Commentaire de Le péripate
sur Chateaux de cartes (2è partie)
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Deux sophismes enchaînés : démontage d’un langage manipulatoire
La métaphore « à la virgule près » qui grossit exagérément un fait pour mieux le détruire ( les métaphores font surtout appel à l’émotionnel, le lecteur est « guidé » pour la suite, « préparé »)
La logique fallacieuse, dissimulée par l’utilisation de la métaphore : si Madof est un génie, il ne se trompe jamais, donc s’il se trompe il n’est pas un génie, et comme il n’est pas un génie il ne peut pas comprendre ce qu’il se passe ce jour devant ses yeux, c’est donc qu’il savait.
La touche finale, estocade, autoportrait d’un sage qui répond à un excité : « ardeurs anasmachins » (keskecè ?).
C’est un plaisir de discuter avec vous, Wesson.
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