Bonsoir Gül,
je l’ai senti comme ça parce que je vois bien autour de moi ceux qui ont perdu leurs boulots dans le bâtiment depuis la crise, et maintenant n’en retrouvent pas en commençant a tourner en rond, tout en continuant de voir a quel point certaines destinées sont tellement chargée de peines qu’elles attendent a 30/40 que la vie enfin s’arrête,
et dont le crime est surtout de ne pas avoir la « chance » d’être prisonnière en période de guerre, pour qu’après leur morts on puisse enfin parler d’elles...
Mais ce que je trouve épatant c’est d’avoir obtenue des réactions « hostile » autant de Gazi borat que d’abdelkader17, et que l’un et l’autre n’ont pas répondu a mes questions/ critiques, et ne sont finalement pas revenu a la charge, il n’y avais sans doute pas assez de gain idéologique a prendre.
il semble bien qu’ici comme ailleurs, dés qu’on sort de la récupération partisane de la douleur, il n’y a plus personne pour en parler, alors qu’autant a l’échelle de l’individu, que de la famille, que de la société française, c’est une catastrophe d’ingérence, de non dit, de prisons de silence et de d’enfermements /étouffement jusqu’à parfois en crever,
dans laquelle vie ou survie une partie non négligeable de la population, et dont une autre partie est pas si loin d’y tomber qu’elle aime a le croire.
Nombreux sont ceux qui ont comme arrière gout de l« amertume en constatant qu’il y a des douleurs tolérables et même socialement »prise en compte« , parce qu’elles rentabilisent des intérêts, et d’autres où au contraire, elles sont » trop dangereuse" pour en parler et tant pis pour ceux qui les vivent, c’est beau la solidarité sur le fronton des Mairies Françaises...
Et puis pour les fautes, je m’améliore mais si je n’en faisais pas, ce ne serais pas tout à fait un article de barbouse :))...
amicalement, merci Gül.