@ jcm,
E. Bard n’est pas connu pour être un « spécialiste de l’étude des relations entre l’activité solaire et le climat terrestre ». Il ne semble pas connaître l’effet amplificateur du soleil par la régulation du rayonnement cosmique (hypothèse de Svensmark).
Mais j’ironise, car quand il prétend "Or, là aussi, c’est l’échec puisque
l’explication la plus simple – la hausse ou la baisse de la quantité
d’énergie reçue par la Terre – ne suffit pas. Entre le point haut et le
point bas d’un cycle de onze ans, elle ne peut expliquer directement
que 0,1 à 0,2°C d’écart de température moyenne annuelle." , on comprend qu’il connait l’hypothèse de Svensmark, mais qu’il se refuse à la prendre en compte. Or cette hypothèse, étant déjà compatible avec une multitude d’observations, est très probable. De plus, elle est en cours de vérification expérimentale par le projet CLOUD au CERN).
De surcroît, même une variation d’un millième de la TSI (total solar irradiance) correspond à 10 fois la consommation mondiale d’énergie par l’humanité. Ainsi donc, une telle quantité d’énergie n’aurait aucun effet sur le climat ?
E. Bard fait partie de la petite bande de faussaires scientifiques qui anime le GIEC. Des falsificateurs, grassement récompensés en crédits de recherche et honneurs. Un jour, bientôt j’espère, ils auront des comptes à rendre...
Quand à Libération, comme tous les médias officiels, il n’est ni impartial, ni objectif sur ce sujet (et sur bien d’autres aussi). Les esprits avertis ne le lisent plus.
PS : dorénavant, je demande à mes interlocuteurs de révéler si leur intérêt économique dépend de la validité de la théorie du RCA. Donc je vous pose la question : gagnez-vous aujourd’hui, ou espérez-vous gagner demain votre vie grâce aux mesures de limitation du gaz carbonique ? Bien entendu, j’y réponds pour moi-même : non, bien que j’aurais tout à gagner à ce que la théorie du RCA soit vraie. Mais elle est fausse.