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Commentaire de Nobody knows me

sur Parler de la crise avec le sérieux de l'ironie : un livre de Frédéric Lordon, « la crise de trop »


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Nobody knows me Nobody knows me 4 septembre 2009 13:10

Je me suis attardé sur les commentaires de Péripate, j’ai donc zappé le vôtre. Comment ai-je pu passer à côté ??
Allez, j’ai l’âme charitable aujourd’hui, je vais vous répondre sinon personne ne le fera, car dans ce cas, effectivement, tout le monde s’en fout de vos posts.

Pourquoi, dans de telle condition, s’acharnent-ils à nous proposer des « solutions », ou à faire des commentaires que personne ne leur demande ?
Et pourquoi critiquer un système auquel, dans le fond, ils ne comprennent rien ?

Parce qu’ils en ont le droit peut-être ? On vous laisse bien dire, à vous, ce que vous pensez sur telle ou telle chose. Pourtant, ça vole pas haut... Alors je répondrai : pourquoi pas eux ?

De plus, les banques d’origine française qui interviennent sur ces marchés le font le plus souvent à partir de filiales qui ne sont pas de droit français, mais de droit suisse, anglais, américain, ou luxembourgeois et qui ne tombent donc pas sous le contrôle des lois ou des règlementations françaises.
Par conséquent elles ne sont pas soumises aux décisions de Bercy.

C’est justement la raison pour laquelle les mesures prises devraient l’être de manière internationale, en concertation avec tous les autres pays concernés. Vous croyez pas ?
Bien que je ne pense pas spécialement que la France ait le pouvoir (ni même l’intention d’ailleurs), de faire changer les choses de manière globale.


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