Je ne trouve pas. Dans l’autre sens, ça marche aussi sauf dans les cas où la soumise...heu pardon, la promise suit les conseils asés d’un conducator arriviste : " Pourtant, tout n’est pas perdu car Silvio Berlusconi a proposé une
solution idéale à la télévision italienne, jeudi 3 avril. Une jeune
femme l’interroge, prenant son cas pour exemple, sur la difficulté pour
les classes les plus pauvres de construire un avenir. Peinant à vivre
convenablement, elle ne voit pas comment elle pourrait élever voire
nourrir un enfant. El Cavaliere de lui répondre : « En tant que chef de famille, le
conseil que je vous donne est de trouver quelqu’un comme le fils de
Berlusconi ou qui n’ait pas de problèmes (d’argent). Avec votre sourire
vous pouvez vous le permettre » et d’ajouter « le mieux serait de vous
trouver un millionnaire ». Des mots qui choquent l’opinion publique qui
n’accepte pas le trait d’humour. Pour beaucoup d’italiens, la farce de
l’ancien président ne fait que montrer encore une fois le gouffre qui
sépare les gouvernants des vrais soucis populaires. "
Beaucoup de jeunes filles ne visent que cette échéance, et les autres, moins arrogantes, sont souvent l’objet du harcèlement qui sévit en haut lieu : http://hebdo.nouvelobs.com/hebdo/parution/p1708/dossier/a13439-laurence_desiree_et_viree.html
Mon conseil peut très bien s’appliquer à tous et je décris de façon on ne peut plus explicite les méthodes traditionnelles de relations vouées à l’équilibre dans le partage des responsabilités chez les peuples attachés à leurs traditions. http://www.agoravox.fr/actualites/societe/article/ces-uniformes-qui-font-trembler-l-60560
Chacun a le devoir d’être par moment le meneur du couple, mais tous ont intérêt à savoir inverser les rôles afin de rester autonome et polyvalent. La complicité commence souvent dans le cadre même de l’enfance, mais pas dans tous les cas. C’est l’adulte qui enseigne ce qu’est la complicité déjà entre générations et elle est parfois rare chez certains milieux.
Cordialement, L.S.