Commentaire de Le péripate
sur Parler de la crise avec le sérieux de l'ironie : un livre de Frédéric Lordon, « la crise de trop »
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Je suis toujours dans une certaine incertitude face aux interlocuteurs dont l’argumentation est en dessous de la ceinture. Les mépriser, ou répondre à la même hauteur.
Pour aujourd’hui, ce sera le mépris.
Derniers commentaires
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05/09 22:32 - JL
Hé bien, 400 euros par mois de découvert, cela a un parfum de revenu, non ? Il y a là une (...)
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05/09 17:45 - Paul Villach
@ JL Que voulez-vous dire ? Ce qui me l’inquiète dans cette offre, pour attirer le (...)
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05/09 14:04 - Lucien Lacombe
@Frédéric Lyon : C’est bien gentil tout ça... mais soit je n’y comprends rien, (...)
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05/09 10:18 - JL
Pardon pour ce hors sujet, mais où poster ce qui suit, sinon sous un article de Paul Villach (...)
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04/09 17:08 - ffi
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04/09 16:53 - ffi
En fait, vous vous compliquez bien la vie. Comme si c’était en soi difficile (...)
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