Et
si la burka pouvait nous redonner une industrie textile et plus même !
L’industrie
française peut être sauvée grâce à l’opportunité de ce nouvel art de vivre ! D’ailleurs
ne dit-on pas : pour être heureux vivons cachés !
Faisons
donc en sorte qu’elles ne soient pas fabriquées en Chine, mais soient Françaises !
Que nos créateurs s’en emparent et nous sortent des chefs-d’œuvre de
prêt-à-porter. Que les musiciens nous composent des danses burkanniennes,
que les peintres nous fassent des tableaux, des collages des patchworks, les
sculpteurs nous les font en marbres ou en peau de lapin ou en peau pénis
d’éléphant. Que nos pouets nous composent des odes. Avec cela va démarrer toute
l’industrie : machines outils, nouvelles crèmes pour la peau, écrases légumes (Ah
?) presse spécialisée (Ah ?) des aérateurs, des aspirateurs, des conspirateurs (Ah ?), des grillages à poules, des tubinots, des poudres de lessives, des lave-linges, des bateaux lavoirs, des paquebots de la connerie, des bombes sexuelles qui se déclenchent avec des téléphones portables et des laveurs de vitres (la classe ! non ?).
Oui dans sa Burka notre siècle
nouveau nous contemplera !, à pixel pixels et demi... et que celle qui
n’ont pas encore goûté à ce boudoir portatif ne viennent pas nous faire
de la philosophie de miroir aux alouettes. Mort au string !, ce truc minable qui a foutu toute notre industrie par terre !
Un seul mot d’ordre :
Sous la burka anticapitaliste : la plage !