je vais dire un truc qui ne plaire à personne, mais tant pis.
Nous sommes tous conditionnés à donf. Nous peinons donc à penser en-dehors des rouages qui nous sont imposés et qui prétendent penser pour nous,nous y revenons sans cesse, pour avaler ou recracher, mais nous y revenons toujours aux explications des mêmes qui nous foutent tous dans la merde et à mendier auprès de gens qui nous mentent ehontément depuis toujours. mais nous aimons croire que nous y sommes pour quelque chopse, ce fait de la fierté qui ne veut s’avouer qu’il a été mené en bâteau est difficile à rompre et pourtant incontournable si on veut vraiment que la situation change.
Mais tant que nous réfléchissons dans le cadre des problèmes qu’on nous sert, ces problèmes nous emprisonnent, simplement parce que les petits malins connaissent leur sstème boien mieux que bnous et que sur leur agenda de fous furieux nous avons toujours vingt ans de retard pour comprendre ce qu’on nous fait.
Je vais pas m’attarder plus longtemps sur tous les aspects de « ce qu’on nous fait », mais c’est l’habitude que les choses se passent ainsi qui nous emprisonne et permet paradoxalement aux politiques de nous raconter et aux banquiers de faire n’importe quoi.
Il n’a jamais été question que des financiers soient des parangons de vertu, ils ne seraient pas devenus banquiers ni à des politiciens d’aimer plus la vérité que leur position merdiatique.
Ainsi il est inutile d’attendre que l’autre change, que le banquier devienne un pasteur et un politicien un honnête-homme quand il a toujours appris que la politique est l’art de mentir.
quezako ?
Ce que j’essaie de dire c’est qu’en attendant de ces gens qu’ils changent et de continuer à tout atendre d’eux est plus que paradoxal.
Nous devons tracer d’autres voies, reprendre une autonomie qui nous aété volée. Les centianes de milliards ne sont que le reflet de ce pillage, mais il est intérieur, c’est la substance-même de la société qui est ravagée quand la foule aime par-dessus tout se livrer à une compétition stérile et à tous les niveaux et dans tous les rfecoins des cités.
Cette compétition est tellement enfoncée dans les esprits que même les enfants n’apprenent pas grand-chose d’autre, les plus sensibles en souffrant forcémenet, cete compétition ASSURE lla médiocraie, parce que les plus intelligents ONT HORREUR de la compétition, parfois même juste leur intuition les amène à avoir envie de vomir quand la compétition est brandie en valeur suprême entre les hommes et moteur principal de la machine sociétale.
mais si on suit ce raisonnement forcément toute la société devient mécanique, car les jeux de compétition sont tous élaborés par la machine de sbanksters. le carcan reste toujours le même et aucune issue ne peut se dessiner, la cage compétitive qui ne sert en définitive qu’à être certain de nous séparer, même si tout le monde croit dur comme fer oeuvrer à un bien commun. le seul bien qui en résulte sont toutes les dividendes qui affleunt chez les Bilderberger.
Solution ? Oui.
Nos ancêtres nous ont laissé des traces qui ne sont que des futilités touristiques si on oublie toutes les valeurs qui font un être humain.
Qui se souvient pourquoi les cathédrales furent construites ?
On dira que ce fut un délire de pouvoir pour contenir les foules de chrétiens et les assembler en troupeau docile et que dès lors elles sont désuettes... mais c’est alors projeter sur un autre temps les folies d’aujourd’hui qui avaient d’autres dimensions.
les cathédrales furent le premier pilier social de nos villes. Elle sdevaient servir à transfomer la nature des hommes. Les élever vers des notions plus élevées que nichon-cul-et bière. Elles furent créés pour apporter un lieu de solidarité, de partage, un lieu où les sans abris allaient se recinquer, où les hommes de bonne volonté pouvaient apporter un surplus, un lieu qui permettait de redistribuer ce que autrement on aurait jeté aux cochons, ce que aujourd’hui on jette par tonnages parce que une date est passée et que les services hygiénostes sont drastiques , des tonnes de marchandises sont ainsi perdues quand eles pourraient faire le bonheur des pauvres.
Avc la fin de l’oppression religieuse s’est aussi perdue le sens transcendant sans lequel aucune société n’est viable, car elle n’a en son sein aucune connection viotale.
En ce cas, de manière redoutable, ce sont les aspects les plus mlcaniques de la société qui prennent les commandes, en l’occurence le train des marchands ou pire... les militaires, dont la tâche remière est si simple qu’elle leur fait croire qu’elle peut remplacer tous les aspects de la société. les plus apeurés d’entre nous ne pensent pas autrement.
Mais le noyau de la cohésion est toujours absent.
l n’y a donc pas de réelle connection et l’ensemble de la société ressemble de plus en plus à une boîte dont toutes composantes voudraient voler en éclats. La société militaire alors assure que la boîte n’explose pas et tout le monde étouffe.
...
donnons quelques temps aux neurones d’assimiler.
Vous comprenez maitnenant le mécanisme qui apauvrit notre société ?
Car le noyau de la cohésion dépend de notre vue sur lui.
Continuer à stipuler que la compétition est le socle de notre société et alors il ne faut pa s’étonner de la prise de pouvoir des plus organisés d’entre nous tus, ceux qui ont établi des ruages coercitifs qui assurent leur dividendes.
mais ce n’est pas une fatalité. Il faut se souvenir.
Si nous reprenons notre noyau de cohésion, à savoir le partage spontané et la repsie des cathédrales pour rouvrir le oeur des villes, malgré les temple sde la consommation où aujourd’hui au sein de ceux-ci puisque nos villes sont devenues cela, à un autre niveau dont ni les banksters ni les militaires ne sauraient que faire, car cela est complètement en-dehors de leur référnce-cadre de raisonnement et leur but fut toujours de contenir la ociété dans LEUR cadre, c’est ainsi que nousa vons tus été enfilés dans LEUR société, le profit régit tous les étages de la société et nous pouvons changer cela.
Pas en mendiant auprès des politiques qui ravaillent pour un agenda qui n’est pas le nôtre, celui des banksters. Mais en volontairement se réapropriant les cathédrales.
ça a l’air désuet comme proposition, une image d’épinal, mais je vais vous demander d’y réfléchir plus sérieusement,car imaginez le ven de fraicheur qui trvaerserait nos villes e cpotales si leur coeur était rouvert aux citoyens et qu’ils pourraient de nuit comme de jour s’y retrouver et soigner les lus faibles d’entre nous.
Notre paresse pourrait facilement nous dire que toutes les bonnes officines sont déjà en place et que la pauvreté des autres ne nous concerne pas, qu’on veut juste une saine répartition des richesses.
Mais ce nest PAS le système qui fut construit durant les siècles et ses tenants n’ont aucune raison de changer d’optique, pour eux tout va bien, ils tiennent absolument tous les aspects de notre société moyennant beaucoup de coercion et de projections ridicules comme la niton qu’être un bon footballeur en fait un dieu...
ces projections viennent remplacer tous les fondamentaux qui font la civlisation dont le premier est la notion de partage.
Tenant ainsi tous les pouvoirs mis en place par eux-mêmes, pourquoi écouteraient-ils nos complaintes ? C’est de notre fait si nous n’ouvrons pas de nouveau paradigme de cohésion. Si nous restons volontairement dans leurs paradigmes, à essayer d’amélorer un système quîls contrôlent à la perfection, il n’y a aucune chance d’améliorer quoi que ce soit
Reprenons les cathédrales et reprenons la marche de notre société en y rouvrant LE lieu que nous avons construit comme point de réunion et qui nous manque cruellement : la cathédrale.
Ce lieu de réunion, xcusez-moi, mais il faut le regarder crument pour ce qu’il est devenu : ce sont les écrans télé.
On le remarque souvent, la réalité des écrans est tellement plus attrayante que nombreux sontàils à préférer laisser leur esprit vagabpnder dans ces fils numériques plutôt que de chercher à conaitre leur voisin. Si un easpect de notre société est malade c’est bien celui-là.
Je vous parlel bien sûr de manière générale, sachant que le plus grand nombre essaie de maintenir cette cohésion humaine, mais le socle de la société n’est plus le partage mais la compétition comme nous l’avons déjà vu et c’est le noyau de la maldie occidentale, celui qui permet toutes les disensions et l’avidité comme moteur sociétal, destructeur forcément.
Je ne vous parle pas de bondieuseries, mais de la simple notion de partage gratuit et universel, le sens dans lequel elles furent bâties. Nous interdisons d’ailleurs par avance à quiconque n’ayant pas son origine dans la chrétienté de contredire cet aspect des cathédrales. Comme c’est devenu le grand dada des gens des plateaux télé de démolir tout ce qui fut fait de beau par la bonne volonté des hommes.
Chacun s’occupe de son église, mais si nous ne produisons pas un tel mouvement l’empire des banksters finira par contrôler chaque micro-aspect de nos faits et gestes.
au lieu de continuer à croire que nous consommons même nos propres vies et qu’il est suffisant de dire notre avis et qu’il sera pris en compte.
Rockefeller pour sa part ne comprend même pas pourquoi les poulets et les cochons se sont mis à comprendre et à s’exprimer... nous les consumons nos vies dans cet espoir hypnotique qui fait trravailler les oiuvriers dans les usines en se disant que demain sera meilleur, les discours d’Oblabla sont patents pour venir souligner mon argument, quand chaque jour une liberté passe à la trappe et pour une machine dont il est aujourd’hui évident qu’elle ne sert absolument pas les intérêts du nombre.
Reprenons les cathédrales. Qui n’arrêtait pas de dire qu’il faut agir au lieu de parler ?
La compréhension est importante, mais elle doit être canalisée ensuite et c’est ce qui nous manque poarce que nous n’avons plus ce noyau de cohésion, les cathédrales sont devenues des leiux de curiosité touristique.
mais si la consommation est la seule cohésion que nous souhaitons alors il est même totalemnt vain de se plaindre de la marche de la société telle qu’elle est aujourd’hui, c’est une prison qui ne peut QUE se rétrécir tous les jours d0avantage parce que l’empire des bankesters est fait de privatisation de tout. AVec la taxe carbonne ils ont même trouvé un moyen de nous faire payer l’air qu’on respire.
Ils vont même surement nous faire payer une taxe pour faire caca prétextant
17/08 11:23 - Ecométa
@l’enfoiré Je ne parviens pas à savoir qu’elle est réellement le fond de votre (...)
17/08 08:45 - Christian Delarue
Nous sommes capitalistes, des fonctionnaires du capital ! D Collin http://amitie-entre-les-peuples.
16/08 16:34 - Leo29
Les Bourgeois, depuis ces deux derniers siècles, ont voulu nous faire croire que (...)
16/08 16:29 - L’enfoiré
Ecométa, Là, nous sommes à 100% d’accord. Merci pour cette confrontation des (...)
16/08 14:35 - Ecométa
@l’enfoiré J’ai certainement autant de vécu que vous, et peut-être même plus : (...)
16/08 14:25 - L’enfoiré
Ecométa, Oui, je suis belge et oui, les clients ne s’inquiètent pas de la destination (...)
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