Commentaire de Gaëtan Pelletier
sur Délation et mauvaise conscience
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La semaine dernière on nous a livré une pizza avec une fausse facture. On connaît le truc : ils en vendent des bidons partout.
En plus, on y colle les taxes du Québec et du Canada. Dans les poches de la pizzéria...
J’ai pensé à « déléter » la pizzéria, mais c’est la meilleure dans le coin.
Voilà qu’une « entreprise » - ce pourrait être le plombier ou l’électricien - engouffre les taxes en plus du produit.
On dérive...
Et, étant donné, que je joue le jeu, je double la perte...
J’ai décidé de « déléter » le gouvernement.
Pourquoi ne pas imposer une facturation avec étiquettes produite par le gouvernement ?
Quand j’y pense, j’entends le dollar glisser et tictacter dans un cochon de porcelaine de Chine.
C’est le supplice de la goutte d’eau, version métallisée...
Si vous me réglez ce problème, M. Allard, je vous paye 50% cash et 50% en de la facturation réelle.
Derniers commentaires
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22/09 19:52 - jeananto
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22/09 16:02 - ASINUS
yep les cas de conscience c est beau comme l antique ! pendant que vous discourez sur le sexe (...)
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22/09 15:20 - Pierre JC Allard
@ Annie : S’il y a une loi et qu’une large majorité de la population juge (...)
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22/09 14:59 - Pierre JC Allard
@ Gull L’Individu doit obéir à sa conscience, mais l’État doit obéir à la loi qui (...)
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22/09 14:56 - Annie
Sûr, mais si je décide de ne pas payer la redevance télé, je peux appeler cela de la (...)
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22/09 14:55 - Pierre JC Allard
@ Hermione : il y a un problème d’hystérèse. La loi tend à obéir à ses précédents. En (...)
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