@Serpico : Vos propos n’ont rien à voir avec les miens et je m’en dissocie pour plusieurs raisons.
1) Quels éléments de preuve apportez-vous à vos affirmations d’imposture (?), de glapissement et de soutien du régime Bush ? Si vous n’étayez pas ces affirmations gratuites, elles ne valent même pas les électrons qui les affichent à mon écran.
2) Rien ni personne ne mérite des crachats. Pas même vous qui semblez, à première vue, avoir l’opprobre et la haine vissée au ventre. Rassurez-moi si ce n’est pas le cas !
@Deneb : Même chose. Qu’est-ce que Rotschild a à voir avec Libé ? Sur quoi vous fondez-vous pour affirmer que ce journal diffuse une pensée unique, et non pas un échantillon à tout le moins honnête, s’il peut difficilement être impartial, de la pluralité des voix qui s’expriment dans la société française ?
Mon propos est différent. Il concerne l’avenir de la « presse » (un mot dépassé par les événements, j’en conviens) en général et non pas celui de Libé en particulier, qui n’a ici que valeur d’exemple. Je ne juge ni le contenu ni le bien fondé de cette publication, mais plutôt son modèle d’affaires et, en l’occurrence, son manque apparent de vision en ce qui concerne l’impact d’Internet sur sa production.
Tant que j’y suis, j’ai lu après avoir publié cette analyse un article de 01net qui indique qu’« une application payante très innovante permettra d’accéder à d’autres services, dont on ne connaît pas encore la teneur ». Libération n’a peut-être pas encore abattu toutes ses cartes et j’espère sincèrement qu’ils me feront mentir en allant de l’avant avec des produits beaucoup plus novateurs.