"En réalité la vie est une énergie plus ou moins déterminée, et le
rapport entre qualité et quantité fonctionne selon la théorie des vases
communicants : l’énergie dépensée est fonction de la vitesse par
rapport au temps qui passe.
Autrement dit, celui qui utilise beaucoup d’énergie en peu de temps
développera plus d’intensité que celui qui en utilise peu en plus
longtemps.«
Pas d’accord avec ça.
La vie (et l’énergie qui y est liée) est également dépendante d’un tas d’autres facteurs ; héritage génétique, capital énergétique, milieu social, éducation, conditions de vie, motivations, etc....
D’où certaines vies dotées d’une énergie exceptionnelle, et exceptionnellement longues (Picasso en étant un des modèles possibles), quand d’autres sont très rapidement »brûlées" (Van Gogh, Rimbaud, Modigliani morts à 35-36 ans), faute d’un capital énergétique suffisant, ou d’un mode de vie consumatoire...
En bref, globalement d’accord avec l’article, mais tenir compte de tous les facteurs socio- génético-affectivo-environnementaux, plutôt qu’imaginer que chacun dispose de la même énergie à sa disposition...