Bonjour à tous et merci d’avoir pris un peu sur votre temps pour lire cette petite évocation des Cathares.
Merci aussi à ceux qui ont bien voulu partager ce que les « bonshommes » évoquent pour eux.
Oui de nombreuses questions surgissent lorsque l’on se penche sur ce petit bout de notre histoire et il serait bien prétentieux, en quelques lignes, de vouloir y répondre.
Dieu merci, je n’avais pas cette prétention !
Ensuite, qui de l’historien ou du poète arrive à s’approcher au plus prêt des « bonshommes » ?
Ne portons nous pas un peu au fond de nous, et le Cathare qui s’est fait brûlé, et l’inquisiteur qui l’envoya dans les flammes ?
L’agneau et le loup...
Et à qui donnons nous le « pouvoir » de bâtir notre monde, notre vie ?
Oui, de nombreuses questions ne manquent pas de surgir lorsque l’on évoque les Cathares. Il appartient à chacun d’y répondre selon son coeur, car s’il est un organe peut être un peu plus à même de « comprendre » les bonshommes, c’est peut être bien celui-la...
Pour ce qui est du « sang et des larmes » dont certains trouvent peut être l’évocation « abusive » dans l’article, qu’ils se réjouissent que je n’ai pas le talent de pouvoir rapporter dans ces quelques mots un millième de la souffrance dont ils ne peuvent témoigner. Si je le pouvais, je le ferais, et alors personne ici ne trouverais cela intéressant, personne ici n’aurait envie de « regarder »...
Quelqu’un disait que l’oubli était la forme la plus paresseuse du pardon... mais il n’évoquait pas cela pour ceux qui ont quelque chose à charge...
Je comprend que certains préfèrent encore « oublier » les Cathares et ce qu’ils leur ont fait.
D’autres ont peut être à coeur de se souvenir de ce qu’ils ont reçu d’eux...
Bonne journée.