Que c’est surprenant, alors que la thématique ne date pas d’hier, comment l’écologie est devenu la priorité des priorités politique (surtout à droite) ces dernières semaines. Et ce qui me frappe le plus, c’est l’apparente unanimité que dégage un certain point de vue de la question, celui de ceux que j’appellerai les « culpabilisateurs ».
Bien sur, il est admis que la planète se réchauffe et que l’activité humaine n’y est peut être pas totalement étrangère, bien que beaucoup de scientifiques s’estiment, avec sagesse, bien loin de la compréhension total du fonctionnement planétaire. Mais quand le sujet arrive dans la sphère médiatico-politique, la retenue souvent s’efface pour laisser place à l’émotion, bien souvent portée par des discours qui s’accommodent de contrevérités absolues. Pour exemple, il y est totalement faux de dire que la fonte des glaciers entraînerai une montée du niveau de la mer ... faite donc vous même l’expérience avec un glaçon dans un verre d’eau ...
Chacun y va donc de son petit film, de son petit rapport, les économistes essayent même de chiffrer le « coût de l’opération ». On ne peut qu’applaudir la prise de conscience progressive des politiques et des citoyens sur le sujet du respect de la nature.
Mais là ou le débat deviens franchement caricatural, c’est quand la réflexion, aussi pompeuse soit-elle, s’arrête à la sphère ecologico-environnemental !!! Ceux là même qui promeuvent la consommation (consummation) à tout rompre, ceux là même qui s’évertue chaque jour à instaurer un système ou il faut posséder pour exister, se retrouvent étrangement du coté des défenseurs de la nature. Le capitalisme et sa conception d’une croissance infini ne peut cohéxister avec une terre aux ressources limités. Cela ressemble à ces opérations de préventions de l’alcoolisme financé par l’industrie du vin, ou encore ces campagnes contre la cigarette menés par l’état, un des plus gros bénéficiaire de la vente de tabac en France ! Il y a conflit d’intérêt, et donc danger de récupération pour au final un effet inverse des prétendus intentions !
En jouant sur l’émotion, on manipule facilement. La guerre en Iraq ne s’est elle pas faite sur un mensonge ? Les américains dans leur ensemble n’ont pas pris la mesure de ce mensonge, car il était présenté de telle façon qu’il répondait à la peur du terrorisme, peur attisée par l’administration Bush.
Il faut lutter contre toutes formes de gaspillages, toutes forme d’égocentrisme, non pas parce que nous somme nous même en danger, mais parce que c’est aussi notre prochain qui est en danger. Quand on prends quelque chose dont on n’a pas besoin, on le prends forcément à quelqu’un qui en à besoin. Il s’agit en des termes plus simple d’un vol.
22/11 11:32 - seb
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15/11 01:19 - Stephane Klein
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