L’auteur a tendance à pencher du côté des « prédateurs » en se faisant leur porte-parole. Je rejoins NHO disant que l’Iran s’est interdit officiellement d’avoir une arme nucléaire. Par contre, ceux qui rêvent de « l’irakisation » de l’Iran se vantent de l’immensité de leur arsenal.
Le journalisme alternatif devrait nous épargner ce genre d’amalgame tendancieux propre aux imbéciles qui se complaisent dans la domination, la soumission ou simplement dans la lâcheté.
Dans l’affaire qui nous préoccupe, il ne s’agit pas seulement de la Géorgie ou de l’Iran, mais carrément de la Russie ! Les pays limitrophes de la Russie ne sont, en fait, qu’un pont vers celle-ci. Si la Russie n’a pas les moyens de protéger ce pont pour échapper elle même au pire, que peut alors faire l’Iran ou la Géorgie ?