Et Baska qui continue comme son pote Abdelkader de répandre les théories de Mark Weber dont wikipédia dit :
Car les pages du Mur de Sharon consacrées à la prétendue
collaboration des sionistes avec les nazis sont directement recopiées
d’un article de l’antisémite américain Mark Weber. Ce dernier est le
directeur de l’Institute for Historical Review (IHR), qui est la
principale officine négationniste aux États-Unis. Mark Weber fut
longtemps journaliste au National Vanguard, organe du mouvement
néo-nazi National Alliance, avec lequel il conserve des liens étroits.
Le National Vanguard continue d’annoncer régulièrement ses publications
ainsi que les réunions publiques qu’il organise (la dernière en date :
le 10 octobre 2004, avec le négationniste anglais David Irving, sur le
thème de la soumission des États-Unis au pouvoir sioniste).
M. Weber a aussi de nombreuses relations avec les néo-nazis en
Europe, comme le prouve la curieuse histoire suivante. Entre octobre
1992 et avril 1993, le Centre Simon Wiesenthal mena une enquête afin
d’évaluer les assises du néo-nazisme en Allemagne. Deux envoyés du
centre, se faisant passer respectivement pour un journaliste australien
d’extrême droite et pour un milliardaire américain finançant son
journal, prirent contact avec des responsables néo-nazis allemands.
Parmi ces derniers, plusieurs mentionnèrent Mark Weber comme un bon
partenaire aux États-Unis. Par ailleurs, un ancien nazi allemand nommé
Reinhold Kopps, installé sous le nom de Juan Maler en Amérique latine
où il était devenu éditeur de propagande antisémite, suggéra au pseudo
milliardaire américain d’utiliser les services de Mark Weber.
Afin de perfectionner leur « couverture », les deux hommes du Centre
Wiesenthal avaient créé un numéro de téléphone censé être celui de leur
organisation. Ce numéro n’était connu que des néo-nazis qu’ils avaient
rencontrés. Bientôt, ils reçurent un appel de Mark Weber. Une rencontre
eut lieu en Californie, enregistrée par la chaîne de télévision CBS à
l’aide d’une caméra cachée. Pour mettre en confiance leur
interlocuteur, les deux hommes lui montrèrent des photos d’eux avec des
néo-nazis allemands ; Mark Weber les identifia tous par leurs noms.
M. Weber ne fait pas seulement dans l’antisémitisme. Il pratique
aussi le racisme anti-noir et les autres manies du milieu néo-nazi.
Mais il a une affection particulière pour le discours antijuif,
amalgamant - comme le font tous les néo-nazis américains - la négation
de la Shoah et la dénonciation de l’État d’Israël.
Dans le numéro de juillet-août 1993 de l’organe de l’IHR,
pompeusement nommé Journal of Historical Review afin de donner une
apparence respectable à ce qui est en réalité une feuille de propagande
antisémite (1), Mark Weber publiait un article intitulé « Zionism and
the Third Reich ». Cet article fut ensuite traduit en français, sous le
titre « Le Sionisme et le Troisième Reich ». C’est à partir de cette
version française que M. Ménargues - ou son informateur privé, nous ne
le saurons sans doute jamais - a réalisé un « copié-collé » dont sont
issues les pages de son livre exposant la mythique « collaboration
sionisto-nazie »."