@ SANDRO
j’ai voté positivement à l’article, car, bien évidemment, l’instrumentation des suicides à des fins politiques n’est pas forcément honnête.
je suis d’accord sur le fait que la plupart de nos joies et de nos peines sont de notre ressort
Néanmoins, vous ne pouvez par nier certains faits :
* le stress permanent de la « croissance », des « délocalisation », de « l’insécurité », de la « malbouffe », du « climat ». Même si vous évitez les infos, vous ne pouvez échapper à ce rabâchage permanent
* le pressurage gouvernemental autour de la « pandémie », où serrer une main ou simplement éternuer vous rend suspect
* deux heures de trajet par jour pour aller travailler parce que l’urbanisme n’a pas été capable de prévenir la centralisation des activités.
* l’interdiction de boire un verre de vin à midi, l’interdiction de fumer une cigarette au tabac
* une vie sociale en entreprise concentrée sur le rendement, parce que des doctrines politiques ont détruit le protectionnisme et essayent d’imposer un modèle théorique sur la réalité.
Plein de politique, là-dedans non ?
Vous savez, nous vivons dans société ultrarigide et ultraspécialisée. Une telle société nécessite une organisation forte : la politique. Si la politique échoue, la société s’écroule, au moins 4 milliards de morts de famines, maladies ou guerres. De plus, je ne sais pas vous, mais je
ne sais pas cultiver des carottes ou traire une vache. Ca donne
terriblement envie de croire en la à la Politique, non ?