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Commentaire de Céphale

sur Parler de la crise avec le sérieux de l'ironie : un livre de Frédéric Lordon, « la crise de trop »


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Céphale Céphale 3 septembre 2009 11:45

Dans Le Monde Diplomatique, Lordon taille un beau costard à Cohen, Baverez et Attali sous le titre « Les disqualifiés ». Morceaux choisis :

« Elie Cohen, qui a beaucoup donné de sa personne pour avertir de l’effrayante aberration en quoi consiste l’intervention publique, et soutenu la privatisation de tout ce qu’il y avait à privatiser, est maintenant d’avis qu’il faut nationaliser. On imagine sa tête si on lui avait soumis l’idée il y a deux mois. Comme elle semble loin l’époque où il enjoignait encore les socialistes de rompre avec le ’’discours d’ultragauche fondé sur le déni de la réalité’’ ».

« On ne sait trop si Attali a tout prévu de la crise autrement que sur le mode de l’hallucination rétrospective, mais en janvier 2008 en tous cas, il est d’avis de propulser toute l’épargne des Français sur les marchés financiers. Se peut-il que ce soient les mêmes marchés à propos desquels il dit si bien ’’tsunami’’ à la télévision ? »


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