@ MASUYER
Bonjour,
oui tu as raison, les kebabs remplissent cette fonction pour la génération suivante.
Dans la petite ville où je travaille (qui n’est pas celle où je vis), je prend mon café dans un bistrot turc qui fait office du bureau d’embauche pour les ouvriers du batiment. C’est le premier à ouvrir.
Extremement convival :le patron vient serrer la main à tous les arrivants, les clients font le service et les prix sont curieux : de la première fois où l’on vient et après quelques jours de présence aux mêmes heures tous les jours, les prix baissent jusqu’à atteindre le tarif « habitué ».
Une manière de fidéliser la clientèle..
Une autre évolution : les PMU. Dans le département du Rhône, près de 70% sont maintenant tenus par des Asiatiques, en majorité cambodgiens. Monsieur au service, Madame à la caisse et parfois, une très jolie serveuse.
Ces cafés sont les derniers survivants du bistrot populaire traditionnel et n’ont pas cédé à la transformation de beaucoups en fast food à prétention pour employés du tertiaire. Du bruit, des poivrots et une chaleur communicative.. Sauf qu’il y a maintenant un bouddha sur une étagère derrière le comptoir..
gAZi bORAt