"Il faut savoir que la place boursière de Wall Street représente 40% de l’économie Américaine ; ouais, 40% ! Les 60% « restant » sont des entreprises qui produisent, fabriquent avec des employés, en chaire et os ; pour Wall Street, c’est du virtuel"
Non le boulot d’une banque est très concrêt. Une entreprise avec des employés comme vous dite ne tourne pas sans avoir recours a des produits financiers plus ou moins exotiques. Que ce soit pour faire du financement ou se couvrir contre des hausses (ou baisses) de taux ou de matières premiére, la banque reste un partenaire de tout entrepreneur.
Si tout cela n’était que virtuel, il n’y aurait pas de crise. Il suffirait de créer de la monnaie en changeant des 0 et des 1 dans un ordinateur. Cela ne marche pas. La finance c’est très concrêt. C’est juste compliqué à comprendre pour ceux qui n’ont pas fait d’études ou ne veulent pas comprendre.
Cool, et ? Tout travail mérite salaire. La réalité c’est que les employés de Goldman et d’autres banques sont très productifs et donc ils encaissent les bénéfice. D’ailleurs pour une fois qu’une boite partage ses bénefs avec ses salariès vous ne devirez pas vous plaindre. Mais la jalousie c’est quelque chose.
»Hier soir je regardais Capital, un petit merdeux français installé dans son bureau de Manhattan sans sourcilier d’un poil vous disait qu’il « pariait » sur la dégringolade du Mexique, oui, vous lisez bien, on spécule sur la chute d’un pays de plus de 140 millions d’individus, on s’en fout des conséquences«
C’est pas ce pari qui va faire chuter ou non le mexique. Je peux parier que tu va clamser demain c’est pas ca qui va te faire mourir. Maintenant, imagines que tu as des fournisseurs au mexique qui font tourner ton entreprise bien réelle de fabrication d’équipements télécoms. Si le mexique s’effondre tu peux être dans la merde. Donc tu te couvres contre ce risque. Et pour cela, tu parie sur la chute ce qui est le seul moyen de te couvrir.
Le fait de croire que spéculer sur la chute du mexique va faire chuter le mexique relève du fantasme. Sinon ca ferait longtemps que Bush aurait spéculé sur la chute de l’iran.
»le « pari » c’est de dépouiller la bête, y’a des ressources naturelles, donc, tout est à ramasser lorsqu’il n’y a plus de liquidités. «
Ben ca c’est toujours passé comme cela. Si c’est la loose et que tu as des liquidités, tu fais des bonnes affaires. Comme disent les chinois, la crise est la rencontre de grands dangers et de grandes opportunités. Alors lorsque c’est la merde, il faut foncer.
»Ce petit connard en conclusion nous disait : « ça ne m’empêche pas de dormir ».
Sale cafard va, et des comme lui, sont TOUS comme lui, le cynisme à la
bouche, et vous voudriez que soudain ces sous hommes changent... "
Vous savez très bien que les deux n’ont rien à voir. Il y a toujours des winners et des loosers en tant de crise comme en tant d’euphorie. Ceux qui ont contractés des crédits abusifs sont les loosers et ils ont loosés pour longtemps.
En tout cas je vois que les étudiants des écoles de commerce privées vous font fantasmer. Surement parce que vous n’avez pas pu en être. Je vous rassure moi non plus. Je suis dans l’ingénierie. Mais je sais très bien qu’on ne fait pas de high tech sans le recours à la finance.
24/09 19:23 - Agoravocs
Si, ce commentaire apporte du discrédit à son auteur, c’est déjà pas (...)
24/09 12:21 - fwed
@ marc bruxman. waouhh !!! Votre com me laisse sur le cul ! Vous soutenez pleinement cet (...)
24/09 08:03 - Webes
Article debile, d un bon « sous homme » d extreme extreme extreme gauche !
24/09 00:20 - Agoravocs
@ Marc Bruxman Si Gézé a besoin de cours d’économie, alors vous avez besoin de cours (...)
23/09 21:55 - moebius
Les bonus sont le nerf d’une guerre qui « nous » détruit point barre... encadrer ou (...)
23/09 20:38 - Marc Bruxman
Des cours d’économie ne feraient pas de mal... "Il faut savoir que la place boursière (...)
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