"C’est quand même bizarre qu’une fois les tours à terre, personne n’ai
jamais pu prendre une seule de ces photos ou vidéo de ces lacs ou
rivières d’acier en fusion...«
??? Dans le dernier lien, il y a une photo où l’on voit une pelleteuse soulever une gros bloc rouge-orange. Il faut rappeler que la prise d’images était interdite à Ground Zero (comme par hasard). Donc, non, ce n’est pas bizarre qu’on n’ait pas plus d’images. Vous remettez en cause la photo et aussi les témoignages ?
»Les seules photos nous présentant du métal fondu sont prises après la
catastrophe«
??? On a le film de l’écoulement avant l’effondrement de la tour sud.
»et les écoulement sont dûs aux découpes faite au chalumeau
oxygène-acétylène.«
Vous voulez dire que les chalumeaux seraient responsables des piscines d’acier fondu qui coulait »comme dans une fonderie« selon le témoignage des ouvriers du chantier. Vous êtes sérieux ?
»Dans les liens donnés, je vois d’autres failles : l’imagerie thermique
prise des lieux ne montre pas de point plus chaud que 750°. Or l’acier
fond à 1500° environ. On me dira, mais oui, il était à 1500 mais il se
refroidissait. Je veux bien. Mais à 750°, l’acier n’est plus liquide...«
750 °C en surface, révélant des poches plus chaudes, à 1500 °C, sous la surface, bien sûr. Comme tout liquide, l’acier en fusion descend dans les infractuosités...
»En revanche, il est certain que le métal du WTC n’était pas ’pur’,
car n’étant pas fondu au creuset, il a forcément intégré des impuretés
de toute nature. Il faudrait voir si un tel métal combiné garde
effectivement sa couleur argent ou s’il rougit à l’écoulement."
C’est tout vu : ça a déjà été tenté, sans succès (voir ici). En fait, la couleur est une fonction directe de la température. Quand c’est rouge, c’est à une température x, largement supérieure à 650 °C. Quand c’est orange, c’est encore plus chaud. Puis jaune, puis blanc à 1500 °C. Il est donc complètement impossible que ce métal soit de l’aluminium. Le prétendre est avouer qu’on a aucune explication crédible. Ce métal en fusion ne peut être que de l’acier (ou du fer) fondu. Plus étonnant encore : il est resté en fusion des semaines !
Il reste donc toujours à expliquer comment une température de 1500 °C a pu être atteinte (sans explosifs et/ou mélange incendiaire de type thermite). Ce fait est tellement inexplicable et donc gênant que John Gross, l’ingénieur du NIST interrogé sur la question, a préfèré carrément nier son existence...