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Commentaire de L’enfoiré

sur Les banques : jusqu'à l'écœurement


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L'enfoiré L’enfoiré 15 août 2009 14:04

Ecomédia,

D’abord, merci de relever le défit que je lançais avec ce commentaire.

Je savais très bien que je n’allais pas avoir les « félicitations du jury » à la suite d’un article comme celui-ci.

L’« mais tout de même ! », ce n’est pas moi qui l’ai ajouté, c’est une extrapolation de votre part.

Mes échos, je les reçois de l’intérieure, des professionnels des banques qui vendent ce que les clients demandent. Et là, vous allez déchanter.

La « cupidité » existe bel et bien. L’éthique est inexistante. La plupart des clients ignore quelle est la différence entre une action et un obligation. Pour une obligation, quand les taux montent, ils s’apprêtent à vendre leurs titres. En fait, ils n’ont pas essayé quoi que ce soit de comprendre le « système ». Je me souviens de forums et des questions posées à des spécialistes. Plus idiotes parfois les unes que les autres. L’appât du gain est bien plus fort que la raison. Et cela il faut le savoir. La Gouvernance utilise cette méconnaissance, c’est tout à fait vrai. On n’aime pas trop trouver des gens trop futés.

J’ai fait aussi du management. Je connais parfaitement le middle-management. Si AV me prette vie avec mon prochain article, je vais en parler. Ce sera sur mon site de toute manière.

Culpabiliser le citoyen ? Comment pouvez-vous ne pas y penser quand on remarque le travail et les dépenses d’énergie pour gagner de l’argent et remarquer le peu de soucis pour comprendre tous les maillons de la chaîne.

Le droit de vote n’a rien avoir avec ce que je viens de dire. La démocratie n’existe toujours pas dans les affaires extra-élections politiques. Ne mélangeons donc pas.

L’évolution continue son œuvre, absolument et je l’espère bien. Je ne connais pas le nombre de crises qu’il faudra encore pour le message passe.

L’économie financière fait partie de nous que vous le voulez ou non. L’histoire du chat et de la souris n’est pas un mirage, même si l’œuf de la bêtise ne contient pas toujours les germes du progrès.


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