Je pense sincèrement que vous avez un problème : où voyez-vous la moindre « intimidation » ? À moins que vous ne puissiez souffrir la moindre contradiction ?
« Eh
bien si, Monsieur, je m’autorise »
Étant finement observateur, j’avais bien remarqué.
« et avance des arguments. »
Ah ? Là, par contre, je ne remarque rien. Lesquels ?
« Libre à vous
de ne pas les trouver fondés. Encore faut-il les réfuter ! »
Pour réfuter des arguments, encore faut-il qu’il y en ait. Donc, je réitère : lesquels ?
« Votre délicate distinction entre rayures et zébrures est un bel exemple de votre ignorance. Ouvrez le Robert et vous apprendrez qu’une zébrure est :
1- une rayure sur le pelage (d’un animal),
2- marque allongée, raie sur une surface.
Apprenez le Français avant de venir vaticiner avec arrogance ! »
Je vous ferai remarquer que, question arrogance, vous en tenez une lourde couche, et que mon intervention, elle, n’était strictement pas arrogante, même si votre apparent délire vous pousse à penser le contraire.
Concernant LE LIVRE, sachez que le Robert, petit ou grand, ne contient pas fatalement « la vérité » dans son entier. J’admets que j’aurais peut-être dû préciser rayures « régulières », bon. Mais je maintiens. Un zèbre n’est pas un bagnard. Les rayures de Buren sont régulières et répétitives, les zébrures sont tout autres (Voyez Turing et Mandelbrot, par exemple).
Ensuite, lisant votre intervention suivante...
« Oui, vous avez vu comme un des sectateurs n’a pas tardé à dégainé !
Malheureusement, il donne des leçons de sémantique sans connaître le
Français ! Quand on est au degré zéro de l’art, il est normal qu’on le
soit aussi au niveau de sa propre langue ! »
... Je vous remercie de me donner des leçons de français, je pense en effet que vous êtes tout indiqué. Ensuite, vous voyez en moi un sectateur ? De quoi, s’il vous plaît ? Vous êtes là en pleine projection, il me semble. De même que vos préjugés sur mon supposé degré zéro de l’art sont très mignons, et uniquement basés sur vos petits fantasmes (manque de pot, je suis plasticien). De même que m’attribuer un degré zéro de ma propre langue est bienvenu (je bosse également dans le livre). Modérez donc votre hargne, et répondez plutôt sur le fond, si vous avez le moindre argument. Ou allez consulter, puisque, visiblement vous souffrez beaucoup. Mais mordre les autres ne vous soulagera pas, je vous l’assure.
Je vous engage également à vous documenter sur ce qui fut nommé « Entartete Kunst », autrement dit « art dégénéré », sur ceux qui se permirent une telle qualification, et sur la lumineuse époque à laquelle cela correspond.