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Commentaire de Imhotep

sur Après une cure de silence Bayrou s'est exprimé à l'université d'été du Mouvement Démocrate


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Imhotep Imhotep 8 septembre 2009 22:17

A propos de tartuferie en voilà des exemples magnifiques. D’abord voici pour vos arguments comme quoi les députés uDF ont été élus avec les voix de droite. 2couter bien ce que dit votre leader charismatique Morin dans cette vidéo collector. Cela devrait en mettre une claque à ceux qui sont honnête et le défendre car après l’avoir vue s’ils continuent c’est qu’ils ont décidé que finalement en politique l’honnêteté cela ne paye pas.


Ensuite pour tous les autres députés voici leurs propos autour du second tour des élections présidentielles avec les références des journaux et si après ce rappel édifiant certains croient encore une seconde à leur crédibilité, à leur fiabilité et à leur moralité c’est qu’ils aiment être de bon gros dindons de cette gigantesque farce qu’est le NC :

Le Monde du mardi 24 avril

Le bâton, c’est un UDF qui est chargé de le manier : Gilles de Robien, seul ministre centriste du quinquennat de Jacques Chirac, a pour mission de convaincre les deux tiers des 29 députés UDF de soutenir M. Sarkozy, en échange d’une clause de non-concurrence de l’UMP dans leur circonscription. L’objectif est « d’assécher » la représentation de l’UDF à l’Assemblée Nationale pour l’empêcher de constituer un groupe hostile.

En contrepartie, le ministre de l’éducation nationale a obtenu pour les futurs députés ralliés, un statut d’autonomie, voire d’indépendance, à l’égard de l’UMP. Dimanche soir, M. de Robien était pourtant loin du compte : seuls cinq députés (Pierre-Christophe Baguet, Christian Blanc, Olivier Jardé et André Santini) et deux sénateurs (Daniel Dubois et Yves Pozzo di Borgo) avaient signé son pacte.

 Pour M. Bayrou, il s’agissait au soir de ce premier tout où il a recueilli 18,55 % des voix, de donner l’assurance que les choses n’en resteraient pas là. Accueilli par des « Merci François ! », il s’est bien gardé de donner des consignes de vote.

 « Nous allons réfléchir à la meilleure façon non seulement de nous faire entendre, mais de nous faire respecter », annonçait de son côté le député Jean-Christophe Lagarde (Seine-Saint-Denis), pour qui « il n’est pas question de céder aux intimidations de qui que ce soit ».

 Le Monde du 25 avril

 « La menace du fort au faible existe, mais la dissuasion, elle, est du faible au fort » aime répéterHervé Morin, le président du Groupe UDF de l’Assemblée Nationale.

 Il y a, là [lundi matin au siège de l’UDF], Marielle de Sarnèze, la directrice de campagne, Jacqueline Gourault, Michel Mercier, Hervé Morin, Jean-Christophe Lagarde, Nicolas Perruchot, Rudy Salles, Jean-Marie Cavada…

 Le Monde du 26 avril

« Ce n’est pas le moment de faiblir ni de mollir. Si on décevait ces 7 millions d’électeurs qui se sont rassemblés derrière François Bayrou, ce serait catastrophique. » Maurice Leroy

 


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