Bonjour,
Une fois qu’on balaye les illusions médiatiques qui décidément n’ont pas la capacité d’effacer les cicatrices réelles mais seulement de détourner l’attention du plus grand nombre de là où les douleurs se font voir sans effets spéciaux...
que reste il ? Et bien, le citoyen est encore moins en sécurité qu’avant, et lorsqu’il y a cicatrices ou irrémédiable franchie, ce n’est ni la police, ni le tribunal, ni l’hôpital, ni l’associatif indigné, ni la justice, ni rien qui enlève le fait que pour qui subis, c’est trop tard,
le reste n’est que tentative de la société de fournir des « réparations ». Et l’humain s’habitue à tout pour survivre ou sous vivre, même a subir la délinquance ou a dire tout et n’importe quoi de peur qu’elle le frappe à nouveau. La peur a ses logiques motrices, le courage a ses freins moteurs.
On peu se faire défoncer en voiture par quelqu’un sans permis, sans assurance et insolvable ( si si ça existe plus souvent qu’on ne veut le voir en période de crise), et l’on constate dans la douleur que le mot « réparation » est un leurre de papier et qu’on ne se rachète pas des jambes qui permettent de marcher.
il faut arrêter la tolérance ? les prisons sont déjà pleines et avec un turn over digne de mac donalds...
Trop d’étranger, c’est de « leur faute », et de la faute de ceux qui les ont fait venir ? Le crime n’a pas d’origine mais se combat là où il se trouve, peu importe qui s’en fait l’agent ou s’y résous, sa victime n’a pas moins mal.
Il faut lutter en bavassant dans des salons face a des passages à l’acte criminel tout en malmenant la police, et surtout en envoyant les policiers de plus en plus risquer leur vies en étant mépriser des uns et décevant les autres ?
C’est la police elle même qui diffuse le soir en baratin les exploits de ces « bavures » aux délinquants, pour leur faire peur et montrer pitoyablement « qui commande », alors que c’est l’expression de leur propre trouille et de leurs malaises.
on ne parle jamais des policiers qui sont à la tête ou impliqué dans ces mêmes trafic de drogues qui fabriquent des délinquants aussi surement qu’une entreprise fait faire des stages de formation, pourtant certains se font chopper et condamner...
Et dés que ça se médiatise, les bavures, là, on joue les chochottes indignées, on veux absolument garder l’image d’une police,
et ensuite on ne comprend pas pourquoi certains se sentant du mauvais coté du flingue n’ont pas envie de se faire tirer comme des lapins, isolé une société où il peuvent crever, les médias à la botte et les rappeurs variet n’en parlerons pas.
La Logique du travail de l’UMP qui s’abat sur la police a voulu leur faire croire que si la violence augmente c’est parce qu’ils sont fainéants, et que maintenant ils doivent rendre des comptes de résultats... Aussi bidon soient ils, et les détournant de la simple notion humaine d’efficacité...
Cette politique est stupide. La sécurité n’est pas plus une ligne sur un bilan comptable
que l’insécurité un simple sentiment.
Il faut l’armée en plus de la police ? Cette dernière est décidément privé des moyens de remplir sa fonction régalienne autrement qu’en verbalisant des petits blancs solvables ?
baratin, une image de militaires Français qui tirent un civil et vous avez tellement de fractures et de plaies qui remontent à la surface de l’émotion que le terrorisme sera la réponse.
La vérité c’est que pour changer les choses, et inverser la tendance à la violence, ce n’est pas la prise en charge d’un « responsable » aussi sarkozy sur médiatisé soit il, proportionnellement sans doute à son absence de pouvoir réel, ça c’est du blabla, aucun homme seul ni aucun dirigeant mal obéis ou appliquant une mauvaise logique a un vrai problème, ne peut changer la réalité.
La question est finalement la suivante ? Dans combien de temps la guerre civile pour que nos enfants et petits enfants n’aient plus à passer leur vie dans l’exhibition de violence et la peur qu’elle engendre, la peur issue de la soumission par la force, par des idéologies que l’on sait nocive, et leur petits a coté comme le raquette et la violence el t’nique gratuite ?
parce que même si on a les moyens de vivre un plus loin de là « où ça crains le plus », La France reste un petit pays et au bout d’un moment le pied du mur c’est la frontière ou devenir immigré a son tour.
Puisque ni la police, ni la justice ni la politique ne sont plus capable de réguler la violence mais au contraire incitent à son recours tant leur surdité impuissante se fait criante quand on souffre de la délinquance,
combien de temps encore avant que ça pète ? N’est il pas judicieux et citoyen de prévenir qu’il n’est pas inutile de s’y préparer ? C’est peut être le moment de l’envisager sérieusement.
C’est une cocotte minute sous pression la terre sur laquelle on veut faire vivre nos enfants ? Faire des réserves alimentaire, déménager, etc.. ou plus généralement de prévoir avec son entourage des solutions rapides au cas où, etc..
J’ai déjà entendu et des policier et des délinquants l’espérer ouvertement, le jour où enfin le système pète, pour que les uns puissent faire leurs jobs proprement, et que les autres puissent enfin y trouver une place autre que délinquants sans avoir à baisser leurs frocs ni jouer les oncles Tom ou les tata mac doom...
amicalement, barbouse.