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Accueil du site > Tribune Libre > T’as l’Bonus mon Trader !

- T’as l’Bonus mon Trader !

« Les Européens demandent un encadrement des bonus, une mesure toujours écartée par les Etats-Unis »[1]
Ahah ! C’est ça ! Ce qui reviendrait à dire à ces « traders », hey les gars, maintenant on joue sur le long terme, on place les billes, mais vos clients au lieu de prendre 20% de bénefs, ne prendront plus que 6%... C’est gagné d’avance.
 
Il faut savoir que la place boursière de Wall Street représente 40% de l’économie Américaine ; ouais, 40% ! Les 60% « restant » sont des entreprises qui produisent, fabriquent avec des employés, en chaire et os ; pour Wall Street, c’est du virtuel ; un marcher qui fabrique sa money, ses bénéfices et ses bonus. Une économie de la 1ère puissance mondiale qui se résume à quelques pâtés de maison d’un quartier... Si nous ne marchons pas sur la tête vous me le dites !
 
Une chose : Goldman Sach, va verser fin décembre 20 milliards à ses bons p’tits gars ! 20 milliards, c’est par exemple l’aide contre la FAMINE dans le monde dépensée par tous les pays en 1 an... Et vous voudriez que ça ; soit redéfini ? Complètement dingue comme idée. Nous sommes dans une spirale depuis des lustres, les fonds de placement jouent soit à la hausse, ou à la baisse ; donc, un trader pas content donne sa démission et va aux plus offrants. Hier soir je regardais Capital, un petit merdeux français installé dans son bureau de Manhattan sans sourcilier d’un poil vous disait qu’il « pariait » sur la dégringolade du Mexique, oui, vous lisez bien, on spécule sur la chute d’un pays de plus de 140 millions d’individus, on s’en fout des conséquences, le « pari » c’est de dépouiller la bête, y’a des ressources naturelles, donc, tout est à ramasser lorsqu’il n’y a plus de liquidités. Ce petit connard en conclusion nous disait : « ça ne m’empêche pas de dormir ». Sale cafard va, et des comme lui, sont TOUS comme lui, le cynisme à la bouche, et vous voudriez que soudain ces sous hommes changent... Lisez de toute urgence le « Bucher des Vanités », un bon bouquin des années 80, mal mis en scène par Scorcese ; quand on se dit qu’un merdeux, école de commerce peut influer sur des populations entières, par un simple clic... Je me marre bien d’entendre les « leaders » nous rabattre les oreilles qu’ils vont « moraliser » la finance.
 
« Goldman Sach estime que la récession américaine est terminée. « Dès aujourd’hui », clame une de ses stratèges senior, Abbey Joseph Cohen »[2] Ben voyons Monsieur Senior Cohen, celui qui « clame », et les millions d’américains à la rue ? Ils ont dut certainement rêver eux, puis, dehors ! Rends les clefs de ta baraque, va pointer au chômage et ferme là ; NOUS, on te dit que tout va bien ! Pour ces banques d’affaires le rythme n’a jamais ralenti, ils ont fait les marioles, puis on ramasser les aides et subventions, puis ils repartent comme en 14. Même pendant le 11 septembre, ont seulement fermé la machine à jouir que 2 jours, prétexte : « nous ne devons pas baisser les bras devant l’adversité ».
 
C’est valable pour les banques françaises, avec leurs petites succursales bien planquées dans des paradis fiscaux. Hier soir je regardais l’interviewe du patron de la BNP, Baudouin Prot un binoclard croquignolet à la grande mèche blanche, dans ses certitudes, plein de morgue nous distillant le discours bien appris, NE JAMAIS RIEN RECONNAITRE, c’est la devise. (...) Outré qu’on mette dans le même sac banques françaises américaines, Baudoin Prot, patron de la BNP, oublie un peu vite les acquisitions de sa banque aux Etats-Unis et le mercato des traders de Lehman Brothers (...)[3] Comment un tel mec peut-il être « outré » ? De tous temps cette race « d’hommes » a été méprisable, mais au moins avant, lorsque le Roi en avait marre, il les faisait pendre haut et court, et basta ! De nos jours, sont cajolés les malfrats, font la Une des magasines, sont adulés... Triste époque, autant un Steve Job, fondateur d’Apple m’inspire du respect, autant un Prot me donne envi de le baffer. Le problème avec ces minus c’est qu’ils sont interchangeables, un Boutin de la SG, remplacé par un comme lui, c’est sans fin, et croyez moi les écoles friquées de commerce en regorgent de ces bâtons merdeux, sont incapable de penser par eux même, peuvent juste faire du fric, pour le fric avec ce titillement de « dominer le monde », c’est pathétique mais surtout néfaste.
 
Alors quand je vois des Sarkozy, se la péter plus haut que leur bas du cul, je me marre. Nico, contre eux t’y peux rien, en plus, tu existes par eux, pour eux, avec eux ; ne nous donne pas ton baratin. Et l’Obama, lui qui a été élu pour la modique somme de ½ milliard... Ca doit laisser des traces, des renvois d’ascendeur, des petits comptes pas folichons ; arrête de nous bassiner avec tes envolées, t’es dépendant d’eux ; s’ils le veulent ils peuvent te dézinguer en plein vol, car ça vole un banquier ! « Le président français Nicolas Sarkozy doit prononcer un discours sur la régulation financière mercredi à l’ONU, avant de se rendre au sommet du G20 de Pittsburgh, en Pennsylvanie. Les bonus des traders seront au cœur des discussions »[4] Mouais, et tu feras quoi ? Je paris mon caleçon qu’au final les titres seront : « Nicolas Sarkozy sort de ce sommet du G20 optimiste, les 20 1eres puissances mondiales ont décidé d’un commun accord de moraliser les finances ; des commissions seront nommées et interviendront au cas par cas, etc... » Pis chacun rentrera à la maison, dans les Jets fabriqués par les potes des banquiers, la Terre tournera un paquet de fois encore ; re G20, re, re !
 
Pourtant c’est facile de le changer ce système. Suffit de taxer un MAX les dividendes, les bonus ; mais alors taxer un MAX, je ne sais pas moi, dans les 90% par exemple ? Ensuite, fermer purement et simplement les paradis fiscaux, c’est possible, y’a qu’à voir comment Bush a pu faire envahir un pays ! Puis, lorsque les grosses pépettes faute d’endroits pour embellir reviennent au bercail, les taxer un MAX ! Puis NATIONALISER les banques, foutre en taule les Prot-Bouton, les traders dans les mines de sel... D’accord, ce n’est pas la solution, on droit de vivre ces mécréants, alors, on les dépouille, et on reverse ce bel argent dans des fonds communautaires... Hey, j’suis en plein Communisme moi ! Je vois bien la Buffet en banquier chef, quelle rigolade.
 
Le jour où ça a merdé, c’est le jour où nous avons décidé que l’Argent n’avait pas de frontière... Faut remonter au temps des Médicis, même avant avec les Templiers... Y’a donc une vieille tradition de l’Argent n’a pas d’odeur, pas d’accent ; elle est le poumon de la vie, sans Argent et ben tout s’écroule. Nous sommes coincé dans les courbes d’inflation, voir seconde guerre mondiale, coincé dans les « bulles » ceci, cela.
 
Si on remonte très-très loin y’a eu le troc, en ces temps là faire fructifier son blé, était un casse-tête, car fallait ensuite le balader, le transporter son blé, et ça pèse lourd le blé. Un petit malin s’est dit, tient, si on échangeait des trucs ronds ; c’est devenu les « ronds ». Mais même des « ronds » en quantité ça pèse. Alors ça a été les billets, là, ça a commencé à être intéressant, car, c’était l’exclusivité des Etats de fabriquer des billets, alors, la planche à billet s’est mise à tourner à fond la caisse, elle ne pouvait même plus fournir tellement on en voulait, en plus, ces billets étaient indexés sur l’or, on a changé la donne et le billet Vert est devenu l’étalon. Un malin a pensé à l’argent virtuel, on ne le touche pas, il ne sent rien, pourtant il circule. La carte de crédit, ça c’est de l’évolution. Je tends le morceau de plastic, je paye, et ni vu ni connu. Et pis, un jour les ordinateurs sont entrés en piste, l’argent circulait 24Hsur24 autour du globe, à un point qu’aujourd’hui, les banques fabriquent du fric, je veux dire de la money. On spécule, on spécule, pis un jour on va au guichet récupérer sa mise en vraie Argent ; mise qui n’a jamais été déposée au paravent. Les banques modernes ont ce privilège, fabriquer des thunes. Alors, penser une nano seconde qu’elles vont se calmer, même si Petit Sarko se fâche, et ben on peut espérer...
 
Comme disait Gecko dans le film Wall Streets, “it’s about greed,” Ouais les doigts crochus ! Jamais assez, j’en veux encore plus. (...) En avril dernier, avant le sommet de Londres, Nicolas Sarkozy avait esquissé la menace d’une politique de la chaise vide sur la question des paradis fiscaux. Néanmoins, la banque fédérale américaine (FED) a proposé ce week-end un « nouveau pouvoir de contrôle et d’encadrement ». Objectif, favoriser les performances de long terme plutôt que les profits immédiats (...)[5] C’était en avril... Sacré Nico, avec tes petits poings tout nerveux... Et la FED, qui voudrait un pouvoir d’encadrement... Le long terme... Tient ça me ramène au début de l’article !
 
Ce que je vous dit braves penauds comme moi, c’est que depuis la nuit des temps, c’est le fric qui cause, que, ça va empirer, que les banquiers, même aux époques les plus noires ont gagnés des fortunes, qu’ils ont financé les Nazis, les Pinochet, les Saddam, les Staline et Mao ; alors vouloir nous faire croire à une moralisation des choses c’est se foutre de not gueule.
 
C’est sans issue, et quand bien même il ne restait que 2 êtres humains sur cette planète, et ben, trouveraient le moyen « d’échanger », de faire « fructifier », histoire de « dominer » l’autre. Sarkozy qu’est un Grand Généticien l’a compris ; c’est en nous, les pépettes ! Donc RDV jeudi et vendredi pour le G20... Ouais j’ai vingt, et toi t’as combien à vendre ?
 
 
Le Père Siffleur - GéZé/09/09/ - Les Ediles c’est comme les Idoles, ça va ca vient...
(Confucius et moi)

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10 réactions à cet article    


  • Candide Candide 23 septembre 2009 13:44

    Waouhh ! quelle bonne et saine colère. Un nouveau Fouquier- Tinville est sur les rangs. 


    Bravo l’auteur, j’aime ce genre de textes alertes et dérangeants. Vous n’avez pas peur des mots et c’est bien. Une (toute) petite correction : Abby Cohen est une femme. Rassurez-vous cela ne change rien et de toutes façons depuis les années 2000 elle se trompe à chaque fois (15 jours avant la faillite d’Enron elle conseillait d’acheter les titres).

    Bien à vous Monsieur l’Auteur.

    • beneolentia beneolentia 23 septembre 2009 18:51

      je serais plus radical, pour commencer :

      la guillotine pour tous les traders, et banquiers, et ensuite on négocie.

      mais, bon ça fait de suite un article beaucoup plus court.

      reprenez votre avenir en main.


      • elec 42 elec 42 23 septembre 2009 19:16

        SUPER ARTICLE,si tous les médiats pouvaient parler ainsi ,tous le monde serait déja dans la rue.


        • Agoravocs 23 septembre 2009 20:06

          Excellent article. Cela faisait des mois que je n’en avais pas lu un aussi bon. En effet, le ton est excellent, la colère légitime, les mots bien trouvés (enfin plus de langue de bois). Je soutiens 100% de vos propos. Ah si tous les « journalistes » pouvaient avoir la même plume...


          • Marc Bruxman 23 septembre 2009 20:38
            Des cours d’économie ne feraient pas de mal...

            "Il faut savoir que la place boursière de Wall Street représente 40% de l’économie Américaine ; ouais, 40% ! Les 60% « restant » sont des entreprises qui produisent, fabriquent avec des employés, en chaire et os ; pour Wall Street, c’est du virtuel"

            Non le boulot d’une banque est très concrêt. Une entreprise avec des employés comme vous dite ne tourne pas sans avoir recours a des produits financiers plus ou moins exotiques. Que ce soit pour faire du financement ou se couvrir contre des hausses (ou baisses) de taux ou de matières premiére, la banque reste un partenaire de tout entrepreneur.

            Si tout cela n’était que virtuel, il n’y aurait pas de crise. Il suffirait de créer de la monnaie en changeant des 0 et des 1 dans un ordinateur. Cela ne marche pas. La finance c’est très concrêt. C’est juste compliqué à comprendre pour ceux qui n’ont pas fait d’études ou ne veulent pas comprendre.

             
            "Une chose : Goldman Sach, va verser fin décembre 20 milliards à ses bons p’tits gars ! 20 milliards, c’est par exemple l’aide contre la FAMINE dans le monde dépensée par tous les pays en 1 an... « 

            Cool, et ? Tout travail mérite salaire. La réalité c’est que les employés de Goldman et d’autres banques sont très productifs et donc ils encaissent les bénéfice. D’ailleurs pour une fois qu’une boite partage ses bénefs avec ses salariès vous ne devirez pas vous plaindre. Mais la jalousie c’est quelque chose.

             »Hier soir je regardais Capital, un petit merdeux français installé dans son bureau de Manhattan sans sourcilier d’un poil vous disait qu’il « pariait » sur la dégringolade du Mexique, oui, vous lisez bien, on spécule sur la chute d’un pays de plus de 140 millions d’individus, on s’en fout des conséquences« 

            C’est pas ce pari qui va faire chuter ou non le mexique. Je peux parier que tu va clamser demain c’est pas ca qui va te faire mourir. Maintenant, imagines que tu as des fournisseurs au mexique qui font tourner ton entreprise bien réelle de fabrication d’équipements télécoms. Si le mexique s’effondre tu peux être dans la merde. Donc tu te couvres contre ce risque. Et pour cela, tu parie sur la chute ce qui est le seul moyen de te couvrir.

            Le fait de croire que spéculer sur la chute du mexique va faire chuter le mexique relève du fantasme. Sinon ca ferait longtemps que Bush aurait spéculé sur la chute de l’iran.

             »le « pari » c’est de dépouiller la bête, y’a des ressources naturelles, donc, tout est à ramasser lorsqu’il n’y a plus de liquidités. « 

            Ben ca c’est toujours passé comme cela. Si c’est la loose et que tu as des liquidités, tu fais des bonnes affaires. Comme disent les chinois, la crise est la rencontre de grands dangers et de grandes opportunités. Alors lorsque c’est la merde, il faut foncer.

             »Ce petit connard en conclusion nous disait : « ça ne m’empêche pas de dormir ». Sale cafard va, et des comme lui, sont TOUS comme lui, le cynisme à la bouche, et vous voudriez que soudain ces sous hommes changent... "

             
            Vous fantasmez beaucoup pour les traders. Si il suffisait comme vous dite d’un simple clic pour oblitérer un pays de la carte, je connais certains pays qui y auraient déja eu droit. Non vous ne faites que parier. Vous pouvez à la rigueure faire monter ou baisser les cours des choses mais pas plus. Mais à la fin, il faut payer l’addition. Si vous achetez du lait comme un porc, vous faites monter les cours. Mais il faudra revendre votre lait après. Sinon vous allez le payer très cher.
            "Ben voyons Monsieur Senior Cohen, celui qui « clame », et les millions d’américains à la rue ? Ils ont dut certainement rêver eux, puis, dehors ! Rends les clefs de ta baraque, va pointer au chômage et ferme là ; NOUS, on te dit que tout va bien ! "

            Vous savez très bien que les deux n’ont rien à voir. Il y a toujours des winners et des loosers en tant de crise comme en tant d’euphorie. Ceux qui ont contractés des crédits abusifs sont les loosers et ils ont loosés pour longtemps.

            En tout cas je vois que les étudiants des écoles de commerce privées vous font fantasmer. Surement parce que vous n’avez pas pu en être. Je vous rassure moi non plus. Je suis dans l’ingénierie. Mais je sais très bien qu’on ne fait pas de high tech sans le recours à la finance.


            • fwed fwed 24 septembre 2009 12:21

              @ marc bruxman.
              waouhh !!!
              Votre com me laisse sur le cul !

              Vous soutenez pleinement cet inique système de creation monetaire privé à usure ?
              Vous soutenez la spéculation de ces traders qui ne font qu’enrichir les actionnaires banquiers en appauvrissant les masses par le biais de cet economie casino ?

              Je me demande si vous n’êtes pas dans l’ingénierie financière !
              Si tel est le cas, je tient à vous signaler que cette activité ne peut absolument pas continuer à pervertir ce titre d’ingénieur dans l’etat actuel des outils qui y sont développés ?

              Petite précision evidemment : Je suis ingenieur génie civil !


            • moebius 23 septembre 2009 21:55

              Les bonus sont le nerf d’une guerre qui « nous » détruit point barre... encadrer ou réglementer ces bonus est une affaire de survie collective


              • Agoravocs 24 septembre 2009 00:20

                @ Marc Bruxman

                Si Gézé a besoin de cours d’économie, alors vous avez besoin de cours d’orthographe... C’est petit comme critique c’est vrai, mais elle vaut autant que la vôtre concernant ses (supposées) lacunes en économie.

                Je vous rejoints quand vous dites que toute entreprise a besoin des banques. Mais là, Généz ne parle pas des banques en soit (celles qui prêtent aux entreprises), mais de leurs tentacules financières. Comme la SG Assets Management.
                Pensez-vous sérieusement qu’il s’agisse de la banque dans laquelle notre président a ses petites économies ? Rien à voir !!
                Il s’agit d’entreprises presque indépendantes, ayant les deniers du plus simple contribuable comme assurance-vie.
                Comment pensez-vous qu’ils aient réussi à cacher des pertes aussi énormes, si celles-ci apparaissaient dans le bilan de la SG au jour le jour ?
                Lorsque vient le moment de consolider les comptes en fin d’année, alors là la SGAM redevient une filiale de la SG, et c’est là que ça fait mal !!

                Sans transition :

                La finance ne produit absolument rien, et n’est absolument pas vitale pour l’économie réelle.

                Pour revenir sur votre pathétique exemple « je peux parier que tu va (la faute d’orthographe n’est pas de moi)... » Le problème, c’est que si...
                Si beaucoup de petits branleurs de Manhattan commencent à spéculer sur l’effondrement de l’économie mexicaine, alors les investisseurs (et je parle bien d’investisseurs, avec des vrais billets et tout ! Pas de ces excécrables spéculateurs, ne confondez pas tout) dans ces régions vont commencer à douter de cette économie, et vont donc tout naturellement retirer leurs billes, ce qui conduira inéluctablement au déclin de ladite économie...même si jusqu’à présent, elle se portait à merveille...

                Comment croyez-vous que l’économie américaine arrive à se maintenir à flot ? Ce n’est pas parce que ses produits sont les meilleurs, ce n’est pas parce que ses produits ont le coût de revient le moins cher au monde.
                Non, ces messieurs des finances, sous influence politico-magouille et cie, dévaluent le dollar. Ainsi, l’euro crève le plafond, et ses produits deviennent hors de prix pour n’importe quel acheteur, c’est aussi simple que ça.

                Encore une fois, rien à voir avec l’économie réelle.

                Quand à votre pamphlet sur les winners-loosers, c’est tellement ridicule, que je n’y reviens même pas.
                Argumentez un peu, et je ferai peut-être l’effort...


                • Webes Webes 24 septembre 2009 08:03

                  Article debile, d un bon « sous homme » d extreme extreme extreme gauche !

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