@ Marc Bruxman
Si Gézé a besoin de cours d’économie, alors vous avez besoin de cours d’orthographe... C’est petit comme critique c’est vrai, mais elle vaut autant que la vôtre concernant ses (supposées) lacunes en économie.
Je vous rejoints quand vous dites que toute entreprise a besoin des banques. Mais là, Généz ne parle pas des banques en soit (celles qui prêtent aux entreprises), mais de leurs tentacules financières. Comme la SG Assets Management.
Pensez-vous sérieusement qu’il s’agisse de la banque dans laquelle notre président a ses petites économies ? Rien à voir !!
Il s’agit d’entreprises presque indépendantes, ayant les deniers du plus simple contribuable comme assurance-vie.
Comment pensez-vous qu’ils aient réussi à cacher des pertes aussi énormes, si celles-ci apparaissaient dans le bilan de la SG au jour le jour ?
Lorsque vient le moment de consolider les comptes en fin d’année, alors là la SGAM redevient une filiale de la SG, et c’est là que ça fait mal !!
Sans transition :
La finance ne produit absolument rien, et n’est absolument pas vitale pour l’économie réelle.
Pour revenir sur votre pathétique exemple « je peux parier que tu va (la faute d’orthographe n’est pas de moi)... » Le problème, c’est que si...
Si beaucoup de petits branleurs de Manhattan commencent à spéculer sur l’effondrement de l’économie mexicaine, alors les investisseurs (et je parle bien d’investisseurs, avec des vrais billets et tout ! Pas de ces excécrables spéculateurs, ne confondez pas tout) dans ces régions vont commencer à douter de cette économie, et vont donc tout naturellement retirer leurs billes, ce qui conduira inéluctablement au déclin de ladite économie...même si jusqu’à présent, elle se portait à merveille...
Comment croyez-vous que l’économie américaine arrive à se maintenir à flot ? Ce n’est pas parce que ses produits sont les meilleurs, ce n’est pas parce que ses produits ont le coût de revient le moins cher au monde.
Non, ces messieurs des finances, sous influence politico-magouille et cie, dévaluent le dollar. Ainsi, l’euro crève le plafond, et ses produits deviennent hors de prix pour n’importe quel acheteur, c’est aussi simple que ça.
Encore une fois, rien à voir avec l’économie réelle.
Quand à votre pamphlet sur les winners-loosers, c’est tellement ridicule, que je n’y reviens même pas.
Argumentez un peu, et je ferai peut-être l’effort...