On pourrait s’interroger sur les manquements déontologiques des métiers de l’information, dans cette émission de télévision.
Il y a un côté censeur médisant dans le ton pris par les animateurs. Parfois, il sont méchants dans les traits qu’ils lancent à leurs invités. Fallait-il faire pleurer Bardot par exemple ? La confondre publiquement avec le témoignage d’un hypothétique psychothérapeute qui débite une pseudo analyse de l’ancienne gloire du cinéma.
Le vieux renard de J. Lang défenseur des raves parties et de la musique techno tout alléché se voit lui aussi mis en difficulté et l’on a senti son agacement poindre.
Et ainsi de suite....
Après tout, on a que ce qu’on mérite, me direz-vous, ils n’ont qu’à ne pas y aller à cette production médiatique, ils éviteront le ridicule (ou peut être s’en sortitont-ils très bien, comme J Greco).
N’a-t- on pas envie à un certain moment envie de leur envoyer une injure à ces deux lascars : « Eh toi gros tas, ne la ramène pas » et à l’autre : « Toi, t’écrase, ouais, toi le mannequin de vitrine » !
C’est qu’à les écouter et les voir on deviendrait méchant.
Mais non, le censeur bedonnant a sans doute une mauvaise santé, c’est pas de sa faute ; et l’autre, le grand bavard, il règle des comptes, en manque de reconnaissance...cela arrive à tout le monde.
Bon, en attendant, on regarde quand mme et parmi les invités, il y en a mme qui reviennent....Faut-il être maso tout de mme. Dans le fond sommes-nous dupes ?
ps : Le mannequin de vitrine aurait pu aussi porter plainte contre Bardot pour incitation à la xénophobie, mais cela ne fait pas recette, il faut que la condamnation du livre de Bardot soit celle des médias justiciers.