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Commentaire de ernst

sur Les Verts, un parti avec un chef mais sans idées


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ernst 21 septembre 2009 04:08

Ou bien je me trompe, ou bien Dany le Rouge a expliqué très clairement QU’IL N’éTAIT PAS CANDIDAT. Il a du reste raison, ses propres déclarations concernant les petits garçons lui fermant, pour quelques années au moins, les portes d’une éligibilité convenable. 


Ce qui faisait pendre la langue de Manuel Valls, plus arriviste et lèche-cul que jamais. Les yeux rapetissés de convoitise, il tentait d’introduire sa langue experte dans le discours du chef. A défaut.Sans vraiment y parvenir.

Mais j’ai senti une nette inflexion du chef sur les petits partages entre amis. Pourquoi s’affilier avec une gauche qui rend publiques (C à voir ) ses magouilles internes, lesquelles durent parait-il depuis trente ans. Quel gentil porteur de carte n’a pas la tentation de brûler en Place de Grève son autocollant et d’envoyer aux plottes un Parti qui se fout de sa gueule et de son vote depuis le même laps de temps ?... En effet, pourquoi ?..., 

Ce que j’ai compris du discours hors champs de DCB est ceci : soyez communistes, UMP, Même Socialistes si le coeur vous chante. Ceci ne regarde que vous. Mais le discours Vert est hors parti, ses propositions à visée mondialiste, ses projets peuvent attirer des votants de tous bords pour une cause supérieure.

Le fait que Dany ne puisse être chef ne signifie pas qu’il souhaiterait qu’un autre y fût à sa place. Et surtout pas Valls. Et il prend Hulot pour un foutriquet. Du reste il ne peut garder son aura de tribun qu’en conservant le langage Collucchien qu’il pratique avec bonheur. Vous le voyez sur fond couleur drapeau en costume trois pièces et s’appliquant à prendre le ton Guaino ?...

Pas fou le Dany.

Une petite fenêtre vers la Démocratie participative européenne serait-elle en train de s’ouvrir ?... Le peuple aurait-il enfin envie de prendre la parole en direct, sans plus passer par ses véreux porte-parole habituels ?... Miam !...Quand donc ?...

Quand les Français cesseront de se chercher à toute force un Père Idéal dans un Sarkozy, un Valls, un Le Pen, une Ségolène.Tous bonnets blancs. Et blancs benêts.
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