« Le mot conqpirationniste ou complotiste est un néologisme imposé par les médias marchands pour discréditer la pensée critique » dit Cascabel
Tout à fait d’accord avec lui sur ce point
En ce sens , l’article est équivoque car il joue sur le rejet spontané que provoque ce terme d’emblée discriminant, sans analyse de ses présupposés
["Selon Raoul Girardet[3],
l’explication par le complot est d’autant plus convaincante qu’elle se
veut totale et d’une exemplaire clarté : tous les faits, quel que soit
l’ordre dont ils relèvent, se trouvent ramenés, par une logique
apparemment inflexible, à une même et unique causalité, à la fois
élémentaire et toute puissante. La théorie du complot établit une
grille interprétative dans laquelle s’insère l’ensemble des événements
du temps présent, y compris les plus déroutants et les plus
angoissants. Par là même, l’inconnu, les questions sans réponse cèdent
devant un système organisé d’évidences nouvelles. Le destin redevient intelligible ; une certaine forme de cohérence, tend à se rétablir dans le cours déconcertant des choses.
Et voilà pourquoi l’article est équivoque, faute de s’interroger sur cette notion visant à discréditer tous ceux qui émettraient la moindre critique vi à vis de la V.O."]-Wiki-
Justement, on peut être critique sans avoir une vision globalisante et claire
Le droit au soupçon légitime ne doit pas être combattu
Comme Souffle, je revendique le droit de douter de la validité de la VO, quand on connaît ses failles, ses contradictions, ses absurdités parfois, les conditions de la formation de la commission qui l’a élaborée, le rejet systématique d’une quelconque révision même à demande des familles des victimes
Bien qu’ayant une petite idée sur un possible scénario (plus complexe certainement que ce qui est généralement présenté), je revendique moi aussi le droit d’être critique et agnostique
Le doute (volontaire, cartésien), jusqu’à plus ample informé- mais comment être informé quand on interdit toutes remises en cause ?-est une des expressions les plus fortes de la liberté de l’esprit