Cher Llabres (Catalan j’imagine ?), Il est probable qu’une faute de conjugaison puisse se glisser dans l’un de mes textes. De même pour l’orthographe. Je ne prétends pas écrire de manière savante. Je ne fais pas trop de fautes, mais j’en fais parfois. Je me relis mal, ou peu, et rédige la plupart de mes articles au boulot pendant la pose déjeuner que j’écourte pour ce faire.
« que nous venassions » était plus que volontaire je vous l’assure. mais peu importe.
Je vous assure également que je n’ai pas le sentiment de faire des sacrifices et ne suis pas sûr, loin s’en faut, qu’une réussite économique de mes enfants soit un objectif pour moi. Leur bonheur, l’amour avec ses bas et ses hauts, à la rigueur.
Je ne m’appelle pas Jacques Roux et je vous propose de chercher un peu qui était ce monsieur. Un proche de G.Babeuf pour vous mettre sur une piste.
Quant à « In girum imus nocte... » ce n’est que la première moitié d’un palindrome fort connu que l’on peut traduire comme suit : En rond nous allons dans la nuit et nous nous y consumons« , ) ...
je remarque également que vos textes sont courts ce qui évite de dire des bêtises, de faire trop de fautes et vous avez bien raison quand on juge ce que le Versaillais a pu pondre. il a du temps de reste, lui, visiblement.
Il me semble, enfin, que le fond a plus grande importance que l’emballage dès lors que l’on ne sombre pas dans l’écriture »texto« ...par exemple, lorsque j’utilise le terme »Versaillais" concernant notre handicapé du cerveau, à quoi fais-je référence selon vous ?
Bien cordialement et amitiés.