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Commentaire de Sophronius

sur Et le Hamas a droit de vie et de mort, surtout de mort


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Sophronius 18 août 2009 15:08

Et Baska qui continue comme son pote Abdelkader de répandre les théories de Mark Weber dont wikipédia dit :

Car les pages du Mur de Sharon consacrées à la prétendue collaboration des sionistes avec les nazis sont directement recopiées d’un article de l’antisémite américain Mark Weber. Ce dernier est le directeur de l’Institute for Historical Review (IHR), qui est la principale officine négationniste aux États-Unis. Mark Weber fut longtemps journaliste au National Vanguard, organe du mouvement néo-nazi National Alliance, avec lequel il conserve des liens étroits. Le National Vanguard continue d’annoncer régulièrement ses publications ainsi que les réunions publiques qu’il organise (la dernière en date : le 10 octobre 2004, avec le négationniste anglais David Irving, sur le thème de la soumission des États-Unis au pouvoir sioniste).

M. Weber a aussi de nombreuses relations avec les néo-nazis en Europe, comme le prouve la curieuse histoire suivante. Entre octobre 1992 et avril 1993, le Centre Simon Wiesenthal mena une enquête afin d’évaluer les assises du néo-nazisme en Allemagne. Deux envoyés du centre, se faisant passer respectivement pour un journaliste australien d’extrême droite et pour un milliardaire américain finançant son journal, prirent contact avec des responsables néo-nazis allemands. Parmi ces derniers, plusieurs mentionnèrent Mark Weber comme un bon partenaire aux États-Unis. Par ailleurs, un ancien nazi allemand nommé Reinhold Kopps, installé sous le nom de Juan Maler en Amérique latine où il était devenu éditeur de propagande antisémite, suggéra au pseudo milliardaire américain d’utiliser les services de Mark Weber.

Afin de perfectionner leur « couverture », les deux hommes du Centre Wiesenthal avaient créé un numéro de téléphone censé être celui de leur organisation. Ce numéro n’était connu que des néo-nazis qu’ils avaient rencontrés. Bientôt, ils reçurent un appel de Mark Weber. Une rencontre eut lieu en Californie, enregistrée par la chaîne de télévision CBS à l’aide d’une caméra cachée. Pour mettre en confiance leur interlocuteur, les deux hommes lui montrèrent des photos d’eux avec des néo-nazis allemands ; Mark Weber les identifia tous par leurs noms.

M. Weber ne fait pas seulement dans l’antisémitisme. Il pratique aussi le racisme anti-noir et les autres manies du milieu néo-nazi. Mais il a une affection particulière pour le discours antijuif, amalgamant - comme le font tous les néo-nazis américains - la négation de la Shoah et la dénonciation de l’État d’Israël.

Dans le numéro de juillet-août 1993 de l’organe de l’IHR, pompeusement nommé Journal of Historical Review afin de donner une apparence respectable à ce qui est en réalité une feuille de propagande antisémite (1), Mark Weber publiait un article intitulé « Zionism and the Third Reich ». Cet article fut ensuite traduit en français, sous le titre « Le Sionisme et le Troisième Reich ». C’est à partir de cette version française que M. Ménargues - ou son informateur privé, nous ne le saurons sans doute jamais - a réalisé un « copié-collé » dont sont issues les pages de son livre exposant la mythique « collaboration sionisto-nazie »."


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