« Avec une mise sur le marché à la mi-octobre, le vaccin ne pourra enrayer la pandémie de grippe A ». (Ouest-France)
Le gouvernement a prévu en priorité une vaccination des femmes enceintes et des nourrissons. Or que nous dit Ouest-France aujourd’hui ?
"Des produits, qui dans leur grande majorité, ont été fabriqués à partir d’une variation du vaccin contre le virus H5N1 (grippe aviaire). Pour les rendre plus efficaces, les laboratoires leur ont ajouté des « adjuvants ». Un produit, ici une « émulsion lipidique », censé améliorer la défense immunitaire du patient. « Cet adjuvant a déjà été massivement utilisé dans différents vaccins et notamment en Angleterre. Il n’y a pas, à ce jour, de contre-indications ou d’effets secondaires, rassure Daniel Floret. Avec une mesure de précaution non négligeable quand même : « Nous n’avons pas assez de recul et d’expérience pour connaître les conséquences de cet adjuvant chez les nourrissons dont le système immunitaire est en cours de construction et chez les femmes enceintes. »
Bon, c’est clair non ? Le but de tout ce tapage est de tester en catimini ces adjuvants. Et pourquoi faut-il tester ces adjuvants ? Parce qu’ils seront utilisés lorsqu’apparaitra le virus qui tue !
Mais dans cette affaire de la poule et de l’oeuf, je veux dire, du vacccin et du virus : fait-on un vaccin parce qu’on craint l’arrivée du virus, ou bien fera-t-on venir le virus parce qu’on a (pas encore mais ça va venir grâce aux tests prévus sur les femmes enceintes et les nourrissons français, merci qui ?) le vaccin ?
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