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Commentaire de décurion

sur Hortefeux : une défense à géométrie variable


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décurion 13 septembre 2009 14:45

L’ excés en tout est nuisible, c’est une évidence, et nier cette évidence ne l’empêche pas d’exister.
Que les mots « arabes », « trop », « probleme », accolés ensemble, puissent en choquer plus d’un, est tout aussi concevable, que le sont la betise, l’aveuglement ou la lacheté, au même titre, et au même niveau, celà en fait un sentiment partagé, et non une vérité, ou une morale universelle.
Personnellement, je n’apprécierais pas de servir de faire valoir à qui que ce soit, et je ne comprends pas que l’on puisse se rabaisser à ce niveau, mais si celà plait à certain, sans me nuire, ce n’est pas mon problème, le contraire de ceux, qui trouvent qu’il y a trop de burka en afganistan, ou de fouets islamistes au soudan. Ceux qui voudraient au nom du droit, de la morale et de leur volonté, changer les moeurs et les lois des étrangers lorsqu’ils sont chez eux, trouvent souhaitables et enrichissant que ces moeurs et ces lois, au nom des mêmes principes, s’établissent chez nous, y compris contre la volonté des indigènes.
N’est ce pas là un paradoxe ?
Ce qui me gène le plus, dans ce flot d’interventions, c’est que l’on solutionne les problemes, en interdisant l’emploi des mots qui désigne les problemes.
Qui en décide, pourquoi on l’accepte ? Le fait est que la censure remplace le débat, et le racisme , tout en étant désigné plus que de raison, n’éxiste pas, puisque les races sont une invention non fondées.
 

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