J’aimerais ajouter que la tour qui a été frappée aux deux tiers de sa hauteur par un avion de ligne ne pouvait pas s’écrouler sur elle-même à la vitesse de la chute libre. C’est juste une question de bon sens.
Les tenants de la thèse officielle prétendent que l’armature d’acier aurait fondu. Les experts nous disent que la température de fusion de l’acier est supérieure à 1500 degrés, température qui ne peut pas être atteinte avec le kérosène.
Or, à supposer que l’acier ait pu fondre à l’endroit précis où l’avion a frappé la tour, les deux tiers inférieurs de la tour seraient restés aussi solides qu’avant l’incendie.
Comment dès lors la tour entière aurait-elle pu s’effondrer à la vitesse de la chute libre, sans résistance aucune ?
N’aurait-il pas été logique que la partie supérieure s’affaisse sur le côté ?
Je ne suis pas un spécialiste, mais n’y a-t’il pas d’autres « Candides » dans ce fil qui pensent comme moi ?
Or, non seulement cette tour est tombée en poussière à l’image des démolitions contrôlées qu’on a pu voir mainte et maintes fois sur nos écrans, mais les deux autres tours y compris celle qui n’a subi aucune collision ont connu le même destin.
La logique du Candide que je suis ne peut adhérer à l’explication officielle. Et si conspiration il y a, je pense comme David Ray Griffin qu’elle se situe plus dans le camp gouvernemental de l’époque que dans celui des scientifiques de plus en plus nombreux, des centaines d’architectes, des politiciens (Les ex-ministres allemand Von Bullow, britannique Meacher, l’Euro-député italien Chiesa, le député japonais Fujita, un membre de l’équipe d’Obama, Van Jones, etc...), plus de quarante vétérans des services secrets et de l’armée américaine, etc...
Mais, au delà de la vérité sur le 11 septembre qui intéresse tout un chacun, il y a une autre question bien plus cruciale qui restera toujours posée, c’est celle de la crédibilité que nous pourrons encore accorder à l’avenir aux médias officiels. Car si on a pu les museler à cette occasion, démonstration est faite aujourd’hui qu’il sera toujours possible de le refaire à l’avenir.