version rectifiée :
J’avais parcouru une jolie note exposée par le journaliste d’investigation Thierry MESSAN disponible sur le Réseau Voltaire (Voltairenet.org) qui en substance indiquait que l’affaire Clearstream avait été montée de toutes pièces par des proches de sa majesté Sarkozy 1er à l’encontre du 1er ministre de l’époque ; lequel avait osé humilié le gouvernement Bush lors de la fameuse présentation des preuves ridiculesques examinées lors d’une séance du conseil de sécurité de l’ONU visant à faire accroire au monde entier que l’Irak disposait d’ADM (armes de destruction massive). Le Président Chirac et son premier Ministre devaient payer l’affront fait à la soldatesque du capitole de la glorieuse et puissante Oligarchie impérialiste et élitiste US. Les personnages ou plutôt les acteurs de ce mauvais scénario, hormis "l’honnête et scrupuleux » prévenu Dominique de VILLEPIN, vont s’acharner à convaincre les juges que le 1er Ministre en exercice avait pris part à ce grand manège en orchestrant un mini complot tendant à mettre en cause le Sinistre 1er flic de France de l’époque à l’aide d’une falsification d’un listing mentionnant l’identité et les comptes bancaires off shore de la soit-disant victime, sauf coup de théâtre ultime et inattendu. En arrière plan de ce machiavélique stratagème se joue, en effet, une autre partie à laquelle le public peu averti n’a évidemment pas accès et qui consiste à obtenir, par le biais de tractations discrètes, le retrait de Monsieur de VILLEPIN de la scène politique et son éventuel concours, en cas de besoin, aux opérations d’intoxication de l’opinion publique pouvant faciliter la mise en place d’un système dynamique de coertition et de contrôle amenuisant le spectre des libertés publiques et instaurant une emprise en mailles serrées l’emprise de la population lourdement paupérisée par les crises et les réformes à venir, s’ajoutant aux précédentes.
Derrière l’affaire Clearstream qui se concluera (je prends les paris) par de nombreuses relaxes accordées à certains protagonistes de l’histoire dont, in fine, M. de VILLEPIN profitera et quelques condamnations relativement légères dont celle évidente de M I. LAHOUD, qui a déjà exécuté une peine privative de liberté à l’occasion de l’instruction, se joue dans l’ombre une autre pièce essentielle qui renforcera les tenants de la ligne atlanto-sioniste en vue de favoriser l’émergence d’une vaste alliance débouchant inéluctablement sur le nouvel ordre mondial oligarchique et élitiste tant attendu et tant appelé par son Altesse sérénissime Nicholas 1 er de Sarkoland (« ...et je dis bien que personne ne pourra s’y opposer »).
Monsieur de VILLEPIN est donc confronté à un dilemme des plus dramatiques pour lui, qui s’articule autour de l’alternative suivante : soit le retrait, soit la disgrâce.