Bonjour Hermes,
Dommage toutes ses réactions négatives... justifiées peut être mais sans justifications longue et précises.
Vous abordez la notion de « consensus » entre individus sociaux sous un angle très particulier, par exemple :
Là où la philosophie s’appuie sur la raison et sur ses
fondamentaux - espace, temps et raisonnements téléologiques –
retrouvons plutôt ce qu’énoncent l’accidentel, l’éphémère,
l’inorganisé qui, heureusement, la rongent.
Pourquoi pas ! ceci dit il semble que les rouages d’une société organisée engendre la philosophie qui peut penser à la « déstructuration ».
Si le consensus est à la consommation, il est claire que des notions comme la fraternité ou le partage ne sont pas mis en exergues. Celà induit indubitablement une masse de population conditionnée, dont la réaction, dans l’ignorance la plus totale des vrais rouages de ce monde, devient moutonnante ou violente.
De toutes manières, les extrêmes sont sollicités par la peur ; la pauvreté et le chômage structurels (nous savons que le chômage est un choix prévisionnel de long terme) et que même les crises financières sont induites par des cycles.
Mais quelle philosophie pourrait être étudiée en Université en disant aux étudiants : mondialisés, vous faites partis de statistiques, maintenant Platon ignorait que ses yeux s’adaptait aux ténèbres de sa caverne, et que les ombres qu’il voyait passer dans la lumière, étaient peut être des lumières passer dans l’ombre.
Quoiqu’il en soit, si je ne suis pas personnellement une lumière ou très éclairé de sciences, je reste un grand amis de tous chercheurs - de loin - et il me semble juste de concilier la Liberté avec l’organisation, l’organisation par le respect des libertés individuelles et collectives, et l’évolution par le choix... tendre la main aux autres et leur offrir le choix, n’est-ce pas l’esprit critique ultime et philosophique, ignorant toutes formes de conditionnement ?