bonjour gül
mon intention n’était pas de te faire de la peine et si possible je te rassure, en ce qui me concerne, le plus dur est passé, ( enfin je touche du bois), et puis même si je refais des crises de cet amplitude, je ne les encaisserais pas aussi mal, pris au dépourvu et sans quelques moyens pour passé au travers, que le gamin de 20 ans ignorant que j’ai été. Et enfin depuis, il n’y a pas que des cauchemars, plaisirs extatiques ça un sens aussi.
j’ai surtout tenté de rendre mon témoignage potentiellement utile « a qui le vie », parce que l’une de mes premières étapes de recherche lorsque j’ai cherché a comprendre ce qui m’était arrivé a été suite a quelques lectures de taper NDE et kundalini sur les ancêtres de google, et que savoir, quand on est dans l’impression que toutes les issues sont fermée et que ça vie est foutu, que non, des issues il y en a même si sur le moment on ne les vois pas,
rien que ça, c’est utile.
Pour répondre a ta question, sur le moment on est bien obligé d’accepter de subir « ça », on a pas le temps ni la force de le dénier, mais en aucune manière on peu le supporter,
je n’ai cherché par tous les moyens que à ce que cela s’arrête, et si j’avais accepter que ma vie était foutue et sans possibilité de retour à une vie tel que je voulais la vivre, je serai mort, je n’avais qu’a arrêter de ramper, vaincu et résigné.
D’ailleurs si j’ai mis autant de temps c’est aussi parce que je passais par des phases « vaincu et résigné où je n’étais qu’un roseau dans la tempête qui restait plié par le vent des forces qui me submergeait la tête. J’ai plié sans cassé, d’autres n’y arrivent pas.
Ensuite, quand on constate que malgré tous ces efforts, il y a un avant et un après ça, et qu’on ne peu pas ne pas en tenir compte, et bien on se résigne a vivre avec, et autant que possible, canaliser l’ avec pour vivre comme si on était sans.
On se dit qu’on a suffisamment souffert pour s’accrocher à la vie, ce n’est pas pour se suicider ensuite, même si parfois l’idée passe, on ne s’y arrête pas, elle deviens inutile tel que l’on comprend l’après, ou juste honteuse et démobilisatrice.
Mais d’une certaine manière l’ado que j’ai été est mort pour partie a 20 ans, celui d’après ces crises point de départ d’une autre direction, ne gère plus du tout de la même manière, la seule chose qui’ m’importe n’est pas de construire ma vie selon le sens commun pour a nouveau tout perdre, mais d’être en bonne condition pour l’inexorable après tel que je le connais.
et pour rester sur l’acceptation, c’est avec le temps une forme de handicap/ avantage particulier, je n’ai pas de permis, parce que je ne veux pas conduire, et pour trouver un boulot... J’ai mis du temps a m’en remettre, et mes études se sont arrêtées là, pour ensuite n’être autodidacte, motivé, mais autodidacte, je n’ai aucun gout par l’argent, ni les choses matériel qui ne sont pas au service d’un sens véritable, et pour la plupart des choses banales qui »importent", je m’en fou complètement. C’est du détachement sans efforts.
le temps de ma vie est devenue une valeur précieuse, que rien ni personne ne rembourse, aussi j’en prend soin et ne donne à personne le loisir de me faire perdre mon temps, et j’use du miens comme bon me semble sans m’embarrasser de l’opinion des autres, en évitant les entraves, moi j’en connais la valeur parce que j’ai conscience de sa finalité.
bref, l’accepter par la suite induit et singularise, place souvent devant l’incompréhension des autres. Quand on me vois, m’entend, m’écoute, on n’imagine pas que je ne travaille pas et que ne veuille pas le faire,enfin pas pour un salaire, et je ne supporte pas les mauvaises autorités. On sait que je ne le veux pas, mais on ne comprend pas pourquoi.
Et puis, disons que j’ai une volonté poussée qu’on lit sur mon visage et qui dissuade la plupart des gens qui ne me comprennent pas et n’en ont pas la force ou ne souhaitent pas la gaspillée en essayant de me faire changer d’avis.
Et puis un jour me suis dit qu’écrire était une bonne occupation, et après m’y mettre mis sérieusement une première fois, j’y retourne prochainement, aussi, peut être que de tout ce mal naitrai la possibilité d’écrire un bon livre, qui n’aura rien a voir avec ce témoignage. Le plus dur sera d’être publié, vue comment l’édition fonctionne et mon faible gout pour transiger avec le commercial.
amicalement, barbouse.
14/02 12:55 - Sand
Le paradoxe du sujet de la Kundalini est que celle-ci est présente dans l’histoire de la (...)
30/05 02:54 - Islamo Confucianiste
Je te présente mon cas.Je suis schizophrène depuis 15 ans . Pour retraiter mes souvenirs, (...)
02/09 10:12 - barbouse
Salutations Lisa sion ( rime ?) Je ne vois pas bien où est le rapprochement, mais je vais te (...)
02/09 03:03 - Lisa SION 2
Salut Barbouse, je te joins cet échantillon lisible sur mon article « âmes rigides (...)
01/09 04:00 - barbouse
bonjour, dans le domaine des convictions, je m’évite aisément le coté « victime/ cobaye (...)
31/08 11:55 - Avalon_Girl
Vu les interventions « chirurgicales » à distance, d’ordre neuronal qu’il y a eu (...)
Agoravox utilise les technologies du logiciel libre : SPIP, Apache, Ubuntu, PHP, MySQL, CKEditor.
Site hébergé par la Fondation Agoravox
A propos / Contact / Mentions légales / Cookies et données personnelles / Charte de modération