est une négation de la société en tant que telle ! L’individuel comme le sociétal ne sont pas des contradictions, ils ne doivent pas être opposés ; ils doivent se complémenter car ce sont les deux faces d’une seule et même médaille : celle de la nature humaine à la fois individuelle et sociétale !
Tout est gris et c’est tant mieux car j’aime le gris qui est très seyant : le tout blanc et le tout noir me pose problème, le basic me pose problème, le simplisme me pose problème ! J’ai des certitudes et des convictions... mais je ne suis, ni un simpliste, ni un basic ! -
Ecométa,
Là, nous sommes à 100% d’accord.
Merci pour cette confrontation des vécus. -
@ Alexi69
je rappelle aimablement que le cannabis n’est pas une drogue ou alors toute les plantes naturelles de notre planete le sont ou le seront bientôt —> codex alimentarius 12/2009
D’autre part le cannabis fût declare officiellement « drogue » pour permettre au futur cartel petro-pharmaco-chimique de fourguer leur merde au peuple qui mit plus d’un decade a accepter le lavage de cerveau ! vous en avez pas marre d’etre des « aras » ?
http://www.dailymotion.com/search/illuminati/video/x7jy3f_12conspirationcon trelecannabisengli_news@ Marc Bruxman
1 / Il y a eu sauvetage des banques parce que les états n’avaient pas le choix —> ???
faut se renseigner avant d’écrire des aneries !!!2/ ce que ne précise jamais les medias autorisés : A qui la France et les autres pays industrialisés doivent-ils du pognon ???
c’est bien beau de parler de dette à longueur d’année encore façon « je suis informé » encore faudrait-il savoir qui est/sont le/les creancier(s) et vérifier pourquoi il y a creance !!! A ce jeu là je ne sais pas trop qui prend la carotte dans le fion ?
A mon humble avis on se l’est tous pris dés notre naissance@ JeanMarc notre ami californien
« (A part quelques remarques pronant l’anarchie ou la dictature comme la nationalisation des banques) »
Faudrait un évoluer un peu dans le discours, c’est fatiguant et de toute façon, le capitalisme, socialisme, communisme etc. ne sont qu’un tissus de conneries qui à l’instar des religions monotheistes n’ont jamais servi qu’a une chose : l’ecrasement des peuples par des elites ! best regards -_*-
@Baloo
Pas une drogue, le débat certes s’impose.
En médecine, le débat s’impose.
Dans la rue, le débat... s’impose...
Quand on à un ami qui est shooté à toutes les récrées de cours et qui n’as plus toute sa tête, le débat s’impose. -
Gilbert du Motier de La Fayette, qui détestait le désordre et saluait la nécessité d’une autorité juste, avait identifié deux éléments incontournables de la vie sociale :
- Les lois criminelles
- Le devoir d’insurrection lorsque les précédentes devenaient par trop prégnantes.Grâce aux sordides menées des politiques actuelles, nous pouvons constater sans effort d’imagination que les plus sauvages comportements sont protégés par des lois.
C’est cela qui peut inquiéter et les proclamations grandiloquentes du genre « ceux qui gagnent et ceux qui gueulent » sont aussi ridicules que stériles.
Que feraient ceux qui gagnent si on éliminait tous les autres ? rien.
Puisque aujourd’hui, « gagner » consiste à ne rien faire sinon du fric par des trafics d’influence ; s’il faut un exemple caractéristique, Bernard Tapie est un « gagnant » qui n’a jamais rien créé en quelque domaine que ce soit, sinon un réseau d’influence au plus haut niveau de Giscard à Sarkozy en passant par Mitterrand.
Un exemple à suivre, sans aucun doute, si on veut détruire le tissu social.
Et je vous fais grâce de Bernard Arnault dont on se rappelle avec émotion de la campagne lancée pour prendre possession de Boussac au plus grand bénéfice des frères WillotLe problème c’est que beaucoup trop d’entre nous aiment à se rassurer par une méthode Coué pensant qu’il suffit de chanter les louanges des « gagnants » pour en être.
Jusqu’à ce qu’ils soient le moment venu balancés dans la fosse commune avec les autres et ce jour là, ils ne peuvent plus compter sur l’indispensable solidarité qu’ils se seront acharnés à détruire.
Et le comble c’est que les mêmes vont dans le même temps se complaire dans la dénonciation des anarchistes.Car l’inversion sémantique est un aspect de l’escroquerie politique actuelle ; on sauve l’assurance maladie en lui supprimant toute substance, on protège les populations en les confinant dans leur impuissance, on dénonce comme anarchistes ceux qui souhaitent un renforcement des règles et on évalue le dynamisme et l’énergie d’un chef d’État en mesurant ses performances en footing ou à vélo.
La Fayette, nous voilà ?
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Exemple même de ce que j’écris plus bas : Comment tout le monde à bien appris à taper sur Bernard Tapie et exiger un meilleur contrôle de l’Etat.
Rappelons l’histoire : Bernard Tapie, escroc à la pite semaine, se fait escroquer de 2 milliards d’euros par les hauts fonctionnaires énarques qui dirigent le Crédit Lyonnais à l’occasion de la vente de sa société Adidas. Les hauts fonctionnaires qui montent ce coup espèrent ainsi récupérer une partie de la dizaine de milliards qu’ils ont perdu en dirigeant cette banque.
Tapie s’en aperçoit et les poursuit en justice. Mais grâce aux hauts fonctionnaires du Ministère de la Justice, Tapie mettra presque 20 ans à récupérer une toute petite partie de l’argent qu’il s’est fait escroquer par ces hauts fonctionnaires. Et, il l’avait bien cherché. Résultat, tout le monde est persuadé que c’est lui qui a volé l’argent de l’Etat, alors que c’est l’Etat Français qui lui a monté une des plus remarquables escroquerie du siècle dernier.
Regardez Bernard Arnault, l’homme le plus riche de France : c’est un fonctionnaire polytechnicien. Grâce à ses contacts, et plus si affinités, avec les nombreux hauts fonctionnaires polytechniciens qui peuplent les ministères, en particulier le Ministère des Finance et de l’Industrie, Bernard Arnault a pû bâtir la 7ème fortune du monde.
Alors, allez-y les blaireaux, exigez un « meilleur contrôle de l’Etat sur les affaires ». Les fonctionnaires, en particulier les hauts fonctionnaires polytechniciens vous remercient ! -
@arthurh
Nous sommes donc d’accord, ni Tapie ni Arnault n’ont jamais rien créé en quelque domaine que ce soit ,sinon des réseaux d’influence et ce n’est pas parce qu’il s’est fait couillonner comme un bleu que Tapie doit être dédouanné : Je vous rappelle ses reprises au franc symbolique faites dans le plus pur mépris de tout ce qui n’était pas LUI.
Pour ce qui est de Bernard Arnault, vous avez raison d’illustrer avec autant de netteté ce que je m’étais contenté de laisser comprendre.
Et pour ce qui est des hauts fonctionnaires OK, ils se contentent de se faire nommer présidents de parachutes dorés.
Et si je vous comprends bien, ils ne sont pas des blaireaux, eux : la preuve ? Ils s’acharnent à démontrer qu’il faut en finir avec la réglementation par l’Etat.
Pour pouvoir mieux savourer et digérer l’assiette au beurre, sans doute ?Seriez-vous un gagnant par hasard ? j’ai bien peur que votre réponse soit « oui » : je me fais du souci pour vous au grand rendez-vous éconocatastrophique de 2010
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Si la banque distribue de si gros bonus à ses traders, c’est qu’elle en gagne encore beaucoup plus, en ne prenant AUCUN RISQUE, puisque les pertes sont payées par la collectivité.Pourquoi ces banques ont elles des marges aussi confortables sans subir la régulation d’un marché concurrentiel ?
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Les banquiers sont plus que de simple escroc ou criminel, se sont des traîtres à la nation Française. Ils sont les collabos et serviteur de l’empire financier anglo-américain. Depuis des décennies ils ont encouragé les délocalisations et les fusions ainsi que l’europe ultralibérale voulu par les états unis contre les peuples d’europe. Ils ont détruit l’industrie Française et aujourd’hui ils s’attaquent aux acquis sociaux. En s’appropriant la monnaie européenne, ils ont démantelé l’état Français.
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L’ignorance jusqu’à l’écoeurement.
Et voilà encore un « journaliste » jamais sorti de sa chambre venir sur Agoravox nous sortir le couplet sur « les banquiers ».
Et en France, comme si en France, il y avait des « banquiers » !!!
Rappelons la réalité :
Les dirigeants de la BNP, de la Société Générale ne sont pas des « banquiers », ce sont des fonctionnaires. Plus précisément des hauts fonctionnaires énarques. Il est presque impossible de diriger une grande banque en France si on n’est pas fonctionnaire.
Et pour cause : Ces « dirigeants » de banque sont tous des anciens haut fonctionnaires du Ministère des Finances. Il n’y a donc aucun risque pour eux : en cas de problème, leur banque sera obligatoirement sauvée par les hauts fonctionnaires énarques qui dirigent le Ministère des Finances, et qui sont déjà en compétition pour prendre la direction de la BNP ou de la Société Générale pour remplacer les hauts fonctionnaires énarques qui les « dirigent » actuellement.
On a vu l’exemple avec l’affaire Kerviel où le Président Daniel Bouton, un haut fonctionnaire énarque du Ministère des Finances, a été sauvé par ses copains hauts fonctionnaires énarques du Ministère des Finances, qui lui ont fait cadeau d’un milliard d’euros d’impôts pour sauver « sa » banque..
Daniel Bouton a force de scandales pour cause de salaire exorbitant et de stock-options scandaleuse, a dû laisser sa place à Frédéric Oudéa, un autre haut fonctionnaire énarque.
Daniel Bouton va donc pouvoir toucher sa retraite de "dirigeant de la Société Générale : 2000€ par jour. Il pourra, bien entendu, toucher en plus sa retraite de fonctionnaire !
Alors, surtout, surtout, ne vous gênez pas ! Continuez à exiger dans vos réactions plus d’intervention de l’Etat dans les banques, bande de blaireaux ! Les fonctionnaires, plus précisément les hauts fonctionnaires énarques du Ministère des Finances vous en remercient d’avance.-
Evidemment, vous avez compris que si 90% de la finance, en France, est placée sous l’étroit contrôle de la Noblesse d’Etat, les fonctionnaires, et plus précisément les hauts fonctionnaires énarques et polytecniciens, il y a une raison :
Ca permet en plus aux fonctionnaires, en particulier les hauts fonctionnaires, énarques et polytechniciens, de contrôler la moitié des grandes entreprises du CAC 40, entres autres, et surtout, en plus des grandes entreprises nationales pas côtées en bourse...
Alors surtout, ne changez pas, continuez vos diatribes contre l’absence de contrôle de l’Etat, les hauts fonctionnaires vous remercient d’avance d’avoir si bien appris la Pensée Unique qui est le programme officiel de l’Education Nationale qu’ils contrôlent entièrement. -
Qu’est ce que vous nous racontez, cher Français Californien ?
depuis quand nationaliser les banques, revient à instaurer une dictature ?
faites-vous partie de ces individus qui considèrent Obama comme un communiste parce qu’il veut créer une protection sociale une partie de la population américaine ?
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Le californien n’est plus tout à fait dans le coup, il n’a pas remis à jour son logiciel depuis les fifties du siècle dernier.
Et pour lui, la pire des dictatures est sans doute celle qui empêche les gens « entreprenants » de se servir dans la cagnotte constituée par le travail de tous les autres -
BRAVO @ l’auteur et merci ! Ca fait quelques semaines que moi auss je me dis qu’il faut que j’écrive à propose de l’affaire Fortis mais tout ce la m’écoeure tellement ! MERCI !!
J’en profite poru commenter la fin de votre très bon article. Tous : ne tombez pas dans le panneau.« Mais seront-elles suivies de mesures contraignantes, de lois, de règlementations, bref de ce qu’on nous promet depuis un an : un marché régulé ? On aimerait tant le croire… »NON ! Les règles existent déjà : il est évident que toutes ces choses sont déjà interdites mais elles ne sont pas sanctionnées là où elles pourraient l’être. Donc quoi ? Ils veulent créer de nouvelles instances avec de nouveaux fonctionnaires qui coûteront encorep lus et leur donneront plus de pouvoir. C’est pourquoi, même après cette crise : NON à de nouvelles institutions mise en place soit disant pour que ça ne recommence pas !!!!-
On parle, on analyse, un jours, le cycle sera terminé... 1789... 20 ?? Justice.
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je vais dire un truc qui ne plaire à personne, mais tant pis.
Nous sommes tous conditionnés à donf. Nous peinons donc à penser en-dehors des rouages qui nous sont imposés et qui prétendent penser pour nous,nous y revenons sans cesse, pour avaler ou recracher, mais nous y revenons toujours aux explications des mêmes qui nous foutent tous dans la merde et à mendier auprès de gens qui nous mentent ehontément depuis toujours. mais nous aimons croire que nous y sommes pour quelque chopse, ce fait de la fierté qui ne veut s’avouer qu’il a été mené en bâteau est difficile à rompre et pourtant incontournable si on veut vraiment que la situation change.
Mais tant que nous réfléchissons dans le cadre des problèmes qu’on nous sert, ces problèmes nous emprisonnent, simplement parce que les petits malins connaissent leur sstème boien mieux que bnous et que sur leur agenda de fous furieux nous avons toujours vingt ans de retard pour comprendre ce qu’on nous fait.
Je vais pas m’attarder plus longtemps sur tous les aspects de « ce qu’on nous fait », mais c’est l’habitude que les choses se passent ainsi qui nous emprisonne et permet paradoxalement aux politiques de nous raconter et aux banquiers de faire n’importe quoi.
Il n’a jamais été question que des financiers soient des parangons de vertu, ils ne seraient pas devenus banquiers ni à des politiciens d’aimer plus la vérité que leur position merdiatique.
Ainsi il est inutile d’attendre que l’autre change, que le banquier devienne un pasteur et un politicien un honnête-homme quand il a toujours appris que la politique est l’art de mentir.
quezako ?
Ce que j’essaie de dire c’est qu’en attendant de ces gens qu’ils changent et de continuer à tout atendre d’eux est plus que paradoxal.
Nous devons tracer d’autres voies, reprendre une autonomie qui nous aété volée. Les centianes de milliards ne sont que le reflet de ce pillage, mais il est intérieur, c’est la substance-même de la société qui est ravagée quand la foule aime par-dessus tout se livrer à une compétition stérile et à tous les niveaux et dans tous les rfecoins des cités.
Cette compétition est tellement enfoncée dans les esprits que même les enfants n’apprenent pas grand-chose d’autre, les plus sensibles en souffrant forcémenet, cete compétition ASSURE lla médiocraie, parce que les plus intelligents ONT HORREUR de la compétition, parfois même juste leur intuition les amène à avoir envie de vomir quand la compétition est brandie en valeur suprême entre les hommes et moteur principal de la machine sociétale.
mais si on suit ce raisonnement forcément toute la société devient mécanique, car les jeux de compétition sont tous élaborés par la machine de sbanksters. le carcan reste toujours le même et aucune issue ne peut se dessiner, la cage compétitive qui ne sert en définitive qu’à être certain de nous séparer, même si tout le monde croit dur comme fer oeuvrer à un bien commun. le seul bien qui en résulte sont toutes les dividendes qui affleunt chez les Bilderberger.
Solution ? Oui.
Nos ancêtres nous ont laissé des traces qui ne sont que des futilités touristiques si on oublie toutes les valeurs qui font un être humain.
Qui se souvient pourquoi les cathédrales furent construites ?
On dira que ce fut un délire de pouvoir pour contenir les foules de chrétiens et les assembler en troupeau docile et que dès lors elles sont désuettes... mais c’est alors projeter sur un autre temps les folies d’aujourd’hui qui avaient d’autres dimensions.
les cathédrales furent le premier pilier social de nos villes. Elle sdevaient servir à transfomer la nature des hommes. Les élever vers des notions plus élevées que nichon-cul-et bière. Elles furent créés pour apporter un lieu de solidarité, de partage, un lieu où les sans abris allaient se recinquer, où les hommes de bonne volonté pouvaient apporter un surplus, un lieu qui permettait de redistribuer ce que autrement on aurait jeté aux cochons, ce que aujourd’hui on jette par tonnages parce que une date est passée et que les services hygiénostes sont drastiques , des tonnes de marchandises sont ainsi perdues quand eles pourraient faire le bonheur des pauvres.
Avc la fin de l’oppression religieuse s’est aussi perdue le sens transcendant sans lequel aucune société n’est viable, car elle n’a en son sein aucune connection viotale.
En ce cas, de manière redoutable, ce sont les aspects les plus mlcaniques de la société qui prennent les commandes, en l’occurence le train des marchands ou pire... les militaires, dont la tâche remière est si simple qu’elle leur fait croire qu’elle peut remplacer tous les aspects de la société. les plus apeurés d’entre nous ne pensent pas autrement.
Mais le noyau de la cohésion est toujours absent.
l n’y a donc pas de réelle connection et l’ensemble de la société ressemble de plus en plus à une boîte dont toutes composantes voudraient voler en éclats. La société militaire alors assure que la boîte n’explose pas et tout le monde étouffe.
...
donnons quelques temps aux neurones d’assimiler.
Vous comprenez maitnenant le mécanisme qui apauvrit notre société ?
Car le noyau de la cohésion dépend de notre vue sur lui.
Continuer à stipuler que la compétition est le socle de notre société et alors il ne faut pa s’étonner de la prise de pouvoir des plus organisés d’entre nous tus, ceux qui ont établi des ruages coercitifs qui assurent leur dividendes.
mais ce n’est pas une fatalité. Il faut se souvenir.
Si nous reprenons notre noyau de cohésion, à savoir le partage spontané et la repsie des cathédrales pour rouvrir le oeur des villes, malgré les temple sde la consommation où aujourd’hui au sein de ceux-ci puisque nos villes sont devenues cela, à un autre niveau dont ni les banksters ni les militaires ne sauraient que faire, car cela est complètement en-dehors de leur référnce-cadre de raisonnement et leur but fut toujours de contenir la ociété dans LEUR cadre, c’est ainsi que nousa vons tus été enfilés dans LEUR société, le profit régit tous les étages de la société et nous pouvons changer cela.
Pas en mendiant auprès des politiques qui ravaillent pour un agenda qui n’est pas le nôtre, celui des banksters. Mais en volontairement se réapropriant les cathédrales.
ça a l’air désuet comme proposition, une image d’épinal, mais je vais vous demander d’y réfléchir plus sérieusement,car imaginez le ven de fraicheur qui trvaerserait nos villes e cpotales si leur coeur était rouvert aux citoyens et qu’ils pourraient de nuit comme de jour s’y retrouver et soigner les lus faibles d’entre nous.
Notre paresse pourrait facilement nous dire que toutes les bonnes officines sont déjà en place et que la pauvreté des autres ne nous concerne pas, qu’on veut juste une saine répartition des richesses.
Mais ce nest PAS le système qui fut construit durant les siècles et ses tenants n’ont aucune raison de changer d’optique, pour eux tout va bien, ils tiennent absolument tous les aspects de notre société moyennant beaucoup de coercion et de projections ridicules comme la niton qu’être un bon footballeur en fait un dieu...
ces projections viennent remplacer tous les fondamentaux qui font la civlisation dont le premier est la notion de partage.
Tenant ainsi tous les pouvoirs mis en place par eux-mêmes, pourquoi écouteraient-ils nos complaintes ? C’est de notre fait si nous n’ouvrons pas de nouveau paradigme de cohésion. Si nous restons volontairement dans leurs paradigmes, à essayer d’amélorer un système quîls contrôlent à la perfection, il n’y a aucune chance d’améliorer quoi que ce soit
Reprenons les cathédrales et reprenons la marche de notre société en y rouvrant LE lieu que nous avons construit comme point de réunion et qui nous manque cruellement : la cathédrale.
Ce lieu de réunion, xcusez-moi, mais il faut le regarder crument pour ce qu’il est devenu : ce sont les écrans télé.
On le remarque souvent, la réalité des écrans est tellement plus attrayante que nombreux sontàils à préférer laisser leur esprit vagabpnder dans ces fils numériques plutôt que de chercher à conaitre leur voisin. Si un easpect de notre société est malade c’est bien celui-là.
Je vous parlel bien sûr de manière générale, sachant que le plus grand nombre essaie de maintenir cette cohésion humaine, mais le socle de la société n’est plus le partage mais la compétition comme nous l’avons déjà vu et c’est le noyau de la maldie occidentale, celui qui permet toutes les disensions et l’avidité comme moteur sociétal, destructeur forcément.
Je ne vous parle pas de bondieuseries, mais de la simple notion de partage gratuit et universel, le sens dans lequel elles furent bâties. Nous interdisons d’ailleurs par avance à quiconque n’ayant pas son origine dans la chrétienté de contredire cet aspect des cathédrales. Comme c’est devenu le grand dada des gens des plateaux télé de démolir tout ce qui fut fait de beau par la bonne volonté des hommes.
Chacun s’occupe de son église, mais si nous ne produisons pas un tel mouvement l’empire des banksters finira par contrôler chaque micro-aspect de nos faits et gestes.
au lieu de continuer à croire que nous consommons même nos propres vies et qu’il est suffisant de dire notre avis et qu’il sera pris en compte.
Rockefeller pour sa part ne comprend même pas pourquoi les poulets et les cochons se sont mis à comprendre et à s’exprimer... nous les consumons nos vies dans cet espoir hypnotique qui fait trravailler les oiuvriers dans les usines en se disant que demain sera meilleur, les discours d’Oblabla sont patents pour venir souligner mon argument, quand chaque jour une liberté passe à la trappe et pour une machine dont il est aujourd’hui évident qu’elle ne sert absolument pas les intérêts du nombre.
Reprenons les cathédrales. Qui n’arrêtait pas de dire qu’il faut agir au lieu de parler ?
La compréhension est importante, mais elle doit être canalisée ensuite et c’est ce qui nous manque poarce que nous n’avons plus ce noyau de cohésion, les cathédrales sont devenues des leiux de curiosité touristique.
mais si la consommation est la seule cohésion que nous souhaitons alors il est même totalemnt vain de se plaindre de la marche de la société telle qu’elle est aujourd’hui, c’est une prison qui ne peut QUE se rétrécir tous les jours d0avantage parce que l’empire des bankesters est fait de privatisation de tout. AVec la taxe carbonne ils ont même trouvé un moyen de nous faire payer l’air qu’on respire.
Ils vont même surement nous faire payer une taxe pour faire caca prétextant-
Bonjour
à dom : bon article plein de bon sens et de logique.
Mais notre espèce est-elle prête à s’ engager sur cette voie ? Lorsque je regarde autour de moi ,j’ai peur du contraire. Les esprits clairs et lucides sont en minorités , les anesthésiés prédominent. Pour redonner aux cathédrales leurs lettres de noblesse il faudrait d’abord réveiller en chacun de nous l’esprit Templier qui y est en léthargie . Mais pour briser les mur de sa prison nous ne sommes pas tombés encore assez bas et n’avons pas encore assez souffert. Mais tout cela arrive, gardons espoir. -
C’est une bonne et juste approche de la condition humaine.
La tragédie humaine c’est précisément :
- Que tous ensemble avons un besoin vital de vivre en société pour être dynamisés par les échanges et rassurés par la solidarité.
- Que dans un même temps chacun de nous est essentiellement motivé par le refus du partage.
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que nous polluons (excusez ce bug du site qui empêche de corriger est insuportable)
Reprenons les cathédrales pour y loger tout le monde, sans abris et hommes de bonne volonté afin qu’il y ait un nuveau vent qui ne soit pas dans lec adre des banksters et un sens constructif autour duqule même les militaires ont quelque chose de sensé à défendre, puisque c’est leur truc. S’il n’y a que des matières à protéger c’est certain, nous serons des loups les uns pour les autres. Si nous partageons des matières spirituelles elles deviennent un apport pour tous tout en assurant le bonheur même des plus fragiles.
Si les ados pêtent les plombs c’est aussi à cause de ce manque de cohésion et rien ne pourra remplacer les coeurs des villes que les cathédrales pour ressouder les aom autour d’un sens transcendant PHYSIQUE et REEL, car tout est devenu virtuel ou lévitant n’ayant pas de base concrète hormis des égos qui s’affrontent, même pour se croiser sur le trottoir.
Reprenons les cathédrales et redonnons-les aux sans abri pour remettre un vrais partage au goût du jour et nettoyer ces peurs de l’isolation dans laquelle on nous maintient tous en menaçant tous les jours un peu plus la liberté d’expression.
Mais c’est à nous de changer le cadre de nos habitudes, et retrouver ce noyau de cohésion et nous vons la chance d’avoir des bâtisses toute prêtes qui ont été construites exactement pour celà.
Mais on ne peut demander des olutions à ceux qui posent les problèmes sans tomber dans le piège qu’ils nous concoctent d’avantage de prisons puisque nous le demandons.
Vous comprenez ?
. Vous pouvez bien payer des entrées à des festivals et vivre une illusion momentanée de cohésion, elle sert encore à gonfler des portefeuilles des uns au détriment des autres. Ou se donner bonne conscience une fois par semaine à écouter un sermon ou à vider un peu notre surplus pour les pavres... c’est un 24 h sur 24 dont nous avons besoin, du REEL, du CONCRET, tous les jours que Dieu fait et que nous ne faisons pas contraiement à ce que les imbéciles croient devenant les victimes les plus complaisantes de cette tyranie de l’argent.
Un noyau de cohésion gratuit où la vie pourrait de nouveau s’exprimer dans la fusion plutôt que dans la peur de l’autre, bien entretenue par le système.
Reprenons les cathédrales !!
excusez du roman, mais il y a des jours où j’ai trop l’impression qu’on ne fait que se perdre à jouer les plus malins, tout est virtuel, mais nos villes et nos vies ne le sont pas.
Cessons de tendre la perche et notre pouvoir d’être à ceux qui n’ont apparemment comme unique plaisir de nous enfoncer dans l’esclavage en rigolant et retrouvons une cohésion vivante et digne d’une vraie société des hommes.
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@chantecler
c’est notre avantage apparemment...
elles sont déjà construites !!! Nous n’avons là pas trop de questions à nous poser.
Et le fait de les faire revivre nous revigorerait aussi le sens de qui nous sommes quand on veut nous compresser dans des conflits identitaires qui ne sont pas les nôtres et qui sont sensés justifier la mise à sac de notre société.-
excusez de ces nombreuses fautes de frappe, l’impossibilité de corriger le texte et l’urgence me fait faire des bâtises.
j’a replacé ce texte sur mon blog corrigé et mis au net si vous voulez y revenir.
voici le lien et bonne journée à tous, merci auteur pour votre article.
On en as ras le bol de parler n’est-ce pas ? Il nous faut aller de l’avant MALGRE les politiques et cesser d’attendre qu’on nous serve le paradis sur un plateau, cela n’aura jamais lieu si nous n’avançons pas vers lui. Mais tout est possible dans un nouveau paradigme.
http://bubbledom.wordpress.com/2009/08/15/reprenons-les-cathedrales-bis/-
Réguler le marché banquaire, voilà LA grande illusion. Un pansement en plâtre sur une jambe de bois. Le système banquaire par essence est pourri, un énorme montage pyramidal qui fait maintenant des pieds et des mains pour continuer son agrandissement et repousser ainsi encore son effondrement.
Non, il ne faut pas « réguler » le système banquaire, il faut bel et bien le faire s’écrouler. On va me dire que je suis cruel, que je ne pense pas aux conséquences. Rien de plus faux, je vois surtout que les conséquences seront bien plus graves si on le fait demain plutôt qu’aujourd’hui.
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On nous fait croire qu’il n’y a pas de responsable et que s’est la faute du système capitaliste, bref on nous prend pour des cons !
Si les fonctionnaires inventent tous les jours des lois pour criminaliser les Français, ils refusent de prendre leur responsabilité.« Coupable mais pas responsable ! »L’invention des énarques : La faute de la victime qui par son ignorance et son manque d’information a fait confiance dans l’état et ses fonctionnaires, trop fort ! Nous sommes tous victimes de leur crise mais s’est de notre faute car nous avons fait confiance aux énarques.Il faut d’urgence créer une loi interdisant toute activité professionnelle pour les énarques sur le territoire Français et les encouragés à partir à l’étranger. La France n’a plus les moyens d’entretenir cette castre qui collabore avec l’empire financier anglo américain contre les intérêts Français.-
Parfois, je me demande si TOUTE la finance mondiale ne repose pas sur une « pyramide de Ponzi », du type de celle de Madoff....
Surtout depuis que la finance ne s’intéresse plus du tout du financement de l’activité économique, trop occupée à faire du fric, juste avec du fric (à spéculer avec l’argent de nos impôts, en fait...)
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Je pense comme vous qu’il ne s’agit plus du tout chez nous d’activité économique, elle est en train de s’installer ailleurs, du côté de l’Asie Centrale.
Ni même d’ailleurs de faire du fric, puisque par définition, il est la ou l’activité se trouve.Tout cela est largement dépassé en Occident, la vraie motivation c’est s’approprier tous les avantages du pouvoir.
Comme dans n’importe quelle république bananière...Sauf miracle, nos pays ne sont plus capables d’autre chose
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et moi je me demande si on n’est pas face à une bande d’incompétents dépassés par un marché mondial qu’ils ne savent voir que comme la place du village, bien au chaud dans le cocon du royaume....-
Après :
- Le « complot » du 11 Septembre- Le Tamiflu- La vaccination contre la grippe- La nouvelle crise de 1929- Et tous les autres thèmes du genre : « on nous cache tout, on nous dit rien »Voici le sujet préféré de nos « journalistes citoyens » :La réforme du système bancaire !-
l’Europe, par le biais de l’Union européenne, dans le cadre de ses compétences, ou par une action concertée de tous les Etats membres, pourrait (et tôt ou tard doti ) légiférer pour donner à ses banques, institutions financières et marchés financiers un cadre de régulation qui évite qu’une crise se reproduise.
Cette régulation pourrait mettre en oeuvre les principes suivants :
1- Les banques sont les serviteurs de l’économie réelle et non les maîtres : les banques fournissent les capitaux aux entreprises selon leurs besoins et sont rémunérées en focntion des services qu’elles rendent. Ce n’est pas aux entreprises de fournir des profits en fonction des exigences des banques et des marchés financiers.
2- les banques ne participent pas à la création et à l’alimentation des bulles spéculatives. Même si des profits exorbitants peuvent être réalisés sur la pente ascendante d’une bulle, ses risques lors de l’éclatement, et ses effets nuisibles généraux pour la société entière, interdisent que les banques y participent. Ainsi, les banques ne fournissent pas de crédits à but pséculatif et n’engagent pas leurs fonds propres dans la spécualtion.
3- Les banques calculent leurs systèmes d’incitation (primes et boni) sur un rendement à long terme des activités de leurs employés et dirigeants. Les eprtes présentes annulent les boni passés et peuvent même les rendre négatifs.
4- la titrisation (en vue de vente ultérieure) des créances et l’achat de tels titres est interdite.
5 - Les babques respectent scrupuleuement le ratio de Bâle II entre fonds rpores et engagements ; totue activité hors bilan est interdite.
Réforme pouvant être mise en oeuvre...il y faut LA VOLONTE POLITIQUE
(l’argent public doit servir avant tout à préparer l’avenir de tous les européens, et pas seulement celui des élites financières)
http://millesime.ober-blog.com-
Marrant comment vous admettez, au fond, qu’en Union Européenne, les citoyens de l’UE n’ont aucun rôle a jouer...
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si cela ne plait pas aux traders....qu’ils aillent offrir leurs services aillieurs.. !
http://millesime.over-blog.com-
j’ajoute une dernière résolution :
6- les banques cessent toute activité avec les paradis fiscaux.
(il y en aurait plus selon nos leaders) ..mdr.. !
VOLONTE POLITIQUE de nos LEADERS
(voeu pieux ?) pourtant tôt où tard il faudra y arriver.. ; !
http://millesime.over-blog.com-
Nous sommes capitalistes, des fonctionnaires du capital ! D Collin
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