Oui, je voulais poser la même question. Ce sont les tours jumelles qui pesaient environ 200.000 tonnes chacune, dont environ 100.000 tonnes d’acier.
La question pour les avions est celle de leur énergie cinétique à l’impact (E = 1/2 m . v² , m la masse de l’avion et v sa vitesse) et de la façon dont les tours ont absorbé cette énergie.
J’ai noté beaucoup d’omissions dans cet article - mais il est bien sûr impossible de tout évoquer dans un court article - ainsi que des imprécisions et erreurs qui conduisent à une conclusion - l’effondrement des trois tours sans explosifs - qui, à mon avis, n’est pas valide.
Avant d’entrer dans ces détails qui posent problème, je tiens à rendre hommage à l’auteur : il est courageux de sa part d’aborder ce sujet, surtout d’un point de vue technique. J’espère qu’il est bien armé pour argumenter sur tous ces aspects...
Pour commencer et pour savoir de quoi l’on parle, voici une représentation (modélisation 3D à partir des plans détaillés) de la structure des tours jumelles (WTC1 et WTC2). Puis voici la construction modélisée de leur structure. Les planchers étaient en tôle d’acier recouverte d’une fine couche de béton et soutenue par des poutres en acier assez légères (trusses). La portance du bâtiment était assurée à 60 % par les 47 colonnes du cœur central (core) et à 40 % par les 240 colonnes des façades formant un tube souple et très résistant en acier spécial. Le facteur de sécurité global était de 2,5 (de mémoire), c-à-d que le bâtiment serait resté debout avec seulement 40 % de ses colonnes intactes, 60% étant coupées...
Voici maintenant une étude, par la méthode FEA (finite element analysis) de la résistance du WTC1 (ou WTC2) à la destruction de colonnes. Cette étude conclut que le bâtiment n’aurait pas dû s’effondrer.
Voici enfin une représentation de la structure du WTC7. Comme vous pouvez voir, c’était aussi du solide...