J. GRAU j’ai eu aussi le privilège de la voir interpréter BACH cette année.
Ne vous fiez pas au livret, cette apparence de pose statique est insuffisante pour se faire une idée juste.
Elle irradie de cette beauté toute artistique. L’artiste en état de grâce et au sommet de son art.
Elle est entière et intègre et on ne peut lui faire grief de cette harmonie !
Ceci dit la société du spectacle utilise une dimension réduite à l’image comme à son habitude, est c’est un grand classique pour un système qui va faire jouer le marketing comme à son habitude.
Sauf que dans ce cas on ne peux opposer comme souvent (quand un contenu est tout pourri, on soigne l’emballage), dans ce cas l’emballage même si il est à vrai dire de luxe ne vient que souligner et mettre en valeur la qualité du contenu artistique ...
Alors si on parle de complicité elle serait de mon point de vue plus subie que choisie mais n’est ce pas le cas pour beaucoup d’entre nous ?
Je vais ressasser mon vieux leitmotiv : je ne sais pas encore comment mais il faudra pour lever toute suspicion, tout en offrant à chacun un moyen d’existence, en finir avec les systèmes de dépendances économiques qui font que personne ne peut arriver à l’autonomie véritable. Souvent nous ressemblons à cette mère au foyer qui voudrait bien demander le divorce mais n’a pas encore les moyens économiques de réaliser son vœu alors fait les arrangements qu’elle peut ...